C'est pour promouvoir plutôt la débauche qu'ils font ce qu'ils font, ils veulent que la femme musulmane devienne une Pu-te et être fière de l'être, en plus de cela. Go figure.
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L'association « Ni P. ni soumises » bientôt en Algérie ?
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La source est bonne et d'ailleurs je peux aussi affirmer que Ni **** ni soumise veut s'installer en Algérie. Qu'en dis tu ?
En passant, tu ne nous as toujours pas dit qui était Mus et Ka.Dernière modification par absent, 25 février 2009, 10h29.
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Mehdoche
Elles ont fait l'énorme erreur de se mettre à dos les garçons de notre communauté et particulièrement ceux des cités qui n'ont jamais accepté d'être considérés comme des violeurs ou des terroristes. On n'agit pas de la même façon avec les occidentaux et les maghrébins. C'est l'erreur fatale car c'est avec les hommes de notre communauté à leurs côtés que les femmes pourront changer les choses.Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent
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Elles ont fait l'énorme erreur de se mettre à dos les garçons de notre communauté et particulièrement ceux des cités qui n'ont jamais accepté d'être considérés comme des violeurs ou des terroristes. On n'agit pas de la même façon avec les occidentaux et les maghrébins. C'est l'erreur fatale car c'est avec les hommes de notre communauté à leurs côtés que les femmes pourront changer les choses.
C'est exactement ça le problème qui sterilise l'action de cette association dans les quartiers.Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
"L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants." Thomas Mann
Cette citation me vient de mon cousin chaoui Adhrhar
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article qui date d'avant la décision marocaine de refuser l'association
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18 février 2009
C’est une première au Maghreb et dans le monde arabo-musulman : l’association féministe Ni ***** ni soumises (NPNS) va ouvrir une antenne à Rabat, au Maroc. La nouvelle devait être annoncée jeudi 19 février, par deux jeunes polytechniciennes marocaines à l’occasion du rallye automobile 4L Trophy, auquel elles participent, et qui se déroule cette année dans le royaume.
Pour l’instant, l’initiative de NPNS ne soulève pas d’enthousiasme. Elle est vue avec circonspection, parfois même hostilité, dans un pays où 62 % des femmes sont analphabètes.
Traduite mot à mot en arabe classique par “La Baghiya La Khaniaâ”, l’appellation Ni ***** ni Soumises est considérée comme provocante et vulgaire. “Si la raison d’être et les objectifs de NPNS au Maroc sont fondés, le nom, lui, doit être changé. Il est trop choquant”, estime Bouthayna Iraqui Houssaini, députée et présidente de l’Association des femmes chefs d’entreprise du Maroc.
“On exporte de France des choses qui sont admises dans leur contexte mais qui, ici, deviennent abjectes”, dénonce de son côté Lahcen Daoudi, vice-secrétaire général du Parti de la justice et du développement (PJD), parti islamiste modéré. Pour cet universitaire, économiste de formation, “cette terminologie est violente”, et il aurait fallu “l’adapter au contexte marocain”.
A Paris, Siham Habchi, qui a succédé, il y a deux ans, à Fadela Amara à la présidence de NPNS, ne s’émeut pas de toutes ces critiques. “Le nom de Ni ***** ni soumises est dur à dire, je le sais. Mais il correspond à une réalité qui est elle-même dure, violente. On ne doit pas gommer la réalité sociale de NPNS, ni ce qu’il y a dessous”, explique-t-elle, avant de rappeler le cas de son adjointe à la tête du mouvement, Chahrazad Belayni.
Gravement brûlée en novembre 2005, à Neuilly-sur-Marne (Seine-Saint-Denis), par son ancien petit ami qu’elle refusait d’épouser, Chahrazad Belayni, 21 ans, aujourd’hui vice-présidente de NPNS, est un symbole en France de la lutte contre la violence faite aux femmes, en particulier celles qui sont issues de l’immigration.
“Les mariages forcés, ce problème euro-méditerranéen, et la scolarisation des filles font partie de nos objectifs prioritaires au Maroc”, indique Siham Habchi, qui entend lancer, avec NPNS, un “combat féministe populaire” un peu partout dans le monde, au nom de “l’universalité des droits des femmes”. Ce combat sera mené “avec les femmes elles-mêmes”, et constituera “la meilleure réponse au relativisme culturel en Europe”, qui continue, déplore-t-elle, de trouver “des justifications à l’inacceptable”.
Créée à Paris en mars 2003 pour dénoncer les violences machistes infligées aux filles dans les banlieues françaises, NPNS compte à présent une quarantaine de comités en France et à l’étranger, notamment en Belgique, en Espagne, aux Pays-Bas et en Suède. Des contacts sont en cours avec l’Algérie, l’Arabie saoudite et l’Afghanistan, via des ONG locales de défense des droits des femmes.
Source: Le Monde, article de Florence Beaugé
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Mehdoche
Non seulement la stérilise mais l'empêche de faire des actions concrètes et d'être suivie par les femmes de notre communauté qui ont déjà suffisamment de problèmes et ne veulent pas se rajouter celui là.
ulysse as bidon du tout c'est réel.Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent
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Enfin même si cet article n'était pas bidon (un article sans source, on ne sait toujours pas qui sont K et Mus..), cette petite association franco-française n'a aucune chance de s'implanter en Algérie: elle est détestée par les Algériens...
Elle ferait mieux d'aller chercher son coup de pub ailleurs (passe au voisin: la Tunisie)...
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Pourquoi détestée d'après toi ? les immigrés ça se comprend mais les algériens ?
Sinon, si tu t'intéresses à la question, ou si tu fais parti de l'association, le plus simple est que tu lances un sondage sur F.A réservé aux Algériens. Tu pourrais ainsi avoir une idée approximative dont cette association est perçue en Algérie.
Mais si tu veux mon avis, elle n'a aucune chance de s'implanter en Algérie. Et si par un concours de circonstance improbable, elle venait à être agréee: elle serait très contre-productive pour la cause qu'elle dit défendre.
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