Près de 170 000 soldats marocains sont déployés dans les territoires sahraouis, a indiqué hier à Alger le président du comité sahraoui contre la torture, M. Mami Aamar Salem. « Ces soldats ont été déployés par le Maroc dans les territoires occupés pour mater la résistance civile sahraouie », a souligné M. Mami Aamar Salem dans une intervention lors d’une conférence intitulée « La résistance sahraouie dans les territoires occupés » organisée au centre « Echaab » des études stratégiques. La résistance sahraouie « ne date pas d’aujourd’hui », son début remonte à de longues années pour montrer au monde entier que « le Front Polisario est le représentant légitime du peuple sahraoui », a précisé M. Mami Aamar Salem.
Il a ajouté, dans ce contexte, que la résistance qui se poursuit toujours vise à « rompre le blocus militaire et médiatique imposé par le Maroc à la région, comme elle a accompli déjà plusieurs réalisations dont l’établissement de relations avec des organisations internationales ». De son côté, Naama Asfari, juriste et ancien prisonnier politique, a indiqué que la présence en Algérie d’une dizaine de militants sahraouis pour les droits de l’homme et d’anciens détenus politiques vise à faire connaître la cause sahraouie et la résistance civile de son peuple contre le Maroc. Cette présence se veut « une renaissance de la cause sahraouie », a-t-il ajouté soulignant que « le peuple sahraoui, tout en étant capable de diriger les négociations, peut aussi mener des soulèvements ».
Le Jeune Indépendant
Il a ajouté, dans ce contexte, que la résistance qui se poursuit toujours vise à « rompre le blocus militaire et médiatique imposé par le Maroc à la région, comme elle a accompli déjà plusieurs réalisations dont l’établissement de relations avec des organisations internationales ». De son côté, Naama Asfari, juriste et ancien prisonnier politique, a indiqué que la présence en Algérie d’une dizaine de militants sahraouis pour les droits de l’homme et d’anciens détenus politiques vise à faire connaître la cause sahraouie et la résistance civile de son peuple contre le Maroc. Cette présence se veut « une renaissance de la cause sahraouie », a-t-il ajouté soulignant que « le peuple sahraoui, tout en étant capable de diriger les négociations, peut aussi mener des soulèvements ».
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