Ma passion pour la photo

[absent]

Te souviens-tu de ce jour du mois de mai
Où toi, le coeur souffrant et moi l'âme tourmentée
voyons, doucereusement, se croiser nos destinées
et lentement s'unir nos chemins, à tout jamais

[absente]

L'image est éblouissante et les vers très touchants.
Merci de partager.

[milkshake]

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[absent]

te souviens tu de ce jour de Juin
où la pluie chaude fut temoin
de la déchirure de nos coeurs
le ciel gris et constant pleure

nos chemins se séparent
c'est l'heure du départ
vers deux mondes distincts
qui signe la mort de l'instinct

Mais revient toujours le mois de mai
Quand bien même l'hiver fût glacial
Les roses s'ouvriront de toutes leurs pétales
Et mon coeur retrouvera, alors, sa bien-aimée

[absent]

L'image est éblouissante et les vers très touchants.
Merci de partager.

Merci à toi La voilée

[absente]

Mai, rituellement en pâture
Pour le temps qui fane et qui court
S’en revient toutefois et n’abjure
Le vœu béni des tendres amours


Comment peut-elle oublier
Cette douce magie dont son cœur
Tu as si agréablement imprégnée,
Et son âme que ton âme effleure ?


Ô précieux Mai aux allures pastel
Ne veux-tu pas de ses bévues faire fi ?
Et à son bien-aimé, sa passion éternelle
Convoyer, celle-là même que tu vivifies !



Dans le silence, timidement elle s’en retourne
Non sans peine mais le cœur consolé
À la providence s’en remet et ne détourne
Ses attentes du redondant ciel de Mai étoilé

[du31]

joli si vous continuez jusqu'a l'été car j'adore les apres midi de pleine chaleur
ou tout est assomé pas ame qui bouge..seule la cigale est maitresse de l'espace

[Moniiia]

Salam coucou ,
la premiere photo est tres belle ......magnifique .......tu l'as prise où exactement ?

[absent]

Salam coucou ,
la premiere photo est tres belle ......magnifique .......tu l'as prise où exactement ?

C'est dans le parc des buttes-chaumont à Paris, au 19ème. Content que tu apprécies.

[absent]

Ô cœur blessé au mois de Décembre

De la belle, entends-tu les sourds cris

Implorant, des profondes pénombres

Afin que, de ses bévues, tu fasses fi ?



Ô douloureuses meurtrissures de l’hiver

Je n’ai d'ouïe que pour l’appel serein

De la douce fille que j’ai connu naguère

Et que j’attendrai, tout au bout du chemin.

[absent]

[absent]

[absente]

Très belles photos.

[bledna]

magnifique

[absent]

Merci Chiquitita, Bledna et bienvenus.