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Présentation à Courtrai de documents prouvant la marocanité du Sahara depuis le 17-èm

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  • Présentation à Courtrai de documents prouvant la marocanité du Sahara depuis le 17-èm

    Courtrai (Belgique) - Des documents et des témoignages prouvant les fondements historiques de la marocanité du Sahara depuis le 17-ème siècle ont été présentés, samedi soir à Courtrai (nord-ouest de la Belgique), devant des députés et responsables politiques belges ainsi que des membres de la communauté marocaine établie en Europe.


    Animant une conférence sous le thème "Fondements historiques de la marocanité du Sahara", M. Lahcen Mahraoui, membre du Conseil Royal Consultatif des Affaires Sahariennes (CORCAS) a passé en revue les différentes étapes historiques des liens solides qui ont toujours existé entre le Maroc et ses provinces du Sud à travers notamment des documents, des témoignages et des correspondances authentiques disponibles dans les archives de certains pays et dans des bibliothèques nationales européennes.

    "Le Sahara a de tout temps fait partie intégrante du Royaume, en témoigne notamment l'allégeance (Bayâ) des populations sahraouies aux Sultans marocains à travers l'histoire du Maroc, pays constitué en Etat depuis le 9-ème siècle", a souligné M. Mahraoui, expliquant que ce signe de souveraineté sur le Sahara se manifestait par la nomination par le Sultan des responsables locaux (caïds, juges et chefs militaires).

    Qui plus est, a poursuivi M. Mahraoui, les fondateurs des dynasties au Maroc étaient souvent directement issus de l'une des tribus sahraouies.
    Preuve à l'appui, le conférencier a fait état de documents authentiques qui "témoignent de l'exercice effectif, continu et permanent de la souveraineté des sultans sur le territoire du Sahara", notamment des Dahirs, datant des années 1880, par lesquels les sultans marocains nomment des responsables locaux, leur donnent des consignes ou les chargent de missions.

    Il a, de même, montré des lettres de chefs de tribus sahraouies adressées à leurs Sultans marocains.
    La souveraineté marocaine sur le Sahara, a-t-il affirmé, a été aussi consacrée par des conventions et traités signés entre le Maroc et des puissances étrangères qui ont toujours eu recours aux sultans pour protéger les activités de leurs citoyens au Sahara.

    Il s'agit, entre autres accords, de ceux conclus entre le Maroc, d'une part, les Etats-Unis en 1786, l'Angleterre (1801) et l'Espagne (1869), d'autre part.

    M. Mahraoui a également passé en revue des témoignages et citations de grandes personnalités politiques étrangères de différentes nationalités notamment françaises, anglaises et allemandes prouvant la marocanité du Sahara et qui datent de la période allant du 17-ème siècle au protectorat.
    Le Maroc était le seul pays africain sous deux colonisations espagnole et française, a-t-il, par ailleurs, rappelé, soulignant que le processus de la décolonisation des parties sous occupation espagnole (Nord et Sud) s'est fait de façon pacifique et progressive à la suite des négociations entre les deux Etats.

    Bien que Sebta et Mellila et les Iles Jaafarines sont toujours sous occupation espagnole, a précisé le conférencier, la partie sud du Maroc a été décolonisée en 1975 après la Marche verte, la signature des accords de Madrid et la "Bayâ de la jamaâ" qui représentait les sahraouis dans ces territoires.

    Pour M. Mahraoui, le problème du Sahara aujourd'hui n'est plus une question de décolonisation mais "bel et bien un conflit politique régional voulu et soutenu par le régime au pouvoir en Algérie et notamment par les services de la sécurité militaire algérienne".

    Dès le début de ce conflit, a-t-il poursuivi, l'implication de l'Algérie ne souffre d'aucune ambiguïté, sa responsabilité dans ce conflit est clairement établie aux niveaux diplomatique, militaire et humanitaire et à travers ses actions et positions dans tous les forums internationaux.

    Dans le même ordre d'idées, il a rappelé des déclarations de certains responsables algériens qui corroborent la marocanité du Sahara et déplorent l'implication de leur pays dans ce problème.
    Il a ainsi cité d'anciens présidents parmi lesquels M. Ahmed Ben Bella qui affirme être "toujours contre la position d'Alger quant à ce conflit" et que "la solution politique au problème du Sahara est sous la souveraineté marocaine".

    Quant à Feu Mohamed Boudiaf, l'académicien marocain a rappelé la ferme position de l'ancien président relative à ce problème régional: "ce conflit n'a aucune raison d'exister. Le polisario anti maghrébin ne doit plus compter sur l'aide et l'appui algériens".

    L'ex-Premier ministre Abdelhamid Ibrahimi tout comme le général Khaled Nezar, à la retraite, avaient aussi déclaré, chacun de son côté, que la solution du conflit sera trouvée dans une autonomie interne au sein de l'unité marocaine.

    Le conférencier s'est, par ailleurs, attardé sur les différentes étapes de ce conflit depuis ses débuts à nos jours, démontrant que depuis le cessez-le-feu en 1991, toutes les tentatives de règlement, dont le référendum, ont échoué et que seule une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable serait en mesure, avec la bonne volonté des autres parties, de mettre fin à ce conflit.

    Dans ce cadre, il a évoqué notamment la proposition marocaine d'autonomie qualifiée de "sérieuse et de crédible" dans toutes les résolutions (1754-1783-1813 et 1871) adoptées par le Conseil de sécurité des Nations Unies depuis avril 2007.

    Lors d'un débat avec l'assistance, M. Mahraoui a soulevé la situation déplorable des séquestrés dans les camps de Tindouf sur le territoire algérien, exhortant la communauté belge, européenne et internationale à assumer sa responsabilité face à l'opposition catégorique de l'Algérie à toute demande du Haut commissariat aux réfugiés (HCR) pour le recensement des populations séquestrées dans ces camps.

    Il a également souligné que ce conflit met l'ensemble de la région face à de grandes menaces notamment le terrorisme, le trafic d'armes, l'immigration clandestine et la traite des êtres humains.

    Cette conférence a été organisée dans le cadre du 15-ème anniversaire de l'Association marocaine de solidarité sahraouie en Europe en présence notamment de l'ambassadeur du Maroc en Belgique et au Luxembourg, M. Samir Addahre et des consuls généraux d'Anvers et de Bruxelles.

    Près de cinq cent personnes, dont une forte communauté marocaine établie dans plusieurs pays européens tels les Pays-Bas, la France, l'Italie et l'Espagne ont pris part à cette manifestation ponctuée de spectacles de chants et de danses puisés dans la pure tradition hassanie.


    MAP

  • #2
    Il y en a meme pour Tindouf, la Saoura, et meme le Gourara ainsi que pour le sud mauritanien.

    Mais la mauvaise foie fait rage.

    J'adorerai voir un document prouvant juste une relation entre bechar et alger.

    Bechar pourtant c'est pas le grand sud !!

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    • #3
      Des documents et des témoignages prouvant les fondements historiques de la marocanité du Sahara depuis le 17-ème siècle
      Héhé y compris Ceuta et Mellilla ??

      Il y en a meme pour Tindouf, la Saoura, et meme le Gourara ainsi que pour le sud mauritanien.
      la monarchie alaouite cherche son anéantissement !

      alors pourquoi pas aussi l Andalousie ???

      PS : les négociations approchent on va lire beaucoup de découverte marocaine ....?????????
      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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      • #4
        Moi j'aimerai juste voire des documents de la sorte entre Oran et Alger, il y'en a pas aucun, et la des doc qui prouvent que le sultan à Fès gérait les affaires du Sahara depuis des siècles, ceux là sont insuffisants pour certains incapables de ramener de tel doc prouvant un lien entre deux villes de leur propre pays.

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        • #5
          Et ceux prouvant la Mauritanite de la moitie du SO, ou sont-ils passés ?
          Si la vie n'est pas une partie de plaisir, l'alternative est pire.

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          • #6
            Ils n'ont jamais existé, et si tu parles a n'importe quel Mauritanien, il te dira que son pays appartenait avant au Maroc.
            Sinon si tu veut te mentir et fermer tes yeux à la réalité, tu peut te dire que tant que tu est dans la déformation de la réalité qu'il existe des doc qui prouvent qu'Alger a contrôlé la mecque.

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            • #7
              au 17 siècle le maroc faisait à peine Qlqs centaines de m2 ça se résumait au harem du sultan....
              « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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              • #8
                Les nations sont une création des hommes

                Elles se créent un jour pour disparaittre une autre jours

                aucune nation n'est éternelle

                la nation américaine a été crée 1976

                les nations maya, azteque ont disparue brutalement avec l'arrivée de l'homme blanc

                la nation allemande germanique a été crée au palais des glaces de versaille en 1870

                la nation arabe en andalousie a définitivement disparue un jour de 1492 après 800 ans d'existance

                il n'ya pas de nation figé dans le temps tous est une équilibre de forces

                aujourd'hui la lutte entre le Maroc et l'Algérie fait que le Maroc est présent au Sahara et l'Algérie veut l'en déloger

                c'est au plus malin de gagner la partie

                il n'ya ni droits historiques millénaires ni droit à l'autodétermination des peuples

                tous est cynisme makhiavelique

                y a qu'a voir l'engagement a fond de l'algérie dans ce dossier pour comprendre que l'enjeu est algérien
                Le Maroc de son coté comprend très bien qu'un Etat inféodé à l'Algérie à son sud signifie son isolement de son prolongement africains deja ils est isolé de son prolongement à l'est

                Voir le problème dans le sens de Mykhiavel , et tous devient clair
                .
                .
                ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
                Napoléon III

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                • #9
                  le réve du Grand Maroc ?

                  Ils n'ont jamais existé, et si tu parles a n'importe quel Mauritanien, il te dira que son pays appartenait avant au Maroc.
                  Beidawi II : personne ne croit à ce mensonge , ni à la these pernicieuse d Allal El Fassi , y a que la monarchie alaouite qui croit ?

                  bonne lecture ! au sujet de la Mauritanie .

                  en 1960 lorsque Mokhtar Ould Daddah arrache l'indépendance de son pays à une France empêtrée dans la guerre d'Algérie. “Au moment où la France par des institutions généreuses, nous donne le droit de nous gouverner nous-mêmes et de nous déterminer librement, je dis non au Maroc ! Mauritaniens nous étions, Mauritaniens nous sommes, Mauritaniens nous resterons”. C'est par ces mots, que le futur président de la Mauritanie indépendante répond au fameux discours de M'Hamid Al Ghizlane (1958) où feu Mohammed V évoque solennellement ce “Maroc historique qui va de Tanger à St Louis du Sénégal et à Tombouctou incluant le Sahara espagnol et une partie du Sahara algérien”.

                  TelQuel
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                  A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                  • #10
                    la vraie histoire des Alaouites

                    bledard_for_ever
                    au 17 siècle le maroc faisait à peine Qlqs centaines de m2 ça se résumait au harem du sultan...


                    Je crois qu'à la lecture de cet article de Tel Quel du 23 au 29 janvier 2010, on prend conscience que tes quelques centaines de m2 sont en dessous de la réalité. 17 siècle au Maroc on a vu, quid de l'autre côté ?





                    LES TROIS FONDATEURS (1631-1672)
                    Le grand sultan saadien Ahmed Al Mansour décède en 1603, ouvrant une longue période d’anarchie pendant laquelle ses fils se battent pour le pouvoir. Jusqu’au milieu du XVIIème siècle, les derniers sultans saadiens ne conservent en fait que Marrakech. La voie est libre pour l’émergence d’une nouvelle dynastie de chorfa : les Alaouites.

                    Moulay ali Cherif (1631-1636)
                    Chef du Tafilalet
                    Les Alaouites, qui ont leur fief dans le Tafilalet, sont alors communément appelés Filaliens. Menacés par l’expansion de la zaouïa de Dila (dans le centre marocain) et devant faire face à la guerre civile qui gangrène le règne des derniers Saadiens, les habitants du Tafilalet s’unissent sous la bannière d’un chef énergique de 52 ans. Pendant cinq ans, grâce à son ascendant religieux, Moulay Ali Cherif préside ainsi aux destinées de son clan, parvenant à le prémunir des visées dilaïtes. En 1636, se sentant trop âgé pour transformer son prestige religieux en pouvoir politique, Moulay Ali Cherif abdique en faveur de son fils aîné, alors âgé de 20 ans à peine.

                    Moulay Mohammed (1636-1664)
                    Le continuateur
                    “Esprit impétueux, servi par une vigueur physique exceptionnelle et une audace poussée jusqu’à la témérité, Moulay Mohammed commença par s’attaquer sur place à tous ceux qui contestaient son autorité”, écrit Jacques Benoist-Méchin dans son Histoire des Alaouites. De fait, en 28 ans de règne, Moulay Mohammed ne cesse de guerroyer, avec plus ou moins de bonheur, contre les Dilaïtes dont le pouvoir décline, et contre les Turcs présents dans l’est marocain. Chef de bande plus que sultan, Moulay Mohammed dispose, à défaut d’un territoire organisé, d’une zone d’influence et, à défaut d’une armée, de tribus arabes prêtes à le suivre. Pour Henri Terrasse, auteur d’une Histoire du Maroc des origines à l’établissement du Protectorat français, “Moulay Mohammed n’apparaît pas comme un fondateur de royaume. Ce demi-saharien ne concevait guère que la razzia et, soucieux avant tout de profits immédiats, il ne semble avoir rien fait pour organiser ses conquêtes momentanées”.

                    Moulay Rachid (1664-1672)
                    Le vrai fondateur
                    Moulay Rachid monte sur le trône après avoir éliminé son frère, dont il reprend la politique guerrière avec plus de sens politique. En moins de dix ans, il réussit à imposer son autorité à tout le Maroc. Il commence par contrôler toute la voie caravanière qui, partant de Sijilmassa et aboutissant à la basse vallée de la Moulouya, permet de relier la Méditerranée aux confins sahariens. Ayant le contrôle de l’itinéraire marocain du commerce transsaharien, il en perçoit les profits nécessaires à l’armement de ses troupes. En 1666, il prend Fès, capitale des Idrissides, première dynastie musulmane au Maroc : la dynastie alaouite est officiellement née. En 1668, Moulay Rachid met fin aux visées dilaïtes : l’agglomération de Dila, cœur de la confrérie, est prise et rasée. L’année suivante, c’est Marrakech qui tombe dans son escarcelle. Mais Moulay Rachid n’a pas le temps de consolider son œuvre : il se tue à 42 ans dans un accident de cheval, laissant derrière lui un Etat marocain enfin reconstitué.

                    L'ÂGE D'OR DE MOULAY ISMAÏL (1672-1727)
                    Fils de Moulay Ali Cherif et d’une esclave, Moulay Ismaïl est le demi-frère de Moulay Mohammed et Moulay Rachid. Son règne de 56 ans est souvent considéré comme l’apogée de la dynastie alaouite. Sultan bâtisseur, Moulay Ismaïl modernise le Maroc : il dote le royaume d’une capitale brillante, Meknès, il réorganise l’armée chérifienne en créant le corps des Abid Al Boukhari, et pose les bases d’un Etat centralisé, désormais appelé Makhzen.

                    Guerres pour le trône
                    Dans la lutte pour le trône qui oppose Moulay Rachid à son frère Moulay Mohammed, Moulay Ismaïl a pris le bon parti. Jouissant de la confiance de Moulay Rachid, il est, au moment de la mort accidentelle de ce dernier, gouverneur de Meknès et chef militaire de la zone nord d’un royaume dont le cœur bat au sud. Mais son accession au pouvoir ne se fait pas sans heurts. Même adoubé par les ouléma, Moulay Ismaïl doit faire face, pendant quatorze ans, à la révolte de son neveu Ahmed Ben Mahrez, fils de Moulay Rachid. Vers le milieu de son règne, Moulay Ismaïl doit également réprimer la révolte de plusieurs de ses fils qui s’estiment lésés dans le partage des charges officielles. Ils seront battus sur le champ de bataille et exécutés.

                    Un despote oriental
                    Aux yeux des historiens européens, Moulay Ismaïl fait figure de sultan fastueux certes, mais aussi sadique et colérique. Henri Terrasse, qui a étudié les registres tenus par les franciscains au service des prisonniers chrétiens, rapporte qu’ils notaient tous les décès parmi les captifs. Ceux survenus de la main du sultan étaient marqués d’une petite croix. Total : 127 détenus ou esclaves chrétiens tués par Moulay Ismaïl entre 1684 et 1727 ! Quand il demande à Louis XIV la main de sa fille, la princesse de Conti, en précisant qu’elle aura le droit de garder la foi chrétienne, c’est logiquement toute la cour de Versailles qui se gausse et répond que Moulay Ismaïl n’a qu’à se convertir. Les relations franco-marocaines pâtiront quelques années de cet épisode quelque peu burlesque.

                    La naissance du Makhzen
                    Si Moulay Ismaïl est resté dans les annales comme un grand sultan, c’est que l’homme a eu ses heures de gloire. Il obtient notamment des résultats substantiels dans la reconquête des places fortes de la côte occupées par les puissances étrangères. En 1681, il reprend la Maâmora, Tanger en 1684, et Larache en 1689. Sur le front intérieur, il fait de Meknès sa capitale, rompant de fait avec la tradition des Alaouites qui lui avaient jusqu’alors préféré Fès ou Marrakech. La nouvelle capitale abrite le palais que le sultan s’est fait bâtir sur le modèle des grandes œuvres de l’architecture arabo-andalouse. Moulay Ismaïl s’attache également à moderniser son armée. Il réorganise ainsi le guich (agrégation des auxiliaires militaires arabes des dynasties précédentes) que lui ont légué ses prédécesseurs. L’ensemble des contingents constitué prend le nom de guich des Oudayas. Moulay Ismaïl crée également le corps des Abid Al Boukhari, esclaves noirs qui constituent sa garde personnelle après avoir prêté serment sur le recueil de Hadiths d’Al Boukhari.

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                    • #11
                      Takoumite : J'adorerai voir un document prouvant juste une relation entre bechar.....

                      Il existe plus de 350 dahirs sultaniens de nomination de caïds et de cadis au Sahara marocain, sous la dynastie alaouite. Sous les Saâdiens (1517-1669), sont répertoriés 243 dahirs de nomination d'autorités au Sahara. Il faut y ajouter les innombrables échanges de correspondances entre les tribus sahraouies et les sultans. Quelques uns de ces documents sont reproduits ici.

                      http://www.*****************/board/MoroccanSahara.htm

                      Tu rajoute a la place des étoiles ces trois mot sans les espaces : morocco board. com

                      http://www.*****************/board/MoroccanSahara.htm

                      Commentaire


                      • #12
                        Quand il demande à Louis XIV la main de sa fille, la princesse de Conti
                        je pense qu'il s'agit d'une de ces soeurs divorcée et non de sa fille
                        .
                        .
                        ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
                        Napoléon III

                        Commentaire


                        • #13
                          un ( 1 ) de plus !

                          Il Il existe plus de 350 dahirs sultaniens
                          Raco

                          Sans aucun doute y aura ( 1 ) DAHIR de plus pour embourber la monarchie alaouite ..

                          Dahir 351 , le 10 /11 Février : Le monde entier appartient à la monarchie alaouite ?
                          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                          Commentaire


                          • #14
                            Pihman
                            Citation:
                            Quand il demande à Louis XIV la main de sa fille, la princesse de Conti
                            je pense qu'il s'agit d'une de ces soeurs divorcée et non de sa fille

                            Il s'agit bien de la fille naturelle de Louis XIV et de Mademoiselle de Lavallière.

                            Commentaire


                            • #15
                              houari16 : Sans aucun doute y aura ( 1 ) DAHIR de plus pour embourber la monarchie al

                              Bonjour houari16

                              Non le 10 & 11 il y aura rien, au mois d'Avril oui, sur et certain .

                              Commentaire

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