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Et si Alger soutenait l'indépendance des Touaregs?

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  • Et si Alger soutenait l'indépendance des Touaregs?

    La junte militaire au Mali s'est engagée le 6 avril soir à remettre le pouvoir aux civils dans le cadre d'un accord avec la Cédao, qui a menacé de recourir à la force pour préserver "l'intégrité territoriale" du pays après la déclaration d'indépendance du territoire de l'"Azawad", au Nord, par un mouvement de la rebellion touareg.

    "Nous sommes parvenus à un accord, accord qui permettra dans les heures et les jours à venir de mettre effectivement en place les organes prévus par la Constitution et qui fonctionneront de manière régulière", a annoncé à la télévision publique ORTM le ministre burkinabè des Affaires étrangères, Djibrill Bassolè, au nom de la la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao).

    Neutre puis inquiète, Alger est entrée de plain pied dans le conflit et la partition du Mali depuis la chute de Tombouctou et de l'enlèvement de son personnel consulaire à Gao par des éléments islamistes qui lui en veulent à mort. Proche du MNLA, Alger pourrait soutenir l'indépendance de l'Azawad, faisant voler en éclats son dogme de «l'intangibilité des frontières issues de la décolonisation.»
    Tin Zawatin, petit village targui enfoui dans les confins du Sahara, à cheval entre l'Algérie et le Mali, deux pays qui partagent près de 1000 kilomètres de frontières. Le nom vient de l'oued, Tin Zawatin, qui désigne une espèce d'arbre de cette région pauvre et isolée. L'oued est à sec toute l'année mais, ici, à 2500 kilomètres d'Alger, il fait office de frontière entre les deux pays, il n'y a ni barrières ni grillage, encore moins de mur. Il suffit de passer l'oued et l'on se retrouve dans un autre pays.
    Le village, ancien campement nomade, a été divisé en deux par la colonisation, la Tin Zawatin algérienne, plus ou moins riche et où l'Etat est présent, et la Tin Zawatin malienne, pauvre et sans Etat. Tout un contraste, pour deux villages distants de quelques mètres. Depuis le début de cette nouvelle rébellion targuie, les Tin Zawatin sont sous couvre-feu et des dizaines de milliers de Touaregs mais aussi d'Arabes du Sahara, ont fui les combats. 30.000 d'entre eux sont entrés en Algérie, pendant que les Songhaïs, pris entre les deux feus, ont préféré rejoindre leur cousins du fleuve Niger.
    Alger et la neutralité positive

    Fin janvier, avec d'autres localités du Nord Mali comme Tessalit ou Aghelhoc, la Tin Zawatin malienne tombe rapidement aux mains des Touaregs, sous le regard neutre mais inquiet de la Tin Zawatin algérienne. Alger a déjà pris conscience d'un nouvel embrasement dans la région, et elle qui avait déjà pris en charge les accords entre le pouvoir central malien et les Touaregs en 2006 et mis fin aux hostilités, met sa diplomatie en branle, car sur le front intérieur, ce n'est guère mieux.
    Les quelques 20.000 Touaregs algériens sont solidaires de leurs frères du Mali, même s'ils n'ont jamais été indépendantistes chez eux, et plusieurs associations berbères amazighes d'Algérie du Nord soutiennent les Touaregs et leurs revendications.
    Début février et prudente au départ, Alger ne négocie pas directement avec le MNLA , le Mouvement National de Libération de l'Azawad, fer de lance de la rébellion armée, mais avec l'Alliance Démocratique du 23 mai pour le Changement, pour ne pas faire subir d'affront au président malien Amadou Toumani Touré, encore en place à cette période.

    La neutralité positive d'Alger?

    Sachant pertinemment que de nombreux membres de l'Alliance Démocratique combattent avec le MNLA contre l'armée malienne, Alger adopte une neutralité positive, négociant avec patience la fin des hostilités, et pour cause: l'attentat suicide qui a visé pour la première fois Tamanrasset (métropole du Sud algérien et dont dépend entre autres Tin Zawatin) le mois dernier, a bouleversé une donne déjà compliquée.
    Entre les armes et les groupes radicaux en libre circulation au Sahel, l'instabilité en Tunisie et en Libye, dont les frontières sont sous haute surveillance, et celles avec le Maroc, toujours fermées, l'Algérie se retrouve isolée et entourée d'agitations multiples. Mais surtout, elle voyait d'un mauvais œil l'alliance (tactique) défunte entre le MNLA et Ansar Dine, ces derniers étant liés à Al Qaïda.
    Mais tout est allé très vite. La prise de Tombouctou par le MNLA, puis par Ansar Dine, la prise d'otages du personnel consulaire de Gao par les islamistes, a bousculé la lourde et lente diplomatie d'Alger. D'autant que c'est le même groupe ayant revendiqué l'attentat de Tamanrasset qui a enlevé ses ressortissants.
    En contact permanent avec le MNLA, elle tente maintenant de s'allier directement avec cette mouvance laïque et progressiste pour se défaire des islamistes, d'abord pour récupérer ses otages, ensuite pour contrer Al-Qaïda, qui vient de signer une nouvelle déclaration de guerre à l'Algérie. Les membres du MNLA ont beaucoup d'estime pour Alger, et celle-ci les connait très bien. Une amitié secrète pour des alliances secrètes.

    La France coloniale responsable de la crise

    C'est évidemment la France qui a été à l'origine de ce conflit. En divisant le territoire des Touaregs entre l'Algérie, le Mali, le Niger, ex-colonies, elle a créé un peuple éparpillé entre plusieurs nations et posé une bombe à retardement. Redoutant ces dangers, dès les années 1960, l'Union Africaine pose un principe de base, largement soutenu par l'Algérie, «l'intangibilité de frontières issues de la décolonisation», pour éviter les affrontements entre peuples écartelés et jeunes nations.
    Mais l'entêtement des pouvoirs centraux africains a tout compliqué, après avoir revendiqué une large autonomie, les Touaregs, déçus par les promesses de Bamako, demandent aujourd'hui beaucoup plus et viennent le 6 avril, de publier une déclaration d'indépendance.par la voix du MNLA, évacuant toutes les solutions intermédiaires.
    Si Alger a fermement condamné le coup d'état militaire au Mali, elle était hostile à l'indépendance de l'Azawad, et demandait il y a quelques jours encore à «définir le règlement de la question du Nord, fondé sur les intérêts supérieurs du peuple malien et la préservation de l’unité nationale et de l’intégrité territoriale du Mali», selon le porte-parole du ministère algérien des affaires étrangères, rejoignant le ministre français de la coopération, Henri De Raincourt, venu à Alger avant la chute de Tombouctou refuser l'indépendance des Touaregs :

    «Nous soutenons la pérennité du processus engagé le 2 février dernier en Algérie entre le gouvernement malien et les Touaregs pour l’examen des moyens de parvenir à un accord dans le cadre de la sauvegarde de la sécurité et l’unité territoriale et la souveraineté du Mali.»

  • #2
    L'intangibilité des fontières vole-t-elle en éclat?

    Là aussi, la donne a changé. Début avril, la France est contre une opération militaire, ouvrant la voie à l'indépendance de l'Azawad, tout comme l'Algérie, qui commence à y voir moins d'inconvénients: une terre à son Sud dirigée par des Touaregs amis qu'ils connaissent très bien et qui connaissent si bien leur région pourrait être une garantie de stabilité et d'une chasse sérieuse aux éléments d'Al Qaïda, ce que l'armée malienne n'a jamais fait. Le dogme de «l'intangibilité de frontières issues de la décolonisation» vole en éclats?
    Oui, mais l'Algérie avait déjà accepté la partition de l'Ethiopie en 1993 (qui a donné naissance à l'Erythrée) et du Soudan en 2011, plus grand pays d'Afrique, devenant de fait à son tour le plus grand pays d'Afrique. Surtout, aujourd'hui encore, Alger continue de réclamer «l'autodétermination du peuple sahraoui.» Pourquoi ne le ferait-elle pas pour le peuple targui, alors que celui-ci lutte depuis les années 50, dénonçant même dans une lettre au Général De Gaulle l'intégration de leurs territoires au Mali, ainsi qu'au Niger? Justement. En ouvrant la voie aux partitions africaines, Alger pourrait se voir reprocher des territoires qu'elle a récupéré grâce à la décolonisation, particulièrement au détriment de son frère ennemi historique, le Maroc.
    Abdelkader El Mali, alias Abdelaziz Bouteflika

    C'est une vieille histoire. Depuis la première rébellion des Touaregs en 1961, d'autres ont eu lieu, en 1990, 1994 et 2006, et Alger s'est toujours mêlée de ce conflit pour faire cesser les hostilités et parrainer des accords qui ont été très peu respectés par Bamako. Officiellement, l'Algérie refuse l'idée de sécession mais officieusement, elle admet que le pouvoir central malien n'ait pas respecté ses engagements en faveur des populations du Nord, Touaregs, Arabes et Songhaïs.
    C'est une plus vieille mais autre histoire, déjà pendant la guerre d'indépendance algérienne, le FLN (Front de libération national) aidait les Touaregs à combattre l'occupant français et y avait installé des bases à Kidal et Gao, aujourd'hui aux mains du MNLA, et c'est depuis le territoire targui du Mali que les troupes du FLN sont entrés en Algérie à l'indépendance (en 1962), pour occuper la ville de Tamanrasset.
    Les Touaregs progressistes, aujourd'hui regroupés sous le MNLA, ont aussi aidé les Algériens dans leur lutte. Une amitié secrète les unit, qui pourrait déboucher sur un coup de main pour une indépendance relative ou totale de l'Azawad, Alger étant prête à interdire tout déploiement de militaires étrangers dans le Nord du Mali.
    Fait moins connu, le président Bouteflika lui-même, dont le nom de guerre est Abdelkader El Mali («Abdelkader Le Mali»), a passé une partie de la guerre d'indépendance au Nord-Mali pour d'obscures raisons, mais officiellement pour s'occuper des bases arrières et de l'approvisionnement en armes. Avec toutes ses amitiés, pourquoi Alger va-t-elle accepter l'indépendance de l'Azawad, qui semble inéluctable?
    Probablement, parce que l'histoire change souvent de sens. Comme à Tin Zawatin algérienne, qu'un grain de sable sépare du Mali. Un petit village où les Algériens déposent régulièrement dans des camions grillagés les migrants clandestins attrapés en Algérie pour les refouler vers le Mali, le Niger n'acceptant que les Nigériens. Et c'est ici aussi que depuis janvier, le sens s'est inversé. L'Algérie, qui a accueilli près de 30.000 réfugiés fuyant les combats, selon le ministre de l'intérieur, a stoppé ses refoulements à la frontière. Les camions remontent vers le Nord.


    Chawki Amari avec SlateAfrique

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    • #3
      L'Algerie et contre la proclamation de l'indépendance de l'Azawad. Elle ne veut pas de peur que les notres, reagissent de meme.

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      • #4
        Si tu veux faire le rapprochement entre les Touareg et le peuple Sahroui tu es à coté de la plaque et loin du bord.
        Les Touareg ont toujours vécu dans leurs pays respectifs a savoir l'Algérie, le mali la Libye et le Niger. Tandis que les Sahraouis, ils ont toujours lutté pour la libération de leur pays qui était occupé par l'Espagne puis par le Maroc qui n'a fait que supplanter l'ancien occupant.
        Aussi la comparaison c'est exactement le noir et le blanc.
        Et soit sage dans ta réponse si réponse il y'a, merci
        Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots."
        Martin Luther King

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        • #5
          Alger soutient l'indépendance du SO , c'est déjà assez pour elle , don't you think so ?

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          • #6
            Salam, Bonsoir,

            il n'est pas de soulever des nuages de toutes sortes en chaque histoires possible à leurs venues, le clair et le lumineux étant entre tous qu'il soit la mesure espérée à faire référence du sens et des raisons humaines, cela dit en passant, des hommes se sauraient par l'histoire qu'autant de défenses ne se présumaient pas plus à chaque avenir, fut-il pour chacun d'autres temps ou d'autres instants à ces meilleurs présumés, se dit-il alors que la "présumance" est une période liée et vouée à l'espérance d'une Existence, soit-il infime et humaine la nature à ce sens apporté...

            Salam, merci...
            ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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            • #7
              Dans ce dossier:

              - L'Algérie appelle au respect de l'intégralité du Mali,
              - L'Algérie ne reconnait pas la déclaration d'indépendance du MNLA,
              - L'Algérie va fermer sa frontière avec le Mali tant que Bamako ne retrouve pas sa souveraineté sur l'Azawad.

              Donc article à mettre à la poubelle comme la plupart des articles postés par nos voisins de l'ouest dans la section "Actualités Algérie".

              Circulez il n'y a plus rien à voir.

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              • #8
                Le Mali et l'Azawad ( résumé avec cartes , en espagnol )

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                • #9
                  L’émir d’Ansar Eddine s’est retourné contre l’Algérie


                  Le pouvoir algérien serait « choqué » par le revirement de l’un des grands responsables des Azawads, Iya Aghali, avec qui une convention de légitimité internationale et d’amitié a été signée en 2006.

                  C’est ce qu’a indiqué à Echorouk une source diplomatique fiable. « Nous étions choqués des développements en cours au Mali. Nous étions aussi étonnés par le coup d’État militaire qui a eu lieu dans ce pays et des événements qui s’en sont suivis tels que la parution des groupes djihadistes salafistes comme Ançar Eddine et le Mouvement unicité et jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), dont les éléments arabes et noirs sont originaires de la Libye, d'Algérie, de Mauritanie et du Niger », ont indiqué des diplomates à Echorouk. Pis encore, même Iyad Aghali avec qui l’Algérie a signé un accord en 2006 est apparu en train de prier avec le groupe Ançar Eddine à Tombouctou (Nord du Mali).

                  S’agissant des informations faisant part de la libération des diplomates algériens enlevés au consulat d’Algérie à Gao au nord du Mali, notre source estime que la situation est encore ambiguë. Par ailleurs, des sources bien informées ont indiqué à Echorouk que des notables et des responsables du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) et l’ambassade d’Algérie à Bamako sont entrés en contact avec les ravisseurs des sept diplomates algériens qui appartiennent au Mujao.

                  Selon les mêmes sources, les ravisseurs auraient exigé une rançon très importante que le mouvement des Azawad ne peut pas verser à l’heure actuelle. Il faut souligner dans ce même contexte, que les contacts sont toujours en contact.

                  « Mujao, groupe dissident d’Al Qaida au Maghreb islamique (AQMI), qui a revendiqué dimanche l’enlèvement des sept diplomates algérien est en contact avec le groupe Ençar Eddine dirigé par Iyad Aghali en vu de libérer les diplomates », déclaré à Echorouk un haur responsable du MNLA. Toutefois, jusqu’à dimanche soir, les négociations en cours entre deux parties n’ont pas abouti à un accord.

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                  • #10
                    Et si Alger soutenait l'indépedance des Touaregs?

                    L'Algérie ne devrait rien faire dans ce conflit, à mon avis. (!)

                    (Notre histoire européenne de quelques centaines d'années nous a montrée que ce ne sert à rien. - Les peuples vivant dans une région doivent eux-mêmes résoudre les problèmes.)

                    Tout autre qui y se mélange ou qui croit y être responsable, poursuit, à mon opinion, ses propres intérêts.

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                    • #11
                      @abdoumi

                      L'Algerie et contre la proclamation de l'indépendance de l'Azawad. Elle ne veut pas de peur que les notres, reagissent de meme.
                      Tôt ou tard, en Algérie, ou ce sera le fédéralisme ou une guerre d'indépendance.

                      Aux partisans du chaos de choisir !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

                      P.

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                      • #12
                        @river

                        Alger soutient l'indépendance du SO , c'est déjà assez pour elle , don't you think so ?
                        Pourquoi tu ne dis pas qu'Alger soutient la République Arabe Sahraouie Démocratique ( RASD ) qu'elle a crée.

                        P.

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                        • #13
                          Si tu veux faire le rapprochement entre les Touareg et le peuple Sahroui tu es à coté de la plaque et loin du bord.
                          Les Touareg ont toujours vécu dans leurs pays respectifs a savoir l'Algérie, le mali la Libye et le Niger. Tandis que les Sahraouis, ils ont toujours lutté pour la libération de leur pays qui était occupé par l'Espagne puis par le Maroc qui n'a fait que supplanter l'ancien occupant.
                          Aussi la comparaison c'est exactement le noir et le blanc.
                          Et soit sage dans ta réponse si réponse il y'a, merci

                          papi

                          Les sahraouis ,comme les touaregs dans le sahel , sont éparpillés sur l'ensemble du sahara des pays du Maghreb .

                          Ton analyse est loin d’être sage mais très très sélective.

                          Le sahara occidental était occupé par l'Espagne comme le sahara central était occupé par la France.

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                          • #14
                            Salam, Bonjour,

                            il y a sur terre, de grandes forêts, de grands déserts et, d'immenses océans pareils à de vastes mers, ceci n'étant point indémontrable ni même discutable, ainsi, la Culture civile autant que la Civilité culturelle ne peuvent se douter des composantes naturelles comme des usages coutumiers à leurs lieux, vivants, vraiment, d'un continent à l'autre, d'une ou des saisons à l'autre, des peuples et d'une vie à l'autre, les progrès de toutes natures se demanderaient quelque peu les bons sens apportés aux consciences de l'Humanité, toute entière, cela se va de soit des présents et des hommes...

                            L'Algérie ne devrait rien faire dans ce conflit, à mon avis. (!)

                            (Notre histoire européenne de quelques centaines d'années nous a montrée que ce ne sert à rien. - Les peuples vivant dans une région doivent eux-mêmes résoudre les problèmes.)

                            Tout autre qui y se mélange ou qui croit y être responsable, poursuit, à mon opinion, ses propres intérêts.
                            par principe, et aux échelles des grandeurs, les façons "accusatoires" donc extrême mais propre aux hommes, ne s'aboutissent que rarement des sens positifs à ce genre de problématique, toujours plus interférentes et surenchéris à l'ensemble ou au reste du monde qui, de fait et des valeurs, se décale chaque fois vers des sujets autrement intéressants, et l'Humain toujours loin derrière se situe en mesure vérifiée à ce premier constat, assez répétitif d'ailleurs, donc ne rien faire semblerait une réponse facile et légitime mais, toutes autres légitimités se composent infailliblement des consciences proches ou relatives pour ce qu'il s'entretient toujours en l'avenir des lieux et des hommes sur terre, quelques siècles passés pouvaient se prétendre des états ou des pays en quête de "modèle" universel mais il semblerait qu'aujourd'hui la 'tâche" se soit naturellement et humainement portée ou prise à celle des continents, bon vœu et bonne suite se reste quand même les semblables du partage mesuré à toute Fraternité née et subsistante...

                            Salam, merci...
                            ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

                            Commentaire


                            • #15
                              Pangeen@ Si les kabyles veulent leur état, j'en suis du meme avis qu'eux...."c'est sincére"

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