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Zendjabil, le Pablo Escobar algérien, est bel et bien mort

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  • Zendjabil, le Pablo Escobar algérien, est bel et bien mort


    Le mythique Ahmed Zendjabil, dénommé "le Pablo Escobar algérien" est décédé mardi soir à Oran. Les services de la Gendarmerie Nationale ont confirmé cette information qui a soulevé un tollé dans le milieu de la mafia algérienne.



    Selon le quotidien El Watan, "Zendjabil a été enterré par quelques personnes au cimetière de Ouled Ben Abdelkader, entre Oued Sly et Boulefrad, au sud-ouest de la wilaya de Chlef". Par ailleurs, "l’expertise ADN effectuée sur lui ainsi que sur des membres de sa famille" a prouvé son identité.

    Zendjabil a toujours été le baron de drogue le plus puissant d'Algérie. Il a été également parmi les têtes pensantes des narcotrafiquants dans tout le Maghreb. Il a dirigé durant des années un réseau de résine de cannabis marocaine qui approvisionnait le marché européen, moyen-oriental et algérien. Sous le coup d'un mandat d’arrêt international pour contrebande de drogue, Zendjabil a toujours réussi à échapper à la justice grâce à la protection d’officiers supérieurs de la Région militaire, de hauts cadres de la Sûreté nationale.


    Ces complicités ont toujours été prouvées, mais les autorités n'ont jamais pu bouger le petit doigt pour mettre fin à ce trafic de drogue qui impliquait des personnalités au plus haut sommet de l'Etat. Ceci dit, certaines sources ont affirmé que beaucoup de ces protecteurs sont tombés ces dernières en disgrâce. Quoi qu'il en soit, la mort de ce "caïd" comporte de nombreux mystères et laissent en suspens de nombreuses questions.


    ALGERIE NEWS
    Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

    Gödel

  • #2
    Par ailleurs, "l’expertise ADN effectuée sur lui ainsi que sur des membres de sa famille" a prouvé son identité.
    un article qui ne sert qu'à confirmer l'identité du défunt

    perso j'aurai aimé savoir de quoi il a été opéré

    et curieusement je me demande pourquoi tous les journaleux si prompts à dégainer pour douter de la capacité de nos toubibs, devant une opération dans un service de chirurgie cardiaque privé ne se s'interrogent pas sur les défaillances possibles du personnel soignant.

    pour les généraux le bon algérien est celui qui vivant ne leur pose pas de problème et mort encore moins.

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    • #3
      KHORE,

      Tu es toubib ?

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      • #4
        Tu es toubib ?
        j'ai déjà répondu à cette question, dans un esprit pratique, sans prétention, des comme moi , l'Algérie en a formé des centaines qui sont au chômage

        c'est juste pour répondre en averti à tous les aliénés qui voient en nous ce que les gouar i auraient voulu que nous restions :des officiers de santé *

        cordialement

        * un officier de santé est indigène auquel les Français entre les deux guerres mondiales avaient dispensé une formation un peu plus poussée que celle d'un infirmier un infirmier ordinaire et destiné à soigner ses frères

        Commentaire


        • #5
          Tu es toubib ?

          j'ai déjà répondu à cette question, dans un esprit pratique, sans prétention, des comme moi , l'Algérie en a formé des centaines qui sont au chômage

          c'est juste pour répondre en averti à tous les aliénés qui voient en nous ce que les gouar auraient voulu que nous restions : des officiers de santé *

          cordialement

          * un officier de santé est indigène auquel les Français entre les deux guerres mondiales avaient dispensé une formation un peu plus poussée que celle d'un infirmier un infirmier ordinaire et destiné à soigner ses frères

          Commentaire


          • #6
            KHORE a dit:
            et curieusement je me demande pourquoi tous les journaleux si prompts à dégainer pour douter de la capacité de nos toubibs, devant une opération dans un service de chirurgie cardiaque privé ne se s'interrogent pas sur les défaillances possibles du personnel soignant.
            @KHORE

            Eh ben!
            t'as quelques éléments de réponse dans l'article publié aujourd'hui par EL Watan :

            Parquet d’Oran : Des proches de Zendjabil écroués
            El Watan - 01 Oct 2012

            L’enquête préliminaire des services de la Gendarmerie nationale sur l’admission de Ahmed Zendjabil, l’un des plus grands barons de la drogue en Algérie, dans une clinique privée, le retrait de son corps après son décès et son transport jusqu’à Chlef, a été clôturée hier avec la présentation au parquet d’Oran de trois personnes.

            Il s’agit du fils de Zendjabil, de son gendre et d’un membre de la famille de son épouse, qui l’auraient évacué vers la clinique à la suite du malaise cardiaque dont il souffrait. Les trois individus ont été placés sous mandat de dépôt, alors qu’une autre enquête plus approfondie sur Zendjabil – ses activités, ses déplacements et ses biens – vient juste d’être ouverte. Peut-on croire que les personnes arrêtées puissent apporter une quelconque explication à l’énigmatique situation de Zendjabil ? On n’en sait rien. Mais Quelques proches de ce dernier lèvent le voile sur une partie très infime de son parcours.

            Selon eux, Zendjabil, ou Chelfaoui, a basculé dans la clandestinité après la diffusion par Interpol, en juillet 1999, d’un mandat d’arrêt international. Auparavant un ordre d’arrestation avait été émis sous le nom de Cheikh Ahmed, après l’interception par la police française d’une cargaison de cannabis à Marseille. Tapis dans les rouages de l’administration et des services de sécurité, ses complices l’avaient toujours protégé et évité que sa vraie identité soit révélée. Mais en juillet 1999, à la suite de deux autres opérations de récupération, en avril 1999, de 9 quintaux de kif, et au mois de mai de 6 autres quintaux au port d’Oran, devant être exportés vers Marseille, que le vrai nom de Zendjabil est cette fois-ci porté sur un mandat d’arrêt international. Grâce à ses complices, il efface toute trace de son état civil à Oran et à Chlef, et quitte le pays à destination de la Belgique, via le Maroc.

            Mais avant, il place Ghorfati Fethi, un de ses adjoints, à la tête de l’organisation. Le 22 février 2001, une cargaison de cocaïne dissimulée dans un camion frigorifique contenant 15 tonnes de beurre acheminées du port d’Anvers, en Belgique, accoste à Oran. Le chargement disparaîtra et ce sont les douaniers qui avaient découvert le pot aux roses qui feront par la suite l’objet d’une poursuite judiciaire pour une affaire montée de toutes pièces contre eux. Celui qui conduisait le camion n’était autre que le chauffeur occasionnel de Zendjabil.

            Quelque temps après, Ghorfati est arrêté, mais pas pour longtemps.

            En septembre 2002, ses complices l’aident à s’enfuir du tribunal d’Es Senia, où il devait être présenté (dans notre article de l’édition du jeudi, une mauvaise manipulation a provoqué la disparition de deux phrases, dénaturant ainsi l’article. En fait, c’est Ghorfati qui a été arrêté et par la suite a pris la fuite et non pas Zendjabil). Après cette fuite organisée, Ghorfati se réfugie à Alger. Sa cabale prend fin avec son arrestation dans la capitale à la suite d’une dénonciation.

            C’était en août 2003. De la Belgique, Zendjabil le fait remplacer par un autre trafiquant notoire, connu sous le sobriquet de Pascal (parce qu’il était spécialisé dans le trafic de devises) et maîtrise également l’art de la confection des vraies pièces d’identité. Il s’agit en fait de Arabat Ziane Abdelkader. Celui qui a réussi à établir un passeport, un permis de conduire et une carte d’identité à Ghorfati alors qu’il se trouvait en prison. «Pascal gérera l’organisation de Zendjabil durant quelque temps avant qu’il ne s’envole, lui également, avec de fausses pièces d’identité, vers la France. En 2006, à la faveur de la charte portant réconciliation nationale, Zendjabil décide de rentrer en Algérie, en espérant profiter des dispositions de cette loi. Dès son arrivée à l’aéroport d’Alger, il déclare avoir financé les groupes terroristes, et à ce titre, il fait valoir son droit à une amnistie et négocie son statut.

            C’était le 3 juillet 2006. Les membres de sa famille l’accompagnent dans cette opération et lui rendent visite tout au long de sa présence au siège de la 1re Région militaire, où il était briefé quotidiennement. Ses révélations sont explosives. Il dévoile ses nombreux parrains qui se comptaient parmi les plus hautes autorités militaires et civiles de l’Oranie, mais aussi ses relais au Maroc, en Belgique, en Espagne et en France. Il met fin à 25 ans d’activité mafieuse ayant des ramifications à travers tout le territoire national, mais également au Niger, au Mali, au Tchad, en Tunisie, en Libye, en Egypte et en Europe, notamment l’Espagne, la France et la Belgique. En contrepartie de ces informations, Zendjabil aurait demandé à être protégé. Après un court séjour à Chlef, il craint pour sa vie et demande à être transféré ailleurs. C’est à Mascara qu’il sera placé sous résidence surveillée, avec une fausse identité et ne fréquente que les membres de sa famille les plus proches. Mais il n’y restera pas longtemps.

            Comment et dans quelles conditions a-t-il quitté cette résidence pourtant surveillée ? Personne n’a pu apporter une explication. Une crise d’appendicite le fait sortir de sa tanière. Il se fait opérer à Chlef, sa wilaya d’origine, quelques jours plus tard, il est victime d’un malaise cardiaque. En l’absence de cliniques spécialisées, c’est à Oran qu’il a été admis en urgence le 23 septembre dernier. Mais son cas était désespéré. Il décède le jour même de son admission en emportant avec lui tous les secrets divulgués aux responsables de la 1re Région militaire.

            Questions :
            - quelle orientation va avoir l’enquête de la Gendarmerie nationale sachant que Zendjabil s’était rendu en 2006 et qu’il avait négocié un statut particulier ?
            - Pourra-t-on parler de non-dénonciation de criminels ?

            Les réponses sont difficiles à trouver en l’état actuel de l’enquête.

            Salima Tlemçani

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            • #7
              @ sidmark
              merci pour ton article

              Oran est réputée pour son excellente école de cardiologie

              de même que pour sa bonne équipe de Médecins Légistes

              les cardiologues d'El Bahya n'ont rien pu pour un cas désespéré

              Commentaire


              • #8
                Oran est réputée pour son excellente école de cardiologie
                Quelques cliniques privées spécialisées en cardiologie et en Cathétérisme Interventionnel et qui ont ouvert ces dernières années. J'en connais une (Clinique Benseraï) qui fait même des interventions à cœur ouvert avec la participation de professeurs de renoms et de chirurgiens algériens et étrangers !

                Fin de H.S

                Un autre article sur le même sujet dans le journal l'expression :

                MORT INTRIGANTE DE ZENDJABIL
                La gendarmerie ouvre deux enquêtes

                L'Expression, 29 Septembre 2012

                Les enquêteurs pistent la logistique utilisée dans l'admission du baron et le transport de son cadavre, après sa mort, d'Oran jusqu'à Chlef.
                Ahmed Zendjabil, un des barons du trafic international de drogue, est décédé.

                L'information a été donnée à partir de sa ville natale d'Oued Sly, dans la wilaya de Chlef, où le baron a été enterré, mardi soir, dans la discrétion la plus totale. Mais sa mort et son enterrement demeurent mystérieux, au point où deux enquêtes viennent d'être ouvertes, l'une par la gendarmerie d'Oran et la deuxième, dans la wilaya de Chlef.

                Les deux enquêtes sont ponctuées par l'arrestation, par la gendarmerie nationale, de l'un de ses fils. Mardi, la nouvelle portant sur le trépas du Pablo Escobar algérien a circulé comme une traînée de poudre, alors que les services devant confirmer une telle «bombe» se sont confinés dans un silence total pendant plus de 24 heures, avant de livrer quelques bribes dans lesquelles il a été fait état de sa mort certifiée par l'expertise Adn opérée sur l'homme et sur des membres de sa famille. La mort de Zendjabil Ahmed a secoué les plus hautes instances sécuritaires, c'est pourquoi deux enquêtes ont été ouvertes simultanément, la finalité recherchée étant de tirer au clair son admission sous une fausse identité dans une clinique d'Oran, les circonstances de sa mort et son enterrement dans sa ville natale.

                Quelle a été la logistique utilisée pour passer toutes ces étapes sans craindre de se faire prendre?

                Les enquêteurs pistent la logistique utilisée et les étapes qui ont suivi l'admission du baron dans la clinique ainsi que le transport de son cadavre après sa mort d'Oran jusqu'à Chlef. Selon le peu d'éléments qui a été rendu public, Zendjabil avait été admis, sous une fausse identité, dans la journée de dimanche dernier dans une clinique privée. Quelques heures après, le baron de la drogue, qui souffrait de problèmes cardiaques, a rendu l'âme sans qu'il ne subisse une quelconque intervention chirurgicale. «Son état critique ne lui permettait pas de résister aux coups de bistouris». Sa mort, qu'il a voulue «silencieuse», a fait beaucoup de tapage, vu son palmarès «riche» dans le trafic de drogue. Le baron du trafic sans frontières de drogue s'est rendu en 2006. Depuis, c'est le silence radio. Zendjabil aurait lâché le morceau en balançant de nombreux tuteurs de trafic de drogue dans la région ouest du pays, au Maroc et dans plusieurs autres pays d'Europe comme la Belgique, l'Espagne et la France.

                Près d'une vingtaine d'individus auraient été balancés par Zendjabil des suites des confrontations qu'il a eues avec eux durant le mois d'août 2006.

                Sur un autre registre, sa reddition aurait eu lieu des suites de la chute de ses anges gardiens et l'avènement d'un autre cartel qui aurait pris le contrôle d'une grande partie de ses réseaux.

                Zendjabil a réussi, durant les années 1990, à mettre sous son contrôle tous les réseaux de résine de cannabis marocaine qui approvisionnaient l'Europe, le Moyen-Orient et l'Algérie. Durant cette décennie, il a pu échapper à la justice. En 1999, par le biais d'Interpol, un mandat d'arrêt international pour contrebande de drogue avait été lancé contre lui. En 2003, il sera arrêté. Grâce à une complicité, il s'est évadé du tribunal d'Es Senia.

                A la faveur des changements opérés au sein des services sécuritaires d'Oran, Zendjabil et ses réseaux ont été sérieusement déstabilisés.

                Dans les confessions qu'il a lâchées, plusieurs de ses complices setaient au Maroc. En effet, des cadres hautement placés au sein de l'armée royale sont tombés. On y trouve, entre autres, le directeur général de la police, le général Hamidou Laânigri.

                Il est enfin utile de s'interroger sur le silence observé par les forces de sécurité, lesquelles, au lieu d'officialiser la mort du baron de la drogue, continuent de se confiner dans un long silence.

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                • #9
                  Les anciens protecteurs disparaissent, les nouveaux doivent salir les anciens pour consolider leurs positions je suppose; Ils organisent des fuites d'informations préjudiciables à leurs adversaires; Une guerre médiatique en quelque sorte; Quand à l'Etat il est comme un spectateur muet et impuissant...

                  Commentaire


                  • #10
                    Elghifari a dit:
                    Les anciens protecteurs disparaissent, les nouveaux doivent salir les anciens pour consolider leurs positions je suppose; Ils organisent des fuites d'informations préjudiciables à leurs adversaires; Une guerre médiatique en quelque sorte; Quand à l'Etat il est comme un spectateur muet et impuissant...
                    Ce qui est sûr, est que des quantités astronomiques de drogues sont interceptés ici et là en Algérie, ces 2 dernières années.

                    Mais, est-ce vraiment une guerre tout azimut contre ce cartel ?

                    Ou est-ce que de la poudre aux yeux ???

                    Commentaire


                    • #11
                      Tiens j'ai du dormir tout ce temps que cet individu aurait été le Baron de la drogue en Algérie et selon l'article il aurait même bénéficié de complicités très haut placéees.
                      Dites moi... est-ce que dans FA on ne parle que des soit disant trafiquands voisins... pour cacher la peste chez nous ?

                      Et si ce vaste trafic de drogue dont il est question existe... que fait l'État pour le démanteler?
                      L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

                      Commentaire


                      • #12
                        L'ancien premier ministre l'avait affirmé : les forces de l'argent dirigent

                        L'ancien premier ministre l'avait affirmé : les forces de l'argent dirigent ou sont trop puissants que l'Etat lui même; Il avait avoué ne pas pouvoir les mater (voir ses paroles exactes)

                        Dans tsa du 02 juin 2012 :

                        Le Premier ministre Ahmed Ouyahia a fait ce samedi 2 juin un aveu de taille :

                        " Le gouvernement a échoué devant les puissances de l'argent"

                        (Donc, il y a un pouvoir parallèle à celui de l'Etat!)

                        Commentaire


                        • #13
                          Avucic a dit:
                          Dites moi... est-ce que dans FA on ne parle que des soit disant trafiquands voisins... pour cacher la peste chez nous ?
                          @Avucic
                          Rien compris à ta question et à ce que tu insinues ?!

                          Tout est clair dans les articles postés. On parle de ce pablo escobar Algérien et de ses présumés complicités !

                          Relie-les ! Il n'a pas du tout d’ambiguïté
                          !

                          Les questions qu'on se posent ici sont :
                          1/- Ya t il des poursuite des hauts placés (appareil judiciaire, militaire, douanière) complices présumés de ce baron du trafic de drogue ?
                          La réponse à cette question est qu'il y a eu aucune poursuite apparemment. Car d'après les articles postés, la plupart ont été écartés et/ou mis à la retraite ! Malheureusement !

                          2/- Y a t il d'autres barons qui ont repris la relève de ce trafic (comme l'insinue le 3ème article posté)?

                          3/- Les très grosses prises de drogues de ces derniers mois signent-ils le début d'une guerre tout azimut contre ce trafic et ses trafiquants ?

                          On l'espère vraiment!

                          Commentaire


                          • #14
                            Rien compris à ta question et à ce que tu insinues ?!
                            Je précise: On parle très souvent du trafic de drogue chez nos voisins marocains: C'est la première la première fois que je lis un article qui fait état d'un baron de la drogue d'une envergure internationale.... et malheureusement c'est un type de chez nous (algérien).

                            1. Je ne parle pas des petits dealers qui vendent des joinsts.
                            1. Curieusement on parle de ce type... suite à sa mort!!!
                            L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

                            Commentaire


                            • #15
                              Envoyé par Avucic
                              1. Curieusement on parle de ce type... suite à sa mort!!!
                              Tu as du le manquer seulement, son nom revenait de temps en temps dans la presse et ça fait vraiment longtemps qu'il était recherché et médiatisé. On doit bien trouver dans les archives des articles vieux d'au moins dix ans qui parlaient de lui.

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