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L’hôtel Selman Marrakech, sacré meilleur hôtel d'Afrique en 2013

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  • L’hôtel Selman Marrakech, sacré meilleur hôtel d'Afrique en 2013

    Cette distinction a été décernée à ce prestigieux palace par le jury du prix Villégiature 2013, qui récompense depuis 10 ans, les meilleurs hôtels en Europe, mais aussi depuis quelques années en Afrique et en Asie. Ce prix récompense également certains métiers de l'hôtellerie, ainsi que des éditions notamment les livres dédiés aux hôtels et à la gastronomie. Outre Selman Marrakech, deux autres établissements hôteliers au Maroc figuraient sur la liste des quatre nominés pour le grand prix du meilleur hôtel d'Afrique à savoir Sofitel Agadir Thalassa Sea & spa et Palais Namaskar Marrakech. Le jury du prix Villégiature 2013 a été composé de 24 correspondants de presse et journalistes dont 15 de grands médias étrangers et 9 de grands médias français.
    Les Eco

  • #2
    franchement il y a mieux en afrique
    mais 9 journalistes français sur 15 ! donc le choix est vite fait
    lien d'amitié étroit entre la france et le maroc 51/49

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    • #3
      franchement il y a mieux en afrique
      mais 9 journalistes français sur 15 ! donc le choix est vite fait
      lien d'amitié étroit entre la france et le maroc 51/49

      disons que c'est ta jalousie qui t'as fais dire cela.....


      il y a certes mieux en Afrique, il y a la mamounia (oncf) par exemple...

      mais chez toi, un IBIS et c'est la UNE dans tout les journaux...

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      • #4
        chez moi

        on a pas vraiment besoin d'hôtels puicequ'on a pas de touristes
        donc pour le moment disons c'est pas une urgence
        et tant mieux ainsi
        par contre pour le moment le plus urgent c'est aller au bresil 2014 donc gagner le 19 novembre contre le burkina

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        • #5
          chez moi

          on a pas vraiment besoin d'hôtels puicequ'on a pas de touristes
          donc pour le moment disons c'est pas une urgence
          et tant mieux ainsi

          c'est un peux bizarre que de penser que tout les hotels ne sont fait que pour les touristes....

          par contre pour le moment le plus urgent c'est aller au bresil 2014 donc gagner le 19 novembre contre le burkina
          bon courage, un seul but et vous passez....

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          • #6
            on a pas vraiment besoin d'hôtels puicequ'on a pas de touristes
            Les algeriens ne prennent pas de vacances?

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            • #7
              Les algeriens ne prennent pas de vacances?

              les algeriens prennent des vacances mais avec une stratégie :
              ceux d'europe rentrent chez leurs familles
              et ceux d'algérie vont chez la famille sur la côte ou en europe

              ça s'appele ziyara ailiya

              kayen qq familles aisées qui vont dans des hôtels ! voilà

              mais je pense que 60% des algériens ne partent pas en vacances

              rahem vacances toute l'année

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              • #8
                bon courage, un seul but et vous passez....

                merci overclocker

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                • #9
                  salam

                  anis de Contantine
                  ca te fais pas plaisir qu'un hotel au Maghreb est sacré meilleur hotel d'Afrique 2013
                  si c'était le cas pour Constantine je ferais de meme je serai contente
                  ah lalalala jamais content :22:

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                  • #10
                    ca te fais pas plaisir qu'un hotel au Maghreb est sacré meilleur hotel d'Afrique 2013

                    si ça me ferait plaisir bien sur mais wallah en ce moment c'est plutôt une qualification pour le plaisir me fera plaisir
                    sinon bessahtehoum le maroc pour cet hotel

                    un hotel à constantine meilleur d'afrique ! c'est un peu difficle à réaliser mais inchallah dans qq années

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                    • #11
                      d'après ce que certains marocains m'ont affirmés dans les caves de certains hôtels de luxe pour ne pas dire tous, beaucoup de gens riches qui ont de la notoriété et surtout bcp d'argent, étrangères ou pas se livraient à des orgies et rituels , avec la jeunesse marocaine, dont je vous épargnerais les détails d'ailleurs c'est avec a complicité du personnel moyennant finance, c'est eux qui se chargent de leur ramener des jeunes vierges et des petits garçons... y a déjà eu une affaire qui a éclaboussé des politiciens français l'affaire luc ferry il me semble avec jack lang... bref, après c'est bien beau tout ces hôtels sortis comme d'un conte des 1000 et 1 nuits en revanche quand on gratte un peu le vernis c'est pas si féerique que ça c'est plutôt l'enfer je dois dire :22:

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                      • #12
                        Envoyé par Lapi
                        d'après ce que certains marocains m'ont affirmés ......
                        Bien sûr. Ils ont oublié de te dire que c'est M6 qui vient les recevoir en personne, un par un , hommes , femmes et enfants.
                        Ils descendent tous à la cave, et n'en sortent que pour prendre l'avion pour aller chez eux où, c'est bien connu, ils n'ont pas d'alcool.

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                        • #13
                          Lapi-lazuli

                          ont ta raconté qu'ils se déroulent des orgie dans certains Hotel
                          ahhhhhhhhhh arrete de croire ses choses la
                          pendant qui j'y suis Aichai Kendicha leur serve comme modèle
                          n'importe quoi

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                          • #14
                            mais oui c'est du n'importe quoi tout ça, le pire ce sont des marocains des marrakchis qui le dénonce et d'autres ici qui joue au dénie parce que hchouma... pourtant c'est bien connu, dans tous les grands hôtels en afrique, ces derniers sont des repaires à prostitutions mais bon quand on ne sort pratiquement jamais de son bled et que l'on s'équipe d'œillères il est tout a fait normal de lire certaines réactions... bref y ajuste à googler pour s'apercevoir que Marrakech c'est un haut lieu de luxe et de prostitution juvénille entre autres... et encore je vous épargne les histoires qu'on m'a raconté sur les hauteurs d'Agadir...


                            Marrakech. Des garçons et des hommes
                            GRAND ANGLE

                            Au cœur de la ville, des jeunes se vendent à des hommes venus souvent d’Europe. Brisant l’omerta, des avocats et des ados témoignent de ce tourisme sexuel mis en lumière par «l’affaire Ferry».



                            Ils nous avaient repérés bien avant qu’on ne les voie. Quand on ose enfin les aborder, ils rient, sûrs de leur bon mot : «Vous êtes là pour le ministre ? !» Sur la place Jamaâ el-Fna, cœur de Marrakech, l’arrivée de journalistes français amuse les jeunes garçons prostitués. Ils ont suivi, comme tout le Maroc, le feuilleton des déclarations télévisées de Luc Ferry à propos d’un ex-ministre français qui se serait fait arrêter, au début des années 2000, «à Marrakech dans une partouze avec des petits garçons». Rien ne les surprend, ni ces accusations, qu’ils estiment «évidemment vraies», ni le fait que les médias aient fait le déplacement depuis la France.

                            «Des soirées avec des personnalités ? Il y en a tout le temps, dans les riads de la Médina, ou dans les villas de la Palmeraie, sourit Jahid (1), 34 ans, "doyen" des prostitués de la place. Les clients, c’est surtout des Français, mais il y a aussi des Espagnols, des Allemands, des Anglais. Ils ont 50, 60 ans environ, c’est pas des beautés ! Moi, je suis trop vieux pour ces soirées-là. En général, ils prennent des garçons dans les 15-16 ans.»

                            Dans la nuit de Jamaâ el-Fna, les jeunes prostitués de moins de 18 ans sont nombreux, et aucun garçon, à part Jahid, ne dépasse les 25 ans. Ils se faufilent entre les charmeurs de serpents, joueurs de djembé, montreurs de singes, vendeurs de thé aux épices, absorbés par la foule compacte des touristes et des familles marocaines. Au premier abord, rien n’est perceptible dans cet espace grouillant et immense, et l’on serait tenté de dire, comme le martèle la ministre de la Famille, Nouzha Skalli, qu’«il n’y a pas de tourisme sexuel au Maroc». Il faut rester longtemps attentif et immobile pour distinguer un discret ballet.

                            «Les hotels ferment les yeux»

                            Hicham, 17 ans, visage encore poupin, diamant à l’oreille, et Youssef, même âge, dégaine d’écolier, tee-shirt strassé, font mine d’écouter un bonimenteur, la pose légèrement déhanchée. Un homme européen, la cinquantaine, le teint rouge, le ventre rond, passe, repasse. Un autre, en short et tee-shirt lâche, arrive de l’autre côté. «Des victimes !», chuchote Hicham, en les pointant du doigt. «Victime» veut dire client, celui à qui l’on soutirera entre 150 et 400 dirhams la passe (de 13 à 35 euros) selon sa chance et son bagout. Echange de regards, d’un mot rapide ou d’un billet, et le garçon marocain prend la direction du parc de la Koutoubia, suivi à quinze mètres par sa «victime». La passe a lieu dans les fourrés, à l’ombre de la tour de la célèbre mosquée. «Ils nous emmènent aussi parfois dans leurs riads, ou à l’hôtel, raconte Hicham. Les tenanciers ferment les yeux parce qu’ils ont besoin du fric des touristes.»

                            C’est le «mauvais calcul économique» que dénonce Me Mustapha Errachdi, militant des droits de l’homme, avocat notamment de l’association de lutte contre le tourisme sexuel et la pédophilie Touche pas à mon enfant. «Ici au Maroc, les gouvernements successifs ont un programme : atteindre les dix millions de touristes par an. Et ils sont prêts à accepter n’importe qui et n’importe quoi pour parvenir à cet objectif.» Des «raisons politiques» seraient également à l’origine d’une «complaisance» des autorités envers les touristes sexuels occidentaux, dès lors qu’ils disposent d’un minimum d’argent ou de relations. «Tomber sur une histoire de sexe et plus précisément de pédophilie dans la haute, c’est ce qui peut arriver de pire, témoigne un policier anonyme dans un récent numéro du magazine marocain Actuel. Au mieux, on avise la hiérarchie et on se fait sermonner pour relâcher les personnes avant leur mise en examen. Au pire, on se retrouve affecté dans un patelin perdu par mutation disciplinaire.»

                            Place Jamaâ el-Fna, le commissariat est à quelques mètres à peine du terrain d’action des mineurs prostitués. Rien que le mot «policiers» les fait rire. «Je crois qu’ils dorment ! s’esclaffe Hicham. Ou qu’ils ont peur de sortir. De temps en temps, ils font des rafles pour faire du chiffre. Mais ils ne m’ont jamais embêté quand je vais chercher des clients.»
                            Pour l’avocat Mustapha Errachdi, la justice est «malade», gangrenée par la «corruption». Il cite le cas de cet ancien directeur de théâtre parisien arrêté en avril 2006 à Marrakech en compagnie d’un garçon marocain de 16 ans, et d’un autre, jeune majeur, identifié comme son «rabatteur». Le Français a été condamné à quatre mois de prison avec sursis pour «homosexualité» (illégale au Maroc), les charges de corruption de mineurs ayant été finalement abandonnées. Au mois de mai, pourtant, un Espagnol résidant à Kénitra a écopé de la peine maximale de trente ans de prison pour viols de mineurs, exemple largement médiatisé par le gouvernement. «De temps en temps, ils frappent un grand coup pour dire qu’ils agissent, commente Me Errachdi, mais dans la majorité des cas les arrangements perdurent.»


                            «On devient accro à l’argent»

                            De l’impressionnante pile de dossiers qui encombre son bureau, il en extirpe un qui l’a particulièrement «choqué» : celui d’un agent immobilier français, Hervé L., arrêté dans son riad de Marrakech en mars 2005, en compagnie d’un garçon de 14 ans. Sur son ordinateur, les policiers avaient découvert 117 000 photos ou vidéos pornographiques impliquant une cinquantaine de mineurs, qu’il a reconnu avoir prises lui-même. Condamné à quatre ans de prison ferme, Hervé L. a vu sa peine réduite à deux ans en appel, puis à un an à la faveur d’une grâce.

                            Toufik, 22 ans, est l’une des anciennes victimes d’Hervé L. Visage fin en triangle, barbiche, yeux brillants, il est aussi l’un des très rares jeunes impliqués dans un dossier judiciaire qui accepte de rencontrer des journalistes. «J’ai eu un coup de fil d’un responsable du gouvernement qui m’a demandé d’arrêter de parler aux médias, dit-il. Mais je continue, parce que je voudrais que la réalité change, parce que la loi n’est pas appliquée.» Toufik explique que dans son quartier, le Mellah, entrelacs de minuscules ruelles où habitent les familles les plus pauvres, «il y a encore beaucoup de mineurs qui font le sexe avec des touristes». Les enfants, raconte-t-il, «commencent par vendre des mouchoirs en papier, des roses» aux étrangers de passage. «Et ils passent à la prostitution quand ils ont 11 ou 12 ans, parce qu’il y a toujours quelqu’un pour leur proposer.»

                            Dans le cas de Toufik, c’est Mustapha, un voisin «rabatteur», qui l’a emmené à 15 ans chez Hervé. Il dit avoir été forcé à regarder un film pornographique, puis drogué et violé. Ensuite, il est revenu de son plein gré pendant deux ans, car «le Français» lui donnait à chaque fois 300 dirhams (26 euros). Un peu plus si Toufik lui amenait d’autres garçons. «C’est très difficile d’arrêter la prostitution, on devient accro à l’argent.»

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                            • #15
                              (suite)

                              La «hchouma», la honte

                              Ali, 17 ans aujourd’hui, 12 ans à l’époque où il a «commencé à aller chez Hervé» a été comme Toufik «recruté» par le rabatteur Mustapha. Toufik l’a tanné pour qu’il raconte lui aussi son histoire aux journalistes. Tête baissée à la terrasse d’un café de la gare, son petit corps maigre recourbé, il parle par bribes, sans jamais lever les yeux. L’histoire est à peu près la même, une famille du Mellah «où personne ne travaille», un père alcoolique, «la pauvreté» et «les autres garçons de la rue qui faisaient ça aussi».

                              Toufik et Ali disent qu’ils ont arrêté la prostitution depuis plusieurs années. Ils survivent de petits boulots, fabrication de zellige (céramique) ou vente de cigarettes à l’unité. «Mais le problème restera toujours là dans ma tête», soupire Ali. Il évoque les insultes des voisins et la honte, la hchouma, qui frappe au Maroc indistinctement les victimes de viols, d’agressions pédophiles, ou ceux qui se prostituent. «Nos familles ont appris ce qu’on faisait, dit Toufik. Ma mère m’a mis à la porte.» Celle d’Ali a «accepté» qu’il reste, mais ne le regarde «plus comme avant».«Avant, j’étais bien avec ma famille, je leur parlais. Maintenant, je n’y arrive plus. Même si je faisais le pèlerinage à La Mecque, ils ne pourront jamais oublier ça.»

                              Ce «problème culturel», cette hchouma, est le blocage essentiel dans la lutte contre le tourisme sexuel, affirme Ahmed el-Hamdaoui, psychologue qui intervient pour l’association Touche pas à mon enfant. Dans sa consultation, il reçoit des mineurs victimes de viols commis par des touristes ou par des Marocains. «Pour moi, le problème est le même dans les deux cas, dit-il. Les parents s’inquiètent de savoir s’il y a des séquelles physiques, mais refusent le suivi car ils ont peur que l’histoire s’ébruite, que leurs voisins ou même leur famille apprennent ce qui s’est passé. Ils se sentent humiliés comme s’ils avaient commis un péché. Il y a un proverbe arabe qui dit : "Il vaut toujours mieux résoudre les choses dans la discrétion."»

                              Dans la nuit de la place Jamaâ el-Fna, Hicham, Youssef, Jahid et les autres garçons prostitués ont intégré l’adage. Remontant l’avenue Mohammed V qui les mène jusqu’au carrefour du McDonald’s du Guéliz (quartier chic), autre grand lieu de prostitution, où l’on trouve également des filles, ils essuient sans révolte les insultes des passants, et même le jet d’une bouteille en verre, qui éclate à leurs pieds. Youssef a commencé à se prostituer à 13 ans parce que, dit-il, il était homosexuel, «et donc rejeté» par sa famille. Jahid raconte le même sentiment de «rejet» après un viol subi à 13 ans. Hicham, lui aussi, a été violé à 15 ans. Il vient d’une famille très pauvre, sans père, assure n’avoir «pas eu d’autre choix» que la prostitution pour gagner sa vie. Ils déroulent leurs enfances massacrées sans se plaindre, résignés depuis longtemps. Entrecoupent le récit par des chahuts, avec le plaisir de surjouer «les folles» pour faire sourire les journalistes français. La vraie noirceur est ailleurs, dans la certitude que «ça ne changera jamais». «Vous me faites rire avec votre affaire Ferry, dit Jahid. Vous pensez vraiment qu’ils vont mettre un ministre en prison pour des gens comme nous ?»

                              source : libé

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