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  • #76
    salam

    la palais du bey a été rénové

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    • #77
      salam











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      • #78
        BarakaAllahu fik ZA. Très beau.
        Ya Allah, al Aziz, al Hakim. a7fadh jazair wa al maghareb al kabir

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        • #79
          salam

          mosquee emir









          [IMG]http://storage.canal*********/57/48/402111/41493182.jpg[/IMG]

          [IMG]http://storage.canal*********/30/39/402111/41286347.jpg[/IMG]





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          • #80
            salam

            rénovation de la souika de constantine










            ils ont entamé la rénovation des maison avoisinante normalement ils devront finir la rénovation de l'artère principale de la souika de constantine avant la fin 2011 (la ligne rouge) :










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            • #81
              salam



              PLAN DE SAUVEGARDE DE LA VIEILLE VILLE DE CONSTANTINE
              Quote:
              Le Plan Permanent de sauvegarde et de mise en Valeur du secteur sauvegardé (PPSMVSS) de la vieille
              ville de Constantine a été lancé en application des dispositions de la loi n°98-04 du 15 juin 1998 relative à la protection du patrimoine culturel et fait suite au classement de la vieille ville de Constantine comme secteur sauvegardé conformément au décret interministériel n°05-208 du 4 juin 2005.

              Maîtrise d'ouvrage : Direction de la Culture de la wilaya de Constantine
              Maîtrise d'œuvre : Bureau d’études Jennie Kribeche
              Localisation : Constantine
              Jennie Kribeche, architecte en charge de l'étude. Bureau d’études Jennie Kribeche

              J. Kribeche est spécialisée en architecture, préservation du patrimoine et décoration. Après une longue expérience en tant qu’architecte aux quatre coins de l’Algérie dans diverses administrations algériennes, elle intègre l’équipe chargée du plan d’aménagement de la médina de Marrakech. De retour en Algérie, sa passion pour le patrimoine la conduit à prendre en charge l’étude du plan de sauvegarde de la vieille ville de Constantine.

              Pouvez-vous nous décrire la vieille ville de Constantine ?
              Jennie Kribeche : La vieille ville de Constantine, qui couvre une superficie de 85 hectares est limitée des trois côtés par le ravin et par le complexe culturel El Khalifa. Elle s’étend sur le Rocher de Constantine et sur la première extension coloniale de la ville.
              Avec plus de 25 siècles d’histoire, elle est l’une des plus vieilles villes du monde. Elle est successivement capitale de l’ancienne Numidie, principauté romaine, capitale du Beylik ottoman de l’est, et enfin, sous la domination coloniale, est promue au rang de préfecture du département et couvre l’ensemble de l’est algérien.
              Elle se distingue par ses trois typologies urbaines et architecturales
              - traditionnelle, coloniale et hybride
              - qui se côtoient et s’entrecoupent et son site naturel exceptionnel formé par le rocher, le ravin et le R’humel.

              Qu’est-ce qui vous a motivé à prendre en charge ce projet ?
              Ma modeste expérience dans la préservation du patrimoine universel de la médina de Marrakech pendant près de huit ans m’a enthousiasmé car elle m’a permis de découvrir l’implication totale de la population dans le processus de sauvegarde ainsi que la place occupée par le patrimoine dans les politiques locales. Une fois rentrée dans mon pays, j’ai voulu m’investir dans le patrimoine de ma ville natale, que je considère, vu son caractère naturel et historique exceptionnel, comme une ville unique au monde.

              Quels sont les objectifs de l’étude ?
              Mettre en place une réglementation fiable et efficace concernant toutes les interventions futures dans la vieille ville, aussi bien sur le plan urbain que sur le plan architectural. A cet effet, un manuel des typologies constructives, architecturales et architectoniques a été élaboré et donne toutes les indications historiques et techniques à respecter dans le processus de réhabilitation.

              En termes de méthodologie, quelles ont été les grandes étapes de l’étude ?
              Le projet a obéit à trois grandes étapes, qui correspondent aux trois phases règlementaires de l’élaboration d’une étude de ce type.
              La première étape consiste dans l’élaboration du diagnostic et des mesures d’urgence.
              Nous nous sommes basés sur une enquête exhaustive des constructions de la vieille ville afin de déterminer l’état de conservation de chacune d’elles et d’identifier celles qui nécessitent une prise en charge imminente dans le cadre d’un plan d’urgence bien défini.
              La deuxième étape est l’étude historique et typologique qui consiste en l’élaboration d’un diagnostic actuel accompagné d’une lecture juridique de toute la règlementation en vigueur. Cela concerne tous les aspects qui caractérisent la vieille ville, à savoir : son évolution urbaine, sa typologie architecturale, le volet archéologique, sa structure économique, la voirie et les réseaux, la circulation, l’aspect paysager, le volet fonctionnel et les équipements, la population, l’habitat et le foncier. Cette étude a permis d’identifier les permanences à mettre en valeur et à conserver, à connaître les atouts qui ont disparu et qu’il est nécessaire de restituer dans le cadre du processus de mise en valeur, de localiser les dysfonctionnements à éviter, de découvrir les nouvelles tendances et les impacts de certaines activités et de pointer du doigt le vide juridique et éventuellement le combler. A partir des conclusions de cette étude historique et typologique, des recommandations ont été faites selon les spécificités historiques et fonctionnelles de chaque zone.
              La dernière étape est la rédaction finale du PPSMVSS. Toutes les orientations émises dans la deuxième phase de l’étude ont pris la forme d’un règlement et ont été formulées sous forme d’articles qui définissent les mesures à prendre pour chaque intervention future dans le secteur sauvegardé.

              Quel a été le principal défi dans l’élaboration de l’étude ?
              Premièrement, rassembler toute la documentation. Nous nous sommes basés sur une bibliographie impressionnante déjà existante et sur certains documents techniques qu’il nous a fallu reconstituer, notamment certaines cartes qu’il a fallu intégralement retracer.
              Deuxièmement, sensibiliser les différents acteurs comme les administrations, les associations et les citoyens à l’importance de l’étude et la nécessité d’y collaborer.

              selon vous, quels ont été les besoins sociaux identifiés et comment l’étude y répond-elle ?
              Les principaux besoins sociaux identifiés à travers l’étude sont, entre autres, la nécessité d’une prise en charge imminente des constructions dégradées qui mettent en péril la population locale ; la dédensification de l’habitat ; l’introduction des normes d’hygiènes et d’habitabilité dans les constructions traditionnelles et les besoins en équipements et en espaces de loisirs.
              L’étude a tenté de répondre à ces besoins par l’identification et la localisation de toutes les constructions dégradées et de toutes celles à dédensifier, par la prescription de normes d’hygiène et la mise en place d’une liste d’équipements à introduire ainsi que par la localisation des sites destinés à ces équipements.

              Du point de vue urbanistique, pouvez-vous nous décrire l’environnement immédiat de la vieille ville ?
              A cause de son statut de centre-ville, la vieille ville constitue un pôle de grande affluence, ce qui y engendre une circulation piétonne et mécanique très dense.
              Son environnement immédiat est constitué des premières extensions coloniales de la ville, dont l’architecture est similaire à celle de la vieille ville.

              Avez-vous dû prendre des mesures particulières pour contrer ou souligner l’impact de l’environnement sur la vieille ville ?
              Dans la mesure où il s’agit d’un rocher et qu’il est impossible de procéder à l’élargissement des voies, l’étude a proposé un schéma de circulation, élaboré en concertation avec les services concernés de l’APC et de la police, où elle prévoit des voies piétonnes à créer, des stationnements à supprimer et d’autres à créer. D’autre part, le règlement dressé par l’étude a pris en charge l’environnement que représentent
              les premières extensions coloniales, appelé « les abords » car elle a considéré qu’il s’agit également d’un patrimoine urbain et architectural à conserver

              En quoi ce projet s’est-il révélé spécial ? Qu’est-ce qu’il vous a apporté ?
              Ce projet m’a permis d’une part de connaître les différentes facettes de l’histoire de Constantine, toutes très passionnantes, et d’autre part de découvrir, en tant qu’architecte, les spécificités typologiques de la construction constantinoise et les mutations qu’elle a subies d’une civilisation à une autre. Je suis très fière d’avoir contribué, au sein d’une équipe pluridisciplinaire, à constituer non seulement une base de données historique importante, mais aussi un recueil typologique très intéressant qui définit les caractéristiques typologiques, architecturales, architectoniques et constructives de chaque élément des maisons de la vieille ville.

              Si vous aviez l’opportunité de participer à nouveau à un projet culturel de ce genre, le referiez-vous ?
              Ce serait un privilège si je pouvais participer à un projet culturel similaire car ce serait pour moi l’opportunité de contribuer à la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine de mon pays, que je considère d’une valeur exceptionnelle.

              Quel avenir pour la restauration en Algérie ?
              La restauration en Algérie a un grand avenir, car tous les sites ont besoin d’une intervention d’envergure et d’autres restent encore à découvrir. Le patrimoine est très riche et concerne plusieurs civilisations, certains monuments sont d’une valeur exceptionnelle et la typologie constructive, architecturale et architectonique varie d’une région à une autre.

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              • #82
                salam

                projets constantine: grand stade



                Lancement en 2014 des travaux du complexe sportif de 50.000 places à Constantine


                Quote:
                Les travaux de réalisation du complexe sportif de 50.000 places, affecté à la wilaya de Constantine sur décision du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, seront lancés ‘’courant 2014’’ a affirmé dimanche le directeur de la Jeunesse et des sports, Abdelhamid Daâmache.

                Le chantier de construction de ce projet d’envergure sera ouvert ‘’dès le règlement, attendu prochainement, des questions liées à la réévaluation de son coût’’, a souligné le même responsable. M. Daâmache a indiqué dans ce contexte qu’une enveloppe de 1,7 milliard de dinars avait été initialement allouée pour la réalisation de ce projet, alors que le coût réel pour la réalisation du seul stade de football de 50.000 places est de l’ordre de 20 milliards de dinars.

                La réalisation de l’ensemble du projet (stade, équipements d’accompagnement, terrains répliques, piste d’athlétisme, piscines, salles omnisports, centre hippique et salle de musculation, entre autres) nécessitera un investissement de pas moins de 30 milliards de dinars, a-t-il encore ajouté.

                Le DJS a également affirmé que les responsables concernés par ce projet, conscients de ce ‘’décalage financier’’, présenteront ‘’incessamment’’ un dossier de réévaluation au gouvernement pour revoir les coûts de réalisation.

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                • #83
                  salam

                  PROCHAIN ZENTIH DE CONSTANTINE

                  CSCEC (Algeria) Signs Contract for 3000-Seat Theatre Project in Algeria


                  Quote:
                    China State Construction Engineering Corp., Ltd (Algeria) has recently signed the framework agreement of general contracting for the design and build of 3000-Seat Constantine “ZENITH” Theatre project with Constantine Province of Algeria. The contract value is US$156 million.

                    The Project has the building area of 53,000sqm, including 2 theatres and 750 underground parking spaces. The larger theatre can accommodate some 3000 audience and the smaller one hold 450 people. It is a top grade comprehensive theatre available for mega-events such as concerts and music dramas, etc. Upon completion, it will serve for 2015 Constantine Arab Festival, and will become another landmark building in the province of Constantine. (from Overseas Operations)




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                  • #84
                    SALAM

                    CONSRUCTION DE L HOTEL MARIOTT













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                    • #85
                      salam

                      nouvelle cour de justice





                      CONSTANTINE | City park Ain El Bey | Under Construction

                      D'apres la pancarte il contient :
                      -Zone1 Sport et adventure.
                      -Zone2 lac et ballade.
                      -Zone3 Jeu
                      -Zone4 Théatre et Culture.
                      -Zone4 Minigolf.



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                      • #86
                        salam

                        Des travaux d’aménagement de l’Oued Rhumel, à Constantine, sur une longueur d’environ 1 km au titre d’une première tranche, seront lancés « à partir de la semaine prochaine », a indiqué jeudi le directeur de l’hydraulique M. Ali Hamam.

                        Une enveloppe financière de 1,1 milliard de dinars a été mobilisée pour la concrétisation de cette première opération devant être entamée depuis la zone industrielle « Palma », à l’ouest de la ville, a-t-il souligné en précisant qu’il sera procédé « ultérieurement » à l’aménagement du restant du tracé de ce cours d’eau qui débouche sur l’oued Boumerzoug.

                        Inscrit dans le cadre du programme quinquennal 2010-2014, le projet d’aménagement de l’oued Rhumel revêt un « intérêt capital » pour la ville de Constantine qui souffre d’un problème récurrent de glissement de terrain notamment à proximité des berges de cet oued, a indiqué M. Hamam, faisant part de l’importance de cette opération dans la protection des sols contre l’érosion durant les saisons des pluies.

                        Des travaux de confortement des berges et de traitement des talus seront menés dans le cadre de cette opération, a ajouté le même responsable, soulignant l’impact environnemental de cette action, d’autant que ce cours d’eau, enjambé par le pont de Sidi Rached, passe par le centre-ville.

                        L’essentiel des travaux d’aménagement de cet oued sera concentré aux abords du quartier Rahmani Achour (ex-Bardo), a ajouté le directeur de l’hydraulique, précisant que le coût global de ce projet d’aménagement devra atteindre, à terme, les 4 milliards de dinars.

                        Par ailleurs, les travaux de recalibrage d’oued El Had, sur plus de 3 km, avancent à un rythme « accéléré », selon M. Hamam qui a également affirmé que le chantier de recalibrage de l’oued Boumerzoug au niveau de la zone d’El Khroub, sera lancé dès la finalisation des études y afférentes.
                        Source : A1


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                        • #87
                          salam

                          L’un des plus vastes édifices de Constantine va être transformé en musée d’art moderne

                          Quote:
                          CONSTANTINE - L’un des plus vastes édifices de la ville de Constantine, un grand bâtiment abritant plusieurs organismes, et situé près de la place du 1er-Novembre, sera prochainement désaffecté et transformé en musée d’art moderne, a indiqué, mercredi, le directeur de la culture, Djamel Foughali.

                          L’intégralité du bâtiment abritant la délégation régionale d’Air Algérie, les sièges des directions de wilaya de la culture et du tourisme, la maison de la culture Mohamed-Laïd El Khalifa, la bibliothèque Malek-Haddad et la galerie M’hamed Issiakhem, devra être réhabilité et réaménagé en prévision de la manifestation "Constantine, capitale 2015 de la culture arabe", a précisé M. Foughali.

                          La bâtisse qui servait, jusqu’au début des années 1960, de garage et de show-room d’une célèbre marque française de voitures, avait été aménagé de manière à être utilisée à des fins administratives par des institutions culturelles publiques, a rappelé le même responsable, ajoutant que le bâtiment sera transformé, à l’horizon 2015, en musée d’art moderne, à l’image de celui de la rue Didouche Mourad à Alger.
                          Source : APS


                          Hygiène et environnement: Une grande toilette en prévision de 2015


                          Quote:
                          Pour se préparer à accueillir la manifestation «Capitale de la culture arabe de 2015», Constantine va s'occuper de sa toilette, et cela à travers les nombreux projets retenus dans le secteur de l'Environnement. En effet, invité hier à l'émission «Forum» de la radio régionale de Constantine, M. Seddik Benabdallah, directeur de l'Environnement de la wilaya, a levé le voile sur un grand nombre de ces projets dont la plupart continuent encore à faire l'actualité dans la Ville des Ponts en alimentant les discussions et les questionnements de la population. Le directeur de l'Environnement a été invité à informer les citoyens sur les projets retenus et sur l'état d'avancement des chantiers qui ont été déjà lancés autant que sur ceux qui vont l'être. Sur ce chapitre, c'est le fameux parc biologique prévu sur le site du Bardo qui a figuré en bonne place dans les commentaires et les questions posées par les journalistes présents sur le plateau.

                          De la sorte, il a été amené à annoncer que les études et les consultations concernant ce projet qui s'étendra sur 25 hectares et coûtera 2 milliards de dinars sont au stade de la finalisation et les travaux vont être lancés la semaine prochaine. Il rappellera que le projet comprend 7 jardins botaniques qui seront plantés d'orangers, d'oliviers… etc. Il sera livré en 2015, avant le démarrage de la manifestation attendue, rassure M. Benabdallah.

                          Le second volet du programme porte sur la collecte et le traitement des déchets ménagers. A ce titre, le directeur de l'Environnement a annoncé que cette opération va se faire par la méthode des caissons enterrés, méthode en vogue dans les pays européens. 250 d'entre eux vont être aménagés à l'intérieur du tissu urbain de la ville et 100 dans la périphérie. «Le chantier vient d'être lancé», a indiqué le directeur de l'Environnement. Ensuite, a-t-il poursuivi, il y aura une opération de réhabilitation de tous les espaces verts. D'une valeur de 30 milliards de centimes, cette opération sera prise en charge par des petites entreprises, dont les deux Epic spécialisées qui ont été créées récemment, et sera lancée parallèlement à celle visant la réhabilitation des places publiques, des espaces collectifs et des escaliers de la ville pour laquelle une enveloppe de 25 milliards de centimes a été dégagée. Poursuivant l'énumération des projets rentrant dans le cadre de la préparation de la manifestation culturelle de 2015, M. Benabdallah citera un projet qui sera réalisé par le secteur des Ressources en Eau (Hydraulique) dans le cadre de l'assainissement du Rummel par la collecte et le traitement des eaux qui y sont déversées tout au long de son cours. Sur sa lancée, l'orateur annoncera que le second centre d'enfouissement technique qui a été construit à Doghra, dans la commune de Zighoud-Youcef, va entrer en fonction dans un mois, tout au plus, pour prendre en charge les déchets des agglomérations de la zone nord de la wilaya.

                          Interrogé ensuite sur le chantier du parc citadin de Zouaghi-Slimane dont on parle depuis plusieurs années et qui n'a pas vu le jour jusqu'à présent, le directeur de l'Environnement a reconnu que ce projet, prévu sur un terrain de 25 hectares, a connu beaucoup de retard à cause de la réalisation de la ligne du Tramway qui passe à proximité. «Actuellement, les travaux qui ont repris ont atteint un niveau de réalisation de 30 %», a indiqué l'intervenant. Toutefois, ce dernier, en réponse à une question sur la pollution créée par les stations-service de lavage/graissage et les moyens d'y remédier, finira par reconnaître que «ce problème n'est pas encore maîtrisé pour la simple raison que c'est un phénomène tout à fait récent. Mais nous pensons le résoudre par la construction de bassins de récupération et de décantation». En ce moment, ce dossier est en stand-by, a conclu le directeur de l'Environnement.
                          Q-O

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                          • #88
                            Ahh !! Merci beaucoup pour la vidéo du palais ! et les photos ..
                            Superbe !

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                            • #89
                              salam

                              La Tribune - 13 octobre 2009

                              Transrhummel : les glissements de terrain jugés superficiels

                              Le groupe brésilien Andrade Gutierrez, qui associe le bureau d'études «COWI», chargé de la réalisation à Constantine du viaduc géant communément appelé le Transrhummel, a re-présenté le projet dimanche dernier au nouveau siège de la wilaya situé à la cité Daksi. En présence d'un émissaire dépêché par le ministère des Travaux publics et des autorités locales, les Brésiliens ont redéfini les contours de ce méga-chantier engagé à Constantine et dont le coup prévisionnel avoisine les 14 milliards et demi de dinars. «Les études du sol sont en phase de finition et on en décèle que des glissements superficiels», concluent les ingénieurs. Ainsi, la crainte sur les affaissements est dissipée. L'entame des gros travaux qui prendront effet après la désignation d'un bureau d'études et de suivi national, comme le stipulent les textes puisque cette opération s'inscrit dans le cadre d'une coopération Sud-Sud, n'est qu'une question de jours. Un appel d'avis d'offres devrait être lancé incessamment pour désigner le cabinet devant assurer l'évolution des travaux. Il faut savoir que le choix du premier bureau a été rejeté faute de points en commun avec l'actuel cahier des charges. Sur un autre plan, le CTC pourrait faire son offre aux côtés d'autres bureaux, a précisé le wali. Dans le cas contraire, le service technique de la willaya est sollicité pour faire son suivi «en parallèle» avec le bureau qui aura cette responsabilité. C'est dans le but de rester dans la norme du coût initial que ce suivi mixte est souhaité. En somme, le groupe brésilien s'est installé depuis plusieurs mois et n'attend que les bureaux pour entreprendre l'œuvre qui sera fin prête d'ici à 2012. Pour rappel, le Transrhummel, long de 1 119 mètres, reliera les deux rives de la cité millénaire. C'est-à-dire la place dite El Fedj au plateau El Mansourah. Un projet qui devrait désengorger la partie haute de la ville en ce qui concerne le trafic routier.

                              N. H.



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                              • #90
                                merci pour ces illustrations za1 ... sauf pour les cours des justice et ... les prisons, nous devons pas être fier.

                                Commentaire

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