Ils s’aimaient et rêvaient de fonder un foyer, d’avoir des enfants et de vivre heureux. Eux, ce sont deux jeunes, un garçon et une fille de Kherrata. L’espoir était présent et le lien qui les unissait se renforçait, chaque jour, jusqu’à cet après-midi de mercredi de la semaine dernière.
La fille rejoignait son amoureux à Béjaïa et, ensemble, ils se rendirent sur la côte ouest pour une balade amoureuse. C’est le moment que choisira alors la fille pour annoncer à son futur mari la mauvaise nouvelle, la pire nouvelle.
«Mes parents m’ont promise à un autre et le mariage est prévu dans 20 jours», aurait-elle dit en substance. Le jeune fut alors pris de colère et devint incontrôlable.
Après un moment de «réflexion et de désespoir», il décide d’agir. Dans sa tête il se disait sans doute que K. n’appartiendrait à personne. Quoi de mieux pour exaucer son voeu que de la pousser dans un ravin. Il s’exécuta sans peine et quitta les lieux.
Le crime passionnel aurait été parfait, n’étaient les témoins qui avaient vu la scène. Il ne savait pas, en effet, qu’il agissait sous les regards d’inconnus. Ces derniers le voyant repartir seul, ont commencé à se poser des questions.
Où est donc passée la jeune fille? se sont interrogés les employés de la station-service jouxtant la RN24. Inquiets et curieux, ils se rendirent sur les lieux et constatèrent que la jeune fille gisait au fond du ravin. Ils entreprirent de la sauver en la conduisant en urgence pour des soins.
Le lendemain, ils reconnurent l’agresseur dans un café d’Aït Mendil. Alertés, les services de sécurité interviennent et arrêtent l’agresseur.
La jeune fille s’en est sortie avec des fractures diverses, mais elle a échappé à la mort grâce à l’action humaine et citoyenne des habitants de la région.
Par l'Expression
La fille rejoignait son amoureux à Béjaïa et, ensemble, ils se rendirent sur la côte ouest pour une balade amoureuse. C’est le moment que choisira alors la fille pour annoncer à son futur mari la mauvaise nouvelle, la pire nouvelle.
«Mes parents m’ont promise à un autre et le mariage est prévu dans 20 jours», aurait-elle dit en substance. Le jeune fut alors pris de colère et devint incontrôlable.
Après un moment de «réflexion et de désespoir», il décide d’agir. Dans sa tête il se disait sans doute que K. n’appartiendrait à personne. Quoi de mieux pour exaucer son voeu que de la pousser dans un ravin. Il s’exécuta sans peine et quitta les lieux.
Le crime passionnel aurait été parfait, n’étaient les témoins qui avaient vu la scène. Il ne savait pas, en effet, qu’il agissait sous les regards d’inconnus. Ces derniers le voyant repartir seul, ont commencé à se poser des questions.
Où est donc passée la jeune fille? se sont interrogés les employés de la station-service jouxtant la RN24. Inquiets et curieux, ils se rendirent sur les lieux et constatèrent que la jeune fille gisait au fond du ravin. Ils entreprirent de la sauver en la conduisant en urgence pour des soins.
Le lendemain, ils reconnurent l’agresseur dans un café d’Aït Mendil. Alertés, les services de sécurité interviennent et arrêtent l’agresseur.
La jeune fille s’en est sortie avec des fractures diverses, mais elle a échappé à la mort grâce à l’action humaine et citoyenne des habitants de la région.
Par l'Expression
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