Bof ... vous pouvez continuer à vivre la folie ... cela ne m'intéresse absolument
Le problème des algériens national-eux ne m'intéresse pas vous pouvez vous inventer des ennemis si vous voulez
le vrai ennemi est l'atrophie du cerveau
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« En Algérie, il n’y avait pas que des colons »
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Aloha
Par contre toi je ne connais pas ton rêve pour l'Algérie pourrais tu l'expliciter Ahras ?
Je n'ai pas le droit de rêver que le pays de tous les Algériens soit celui de mes rêves seulement !
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ahras
Je rêve qu'il fasse bon vivre dans tous les pays du monde. Les défis qui attendent l'humanité sont globaux ... le climat, l'énergie, la nourriture, les maladies ... le monde vient d'en faire l'expérience d'une épidémie dont il n'était pas préparé que dire de l’Algérie
je ne vie pas dans le passé comme les ignorants qui détruisent tout chez eux et vont réussir tôt ou tard à isoler leur douar de la civilisation universelle
l'Algérie n'est qu'un douar insignifiant sur la planète surtout si ses dirigeants sont cons et ne ne respectent pas la dignité humaine ça peut imploser ... pas besoin d'attaques extérieures
tout le monde le sait ... voilà pourquoi je rêve que cela n'arrive pas et qu'il fasse bon vivre pour tous dans ce point du globe ... dont je suis issue ... mais si les ignorants continuent à se foutre royalement de la vie sur terre ils vont détruire leur maison eux mêmes
ils ont déjà commencé : il n'y a plus de confiance entre les algériens à cause des cons narcissiques toi tu vas les appeler (nationalistes)
Par contre toi je ne connais pas ton rêve pour l'Algérie pourrais tu l'expliciter Ahras ?
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Envoyé par ahras Voir le messageJ'ai bien envie de le croire , j'aurais bien aimé avoir vécu et connu cette période pour vérifier ses dires , mais bon , faut se contenter des récits des uns et des autres !
Les mineurs d'El Halia vivaient en parfaite harmonie car les employés étaient des pieds-noirs et des Algériens. Ils avaient exactement le même salaire et les mêmes maisonnettes.
Cela se passait en toute convivialité et les familles s'invitaient mutuellement pour leurs fêtes respectives.
Jusqu'au 20 août 1955, jour où le FLN a donné l'ordre aux habitants algériens de massacrer les pieds-noirs.
Ce qui fut fait, sans aucun état d'âme. Hommes, femmes et enfants ont été tués dans les maisons ou à l'extérieur, et les rares survivants ont reconnu dans les massacreurs, leurs charmants voisins avec qui ils vivaient en parfaire entente.
Il y a des photos qui ont été prises lorsque les secours sont arrivés au bout de plusieurs heures, mais la charte du forum interdit de publier des images choquantes.
Dernière modification par alibigoud, 01 mai 2021, 15h08.
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Lors des événements qui ont conduit à l’indépendance, il a maintenu sa mission et risqué plusieurs fois sa vie pour apporter le courant dans les douars. Enfin, rapatrié en métropole, après avoir tout perdu sauf la vie.
J’ajoute que beaucoup d’entre nous entretenaient d’excellents rapports avec nos voisins algériens, partageant souvent nos fêtes respectives.Dernière modification par ahras, 01 mai 2021, 14h18.
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Alibigoud
Vous allez vous faire incendier par les tenants du révisionnisme à la sauce FLN.
Aloha
faire de l'Algérie un pays où il fait bon vivre pour l'humanité entière
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Envoyé par Aloha Voir le messageMon village natal était le premier qui a vu l'électricité en Algérie c'était en 1920
et c'est au Sahara suite à la découverte du charbon en 1901 -Ma mère était allée à l'école ... et pourtant une femme née en 1920 ...
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Pour avoir fait mes études au collège de Boufarik, puis au lycée Duveyrier de Blida, et enfin à l’université d’Alger, je peux témoigner qu’il n’y avait pas de discrimination à l’égard de la communauté algérienne.
Pour les petits et pauvres pieds noirs , l'Algérie n'a jamais fait appel a leurs services et s'offusque de leur exploitation par les ultra riches colons Français .
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Envoyé par Chouan Voir le message
Ta mère avait raison, mais Jean Pierre aussi, vous devez le comprendre, il n'y avait aucune infrastructure dans les bleds éloigné tout comme en France et en Belgique à l'époque ou dans les petits bleds il n'y avait ni eau ni gaz ni électricité!
Il faut cessé de gémir, dans les années cinquante, la France sortait d'une guerre meurtrière et avait autre chose à faire que de nous fournir des équipements moderne au bled!
Mon village natal était le premier qui a vu l'électricité en Algérie c'était en 1920
et c'est au Sahara suite à la découverte du charbon en 1901
Ma mère était allée à l'école ... et pourtant une femme née en 1920 ... cela ne veut rien dire naturellement
Tout le monde sait que la colonisation si elle ne traite pas d'égal à égal les autochtones et les arrivants elle clairement dramatique pour les deux
il faut avancer cesser la colonisation des esprits qui dure ... et faire de l'Algérie un pays où il fait bon vivre pour l'humanité entière
voilà qui serait la vraie et réelle indépendance
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Envoyé par Morthontorb Voir le messageHyper intéressant, je viens juste de demander à ma mère si dans leur douar ils avaient l’electricite pendant la colonisation. Elle a éclaté de rire et m’a dit on avait ni électricité, ni route, ni eau...elle a dit on n’avait rien, on était des pouilleux opprimés et même l’ecole les colons nous l’avaient interdit. Donc entre ma mère, qu’Allah la protège, et le jean Pierre, eh bien je vais croire ma mere...
Il faut cessé de gémir, dans les années cinquante, la France sortait d'une guerre meurtrière et avait autre chose à faire que de nous fournir des équipements moderne au bled!
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Hyper intéressant, je viens juste de demander à ma mère si dans leur douar ils avaient l’electricite pendant la colonisation. Elle a éclaté de rire et m’a dit on avait ni électricité, ni route, ni eau...elle a dit on n’avait rien, on était des pouilleux opprimés et même l’ecole les colons nous l’avaient interdit. Donc entre ma mère, qu’Allah la protège, et le jean Pierre, eh bien je vais croire ma mere...
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« En Algérie, il n’y avait pas que des colons »
Témoignage. « Un grand nombre de Français (employés des services publics, soignants, enseignants, commerçants…) ont contribué au développement de l’Algérie. »
Publié le 30/04/2021 à 05h04
Jean-Pierre Pujol (Calvados) :
En ces temps où la tendance est à la repentance vis-à-vis de la colonisation, le témoignage de Noël Lefort sur le rôle des jeunes professeurs français en Algérie (O.-F. du 23 mars) m’incite à rappeler que dans ce pays il n’y avait pas que des colons avides de profit et exploitant la communauté algérienne de manière éhontée.
Un grand nombre de ceux que l’on a nommés « petits blancs », employés des services publics, personnels soignants, instituteurs et professeurs, commerçants, etc., ont apporté une contribution importante au développement de l’Algérie et mériteraient une reconnaissance.
Je ne citerai qu’un exemple, que je connais bien puisqu’il s’agit de mon propre père. Né en 1913 dans le quartier populaire de Bab-el-Oued,à Alger, de parents venus de Majorque, il fait ses études au lycée Bugeaud, en même temps qu’Albert Camus.
Après un séjour comme vendeur dans une célèbre épicerie d’Alger, il est recruté par la Compagnie Lebon, chargée de la distribution électrique, plus tard nationalisée en EGA (Électricité et Gaz d’Algérie) par De Gaulle. Il devient agent technique à Bouira puis chef de district adjoint à Médéa, Marengo (Hadjout aujourd’hui), et finalement Boufarik.
Je peux témoigner que les conditions de travail, en particulier dans la compagnie privée Lebon, étaient particulièrement pénibles et qu’il fallait intervenir à tout moment sur les pannes, quelle que soit l’heure du jour ou de la nuit. Une permanence était assurée même les jours fériés.
J’ajoute que ces employés ne disposaient pas de Sécurité sociale avant 1949. À Médéa, où certains hivers la couche de neige pouvait atteindre 1,50 m, j’ai vu mon père faire des visites de lignes sur plusieurs km, raquettes au pied et rentrer à la nuit, complètement épuisé.
Lors des événements qui ont conduit à l’indépendance, il a maintenu sa mission et risqué plusieurs fois sa vie pour apporter le courant dans les douars. Enfin, rapatrié en métropole, après avoir tout perdu sauf la vie.
La plupart de ces « petits blancs » n’ont pas ménagé leurs efforts pour donner à l’Algérie des collèges, des lycées, des hôpitaux, auxquels avait accès l’ensemble de la population.
Pour avoir fait mes études au collège de Boufarik, puis au lycée Duveyrier de Blida, et enfin à l’université d’Alger, je peux témoigner qu’il n’y avait pas de discrimination à l’égard de la communauté algérienne.
J’ajoute que beaucoup d’entre nous entretenaient d’excellents rapports avec nos voisins algériens, partageant souvent nos fêtes respectives.
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