Un Roi aux abois
Les forces marocaines ont fait main basse sur un territoire peu après le départ des espagnols. Mais ils ont un mal certain à venir à bout du Polisario qui milite à juste titre pour l’autodétermination de son pays occupé par les hordes marocaines. Le monarque néophyte, très rodé dans les entourloupettes a fait de l’Algérie son bouc émissaire éternel afin de justifier au marocain lambda que tous les problèmes qui le frappent proviennent du pays voisin. Pour ceux qui l’ignorent, plusieurs dignitaires du Palais Royal ont intérêt à ce que le conflit du Sahara occidental dure le plus longtemps possible tandis que d’autres en ont fait leur fonds de commerce.
Le roi, qui tantôt parle de la nécessite de réouvrir la frontière algéro-marocaine afin de profiter de la manne algérienne sans se préoccuper si cette initiative (qui n’est pas algérienne alors que cette question demeure l’apanage exclusive d'Alger) profitera aux algériens eux-mêmes devra se faire à l’idée qu’avec ses gesticulations et ses sorties médiatiques de bas étages, il ne fait en réalité que desservir un rapprochement très hypothétique entre les deux pays et se rend coupable en ne donnant aucune chance à la diplomatie conjointe afin de normaliser les relations entre Alger et Rabat. Force est de constater que la monarchie marocaine puise sa "légitimité" de l’histoire du Sahara et de sa conquête.
Il est vrai de dire qu’aussi longtemps que durera la monarchie féodale au Maroc comme mode de gouvernance, la question du Sahara occidentale sera utilisée comme fonds de commerce inépuisable et de tirs croisés sur l’Algérie. 30 ans de tergiversations et de manœuvres dilatoires n’ont pas suffit à Rabat pour asseoir son autocratie sur un territoire ne lui appartenant pas.
Force est de constater qu’Alger n’aura d’autres choix que de sévir à la hauteur du préjudice, des coups fourrés et du défi que le roi crétin veut lancer aux dirigeants algériens si la région ne veut pas s’embraser en raison d’un manque de réal politique d’un roi qui ne cherche visiblement que la confrontation avec les Algériens. Ce Roi aux embrouilles multiples qui ne cherche visiblement que des embrouilles à ses voisins sera tenu pour seul et unique responsable si les choses venaient et viendraient à dégénérer. Qui s’y frotte s’y pique. Dans son discours, la malhonnêteté du Dictateur marocain, tel un roitelet de mauvaise augure en vient même à dire qu’en 1975, la marche verte a permis de libérer le Sahara occidental. Eh oui, sans coups de feu, sans effusion de sang et sans que les soldats de sa majesté ait du à tirer des coups de feu (sur qui ?) puisque les Espagnols avaient quitté le territoire et le monarque sait pertinemment à quoi il se serait exposé s’il avait foulé du pied ce territoire occupé par les espagnols, bien avant leur départ.
Avec l’argent colossale mal acquis, le Roi aurait pu à lui tout seul sortir de la misère, les millions de marocains qui croupissent sous la misère et qui vivent au jour le jour et d’autres confrontés aux lendemains très incertains. Et jusqu’à quand compte-t-il se cramponner à cette forme de gouvernance qui ne profite qu’au Roi et à ses lécheurs de bottes ? Mais qui pourra arrêter les délires d’un roi novice, partisan de l’escalade du bellicisme ?
Les forces marocaines ont fait main basse sur un territoire peu après le départ des espagnols. Mais ils ont un mal certain à venir à bout du Polisario qui milite à juste titre pour l’autodétermination de son pays occupé par les hordes marocaines. Le monarque néophyte, très rodé dans les entourloupettes a fait de l’Algérie son bouc émissaire éternel afin de justifier au marocain lambda que tous les problèmes qui le frappent proviennent du pays voisin. Pour ceux qui l’ignorent, plusieurs dignitaires du Palais Royal ont intérêt à ce que le conflit du Sahara occidental dure le plus longtemps possible tandis que d’autres en ont fait leur fonds de commerce.
Le roi, qui tantôt parle de la nécessite de réouvrir la frontière algéro-marocaine afin de profiter de la manne algérienne sans se préoccuper si cette initiative (qui n’est pas algérienne alors que cette question demeure l’apanage exclusive d'Alger) profitera aux algériens eux-mêmes devra se faire à l’idée qu’avec ses gesticulations et ses sorties médiatiques de bas étages, il ne fait en réalité que desservir un rapprochement très hypothétique entre les deux pays et se rend coupable en ne donnant aucune chance à la diplomatie conjointe afin de normaliser les relations entre Alger et Rabat. Force est de constater que la monarchie marocaine puise sa "légitimité" de l’histoire du Sahara et de sa conquête.
Il est vrai de dire qu’aussi longtemps que durera la monarchie féodale au Maroc comme mode de gouvernance, la question du Sahara occidentale sera utilisée comme fonds de commerce inépuisable et de tirs croisés sur l’Algérie. 30 ans de tergiversations et de manœuvres dilatoires n’ont pas suffit à Rabat pour asseoir son autocratie sur un territoire ne lui appartenant pas.
Force est de constater qu’Alger n’aura d’autres choix que de sévir à la hauteur du préjudice, des coups fourrés et du défi que le roi crétin veut lancer aux dirigeants algériens si la région ne veut pas s’embraser en raison d’un manque de réal politique d’un roi qui ne cherche visiblement que la confrontation avec les Algériens. Ce Roi aux embrouilles multiples qui ne cherche visiblement que des embrouilles à ses voisins sera tenu pour seul et unique responsable si les choses venaient et viendraient à dégénérer. Qui s’y frotte s’y pique. Dans son discours, la malhonnêteté du Dictateur marocain, tel un roitelet de mauvaise augure en vient même à dire qu’en 1975, la marche verte a permis de libérer le Sahara occidental. Eh oui, sans coups de feu, sans effusion de sang et sans que les soldats de sa majesté ait du à tirer des coups de feu (sur qui ?) puisque les Espagnols avaient quitté le territoire et le monarque sait pertinemment à quoi il se serait exposé s’il avait foulé du pied ce territoire occupé par les espagnols, bien avant leur départ.
Avec l’argent colossale mal acquis, le Roi aurait pu à lui tout seul sortir de la misère, les millions de marocains qui croupissent sous la misère et qui vivent au jour le jour et d’autres confrontés aux lendemains très incertains. Et jusqu’à quand compte-t-il se cramponner à cette forme de gouvernance qui ne profite qu’au Roi et à ses lécheurs de bottes ? Mais qui pourra arrêter les délires d’un roi novice, partisan de l’escalade du bellicisme ?
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