Les actes de profanation des cimetières se multiplient dans la vallée de la Soummam. En effet, pas moins de 5 cimetières des villages avoisinant la ville de Sidi- Aïch ont été vandalisés depuis l’apparition de cet étrange phénomène vers la fin de l’année 2010. En l’espace d’une semaine, c’est dans deux autres cimetières des villages d’Izghad et Tilwacadi que plusieurs dizaines de tombes ont été saccagées.
Dans la village de Tilwacadi, situé dans la municipalité de Souk Oufella, quelque 150 tombes ont été profanées par des inconnus dans la nuit de jeudi à vendredi, a-t-on appris d’une source locale. Des actes odieux qui n’ont pas manqué de susciter colère et indignation parmi les villageois. Des plaintes ont été déposées auprès de la brigade de Gendarmerie nationale et le commissariat de Sidi-Aïch pour identifier les auteurs de ces profanations. Il convient de signaler que les enquêtes diligentées par ces mêmes services de sécurité pour les précédentes affaires similaires n’ont toujours pas abouti.
Il faut souligner que ces cas de vandalismes enregistrés à Izghad et Tilwacadi ne sont pas isolés. Pour rappel, le premier cimetière ciblé est celui de la ville de Sidi-Aïch, au mois de décembre dernier, où plus de 240 tombes ont été saccagés. Durant le même mois de décembre, un acte similaire est commis au cimetière de Remila, à 5 km de Sidi-Aïch, avec 53 tombes vandalisées. Vers le mois d’avril dernier, de nombreuses tombes ont été profanées dans un autre cimetière du village de Tighilt, dans la commune de Tibane, relevant de la même région de Sidi-Aïch.
Si les enquêtes des services de sécurité n’ont pour l’instant rien révélé, au sein de population locale, on n’hésite pas à désigner les radicaux islamistes d’être les instigateurs de ces lâches actes de profanation des tombes dans la région.
A. K.
Dans la village de Tilwacadi, situé dans la municipalité de Souk Oufella, quelque 150 tombes ont été profanées par des inconnus dans la nuit de jeudi à vendredi, a-t-on appris d’une source locale. Des actes odieux qui n’ont pas manqué de susciter colère et indignation parmi les villageois. Des plaintes ont été déposées auprès de la brigade de Gendarmerie nationale et le commissariat de Sidi-Aïch pour identifier les auteurs de ces profanations. Il convient de signaler que les enquêtes diligentées par ces mêmes services de sécurité pour les précédentes affaires similaires n’ont toujours pas abouti.
Il faut souligner que ces cas de vandalismes enregistrés à Izghad et Tilwacadi ne sont pas isolés. Pour rappel, le premier cimetière ciblé est celui de la ville de Sidi-Aïch, au mois de décembre dernier, où plus de 240 tombes ont été saccagés. Durant le même mois de décembre, un acte similaire est commis au cimetière de Remila, à 5 km de Sidi-Aïch, avec 53 tombes vandalisées. Vers le mois d’avril dernier, de nombreuses tombes ont été profanées dans un autre cimetière du village de Tighilt, dans la commune de Tibane, relevant de la même région de Sidi-Aïch.
Si les enquêtes des services de sécurité n’ont pour l’instant rien révélé, au sein de population locale, on n’hésite pas à désigner les radicaux islamistes d’être les instigateurs de ces lâches actes de profanation des tombes dans la région.
A. K.
Commentaire