a l' occasion de la célébration du 3id mawlid acharif ,la meilleure façon de célébrer cette occasion c'est de se rappeler de ses dernières recommandations (SAWS).
bismilla arrahmane arrahim.
O gens, écoutez ma parole. Il se peut que vous ne me trouverez pas parmi vous l'année prochaine en cet endroit. Sachez que Votre vie, vos biens et votre honneur jusqu'à ce que vous rencontriez votre Dieu, sont aussi sacrés que votre jour et votre mois où vous vous trouvez à présent. Vous rencontrerez votre Seigneur qui vous interrogeras sur vos actes. Je vous ai annoncé et transmis !
Quiconque a un dépôt placé chez lui en confiance, qu'il le rende comme il se doit à qui lui a confié. Toute usure est annulée. Vous n'avez droit qu'au capital de votre prêt et aucun ne doit être lésé. Dieu a décrété qu'il n'y a pas d'intérêt . Ainsi, l'intérêt du prêt d'el 'Abbâs (mon oncle) ben 'AbdelMottalib est annulé.
Tout sang versé avant l'Islam n'est plus revendiqué, à commencer par le sang de Rabî'a ben elHârith ben 'AbdelMottalib. Il était allaité chez les Beni Leyth et les Houdheyl le tuèrent.C'est donc le premier (renoncement) par lequel je commence parmi les (affaires de) sang ayant eu lieu dans la Jâhiliyya (avant l'Islam).
O gens ! Satan a perdu tout espoir d'être adoré, ici, sur votre terre. Mais il se contente d'être obéi en dehors de cela et s'accommode de vos actes que vous jugez négligeables. Prenez garde de lui pour votre foi.
Hommes ! Le report (du mois sacré) n'est qu'un surcroît d'infidélité. Les impies n'en seront que plus avancés dans l'erreur. lis profanent une année (le mois) et l'interdisent une année, sous prétexte de respecter la durée (des mois sacrés) qu'Allâh a interdite. Ainsi, ils rendent licite ce qu'Allâh a interdit et interdisent ce qu'il a permis.
Le temps a fait sa révolution et a repris sa position initiale tel le jour où Dieu créa les cieux et la terre. Le nombre des mois de par Allâh est de douze. Sur ce nombre, quatre sont sacrés : trois consécutifs et le quatrième est Rajab, celui de Modar , entre (le mois de) Joumâda et (celui de) Cha'bân.
O gens! Vous avez des droits sur vos femmes et elles ont les leurs sur vous ! (Pour ce qui est) à vous, elles se doivent de ne faire asseoir à votre couche personne que vous blâmeriez et ni de commettre une turpitude avérée. Si elles le faisaient, Dieu vous autorise alors, à ne pas les côtoyer dans la couche, et (si cela ne suffit pas) à les frapper, sans coup violent (moubrih). Recommandez-vous de faire du bien au femmes, car elles sont (telles des) "prisonnières" ('awân) chez vous et ne disposent pas de pouvoir personnel, et (car) Dieu vous les a confiées en dépôts et vous a permis de les approcher.
Entendez bien, ô gens, ma parole, car moi, j'ai annoncé et transmis.
Je vous ai laissé ce avec quoi si vous vous y attachez, vous ne serez jamais égarés, une voie claire : le Livre d'Allâh et la conduite (Sounna) de Son Prophète.
Hommes ! Écoutez ma parole et méditez-la. Vous savez que chaque musulman est un frère pour le musulman, que les Musulmans sont frères. Il n'est donc permis à une personne de (prendre de) son frère que ce qu'il lui a donné de bon gré. Ne vous faites donc pas du tort !
Seigneur, ai-je transmis ?
bismilla arrahmane arrahim.
O gens, écoutez ma parole. Il se peut que vous ne me trouverez pas parmi vous l'année prochaine en cet endroit. Sachez que Votre vie, vos biens et votre honneur jusqu'à ce que vous rencontriez votre Dieu, sont aussi sacrés que votre jour et votre mois où vous vous trouvez à présent. Vous rencontrerez votre Seigneur qui vous interrogeras sur vos actes. Je vous ai annoncé et transmis !
Quiconque a un dépôt placé chez lui en confiance, qu'il le rende comme il se doit à qui lui a confié. Toute usure est annulée. Vous n'avez droit qu'au capital de votre prêt et aucun ne doit être lésé. Dieu a décrété qu'il n'y a pas d'intérêt . Ainsi, l'intérêt du prêt d'el 'Abbâs (mon oncle) ben 'AbdelMottalib est annulé.
Tout sang versé avant l'Islam n'est plus revendiqué, à commencer par le sang de Rabî'a ben elHârith ben 'AbdelMottalib. Il était allaité chez les Beni Leyth et les Houdheyl le tuèrent.C'est donc le premier (renoncement) par lequel je commence parmi les (affaires de) sang ayant eu lieu dans la Jâhiliyya (avant l'Islam).
O gens ! Satan a perdu tout espoir d'être adoré, ici, sur votre terre. Mais il se contente d'être obéi en dehors de cela et s'accommode de vos actes que vous jugez négligeables. Prenez garde de lui pour votre foi.
Hommes ! Le report (du mois sacré) n'est qu'un surcroît d'infidélité. Les impies n'en seront que plus avancés dans l'erreur. lis profanent une année (le mois) et l'interdisent une année, sous prétexte de respecter la durée (des mois sacrés) qu'Allâh a interdite. Ainsi, ils rendent licite ce qu'Allâh a interdit et interdisent ce qu'il a permis.
Le temps a fait sa révolution et a repris sa position initiale tel le jour où Dieu créa les cieux et la terre. Le nombre des mois de par Allâh est de douze. Sur ce nombre, quatre sont sacrés : trois consécutifs et le quatrième est Rajab, celui de Modar , entre (le mois de) Joumâda et (celui de) Cha'bân.
O gens! Vous avez des droits sur vos femmes et elles ont les leurs sur vous ! (Pour ce qui est) à vous, elles se doivent de ne faire asseoir à votre couche personne que vous blâmeriez et ni de commettre une turpitude avérée. Si elles le faisaient, Dieu vous autorise alors, à ne pas les côtoyer dans la couche, et (si cela ne suffit pas) à les frapper, sans coup violent (moubrih). Recommandez-vous de faire du bien au femmes, car elles sont (telles des) "prisonnières" ('awân) chez vous et ne disposent pas de pouvoir personnel, et (car) Dieu vous les a confiées en dépôts et vous a permis de les approcher.
Entendez bien, ô gens, ma parole, car moi, j'ai annoncé et transmis.
Je vous ai laissé ce avec quoi si vous vous y attachez, vous ne serez jamais égarés, une voie claire : le Livre d'Allâh et la conduite (Sounna) de Son Prophète.
Hommes ! Écoutez ma parole et méditez-la. Vous savez que chaque musulman est un frère pour le musulman, que les Musulmans sont frères. Il n'est donc permis à une personne de (prendre de) son frère que ce qu'il lui a donné de bon gré. Ne vous faites donc pas du tort !
Seigneur, ai-je transmis ?
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