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Statistiques concernant les vols avec violences en France.

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  • Statistiques concernant les vols avec violences en France.

    Alors qu’environ 7 % de la population vivant en France est de nationalité étrangère, ces personnes représentent 38 % des auteurs présumés pour des vols violents sans arme. Les étrangers mis en cause sont essentiellement d’une nationalité issue d’un pays d’Afrique (33 % du total des mis en cause) alors que ces nationalités représentent 3 % de la population résidant en France (Insee, recensement de la population 2017)

    Ministère de l’Intérieur, SSMSI (Service statistique ministériel de la sécurité intérieure)– Avril 2021


  • #2
    si on y ajoute certains binationaux.....objectif inavoué de notre ami Alibigoud .(bien qu'on puisse lui accorder le benefice du doute).on depasse allegrement les 50, 60 %..on a beau se creuser le cerveau ,ce n'est helas que la triste verité

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    • #3

      et encore, on pas les stat des agressions ou violence sans motif de vol .....
      tu tombe je tombe car mane e mane
      après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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      • #4
        Violences gratuites qui sont en forte augmentation et qui sont souvent commises, dans de nombreuses grandes villes, par des MIE (mineurs isolés étrangers) dont la plupart viennent du Maghreb et qui ne sont pas, pour une grande partie d'entre eux, de véritables mineurs.

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        • #5
          Violences gratuites qui sont en forte augmentation et qui sont souvent commises, dans de nombreuses grandes villes, par des MIE (mineurs isolés étrangers) dont la plupart viennent du Maghreb et qui ne sont pas, pour une grande partie d'entre eux, de véritables mineurs.
          selon valeur actuel ....
          tu tombe je tombe car mane e mane
          après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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          • #6
            traks Valeurs actuelles ? -

            Délinquance des mineurs

            E. UNE PROBLÉMATIQUE SPÉCIFIQUE : LES MINEURS ÉTRANGERS ISOLÉS

            La question des mineurs étrangers isolés et souvent sans domicile fixe semble prendre des proportions inquiétantes dans notre pays. Dans son rapport pour 2001, la défenseure des enfants estime à 25.000 le nombre de ces mineurs sur notre sol.
            L'ensemble de ces mineurs ne sont pas délinquants, mais tous vivent dans des conditions de précarité telles qu'ils peuvent à tout moment devenir délinquants.
            Les responsables du parquet des mineurs rencontrés par la commission d'enquête lors de sa visite au tribunal pour enfants de Bobigny se sont déclarés très démunis face à la délinquance de ces mineurs sans référents parentaux sur le territoire national. Sur 5200 mineurs mis en cause par la police à Paris en 2001, 1100 étaient sans domicile fixe et sans référents parentaux (ces mineurs représentent la moitié des mineurs déférés). A Paris, il s'agit surtout de mineurs roumains, yougoslaves, tziganes, qui sont à la fois délinquants et en danger sur le territoire français, qui sont parfois utilisés par des réseaux mafieux. La délinquance des jeunes roumains occupe une part très substantielle des travaux du tribunal pour enfants de Paris.
            Les mêmes difficultés ont été évoquées devant la commission lors de sa visite à Marseille, même si les mineurs isolés en situation irrégulière sont plus souvent marocains, algériens, turcs... La commission a assisté à l'assemblée générale de l'association « Jeunes errants », qui accomplit un travail remarquable d'accompagnement de ces jeunes et tente de renouer des liens avec le pays d'origine et la famille.
            Il reste qu'il est difficile de trouver des solutions pour des jeunes qui ne sont pas expulsables, mais qui, dès lors qu'ils ont plus de seize ans, ne sont plus concernés par l'obligation scolaire. Comme l'a noté la défenseure des enfants dans son rapport pour 2001, « L'apprentissage, que beaucoup d'entre eux souhaiteraient poursuivre, leur est refusé car assimilé à un travail et ils n'ont pas de titre de séjour leur donnant droit à travailler ».

            Source : travaux parlementaires - Rapport de commission d'enquête du Sénat.







            Dernière modification par alibigoud, 29 septembre 2021, 17h53.

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            • #7
              Un rapport parlementaire affirme que 10 % des mineurs isolés étrangers ont commis des actes de délinquance

              Environ 10 % des mineurs isolés étrangers ont commis des actes de délinquance, en hausse "tant dans leur fréquence que dans leur violence", met en évidence un rapport parlementaire présenté ce mercredi 10 mars.

              La mission d'information menée par les députés Jean-François Eliaou (LREM) et Antoine Savignat (LR) sur "les problématiques de sécurité associées à la présence sur le territoire de mineurs non accompagnés" (MNA), a permis de "dresser le profile "type" des MNA délinquants".

              "Le portrait type, c'est un Maghrébin, 16, 17 ans, en rupture totale avec son pays et sa famille, fracassé par son parcours migratoire, polytoxicomane, qui est dans une délinquance de subsistance, qui vole au sein d'une bande pas très bien organisée", résume pour l'AFP le député de l'Hérault Jean-François Eliaou. Ils commettent surtout des vols de rue, dans les transports en commun, parfois avec violences, ou des vols par effraction, en premier lieu dans les pharmacies.

              Source : Marianne - 10/03/2021


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              • #8
                Rapport sénatorial de juin 2017.
                Lors de l'examen du rapport en commission, la rapporteure Élisabeth Doisneau a également insisté sur la majorité de nombreux jeunes migrants à deux reprises en déclarant d'abord que «de plus, les départements sont confrontés à un nombre important de personnes se déclarant mineures alors qu'elles sont en fait bel et bien majeures», puis en précisant : «si la prise en charge des mineurs en danger relève de la compétence des départements au titre de la protection de l'enfance, il ne nous paraît pas justifié que ces derniers supportent une telle charge au titre de l'évaluation de jeunes dont la plupart se révèlent être majeurs, d'autant que leur arrivée en France résulte d'une carence de l'État dans la maîtrise des flux migratoires, qui est de sa compétence».

                Source : Libération - 16/05/2018

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