Entre 9 000 et 10 000 demandes de divorces sont exprimées chaque année à Oran, selon des sources judiciaires.
La famille étant au cœur de la dynamique sociale, aucune société ne peut se construire et se consolider sans elle. Ces dernières années, le divorce, phénomène socio-psychologique délicat, affecte notre société.
Ce fait a pris des proportions alarmantes, notamment ces dix dernières années en Algérie où l’union sacrée va de meilleur en pire et se termine souvent par la séparation. Entre 9 000 et 10 000 demandes de divorces sont exprimées chaque année à Oran, selon des sources judiciaires. «On n’a jamais vu autant de divorces comme ces dernières années.
C’est incroyable !», affirme une employée du service des mariages. Pourquoi les couples algériens divorcent-ils si promptement ? Qu’est-ce qui transforme la joie et le bonheur du mariage en larmes de tristesse et de chagrin qui suivent le verdict de divorce prononcé dans les différents tribunaux du pays ? Certains accusent le nouveau code de la famille, d’autres, la crise économique et sociale. Depuis, le législateur a aussi facilité la vie aux couples divorcés.
De plus en plus de femmes ont accédé à un emploi et gagné leur indépendance. Selon un sociologue, les causes du divorce sont essentiellement liées au chômage, aux violences faites aux femmes, à l’infidélité, au manque de communication et à l’incapacité du mari de fournir un logement, l’incompatibilité entre les conjoints, les désillusions, l’absence de communication, le poids du quotidien, l’immaturité affective et les difficultés sexuelles.
Pour les psychologues, «le divorce cause une souffrance psychologique au couple, qui se répercute négativement sur le fonctionnement des enfants qui se retrouvent, dans certains cas, livrés à eux-mêmes en l’absence des deux parents qui sont pris dans le profond tourbillon des difficultés».
Cherifa K.- El Watan
La famille étant au cœur de la dynamique sociale, aucune société ne peut se construire et se consolider sans elle. Ces dernières années, le divorce, phénomène socio-psychologique délicat, affecte notre société.
Ce fait a pris des proportions alarmantes, notamment ces dix dernières années en Algérie où l’union sacrée va de meilleur en pire et se termine souvent par la séparation. Entre 9 000 et 10 000 demandes de divorces sont exprimées chaque année à Oran, selon des sources judiciaires. «On n’a jamais vu autant de divorces comme ces dernières années.
C’est incroyable !», affirme une employée du service des mariages. Pourquoi les couples algériens divorcent-ils si promptement ? Qu’est-ce qui transforme la joie et le bonheur du mariage en larmes de tristesse et de chagrin qui suivent le verdict de divorce prononcé dans les différents tribunaux du pays ? Certains accusent le nouveau code de la famille, d’autres, la crise économique et sociale. Depuis, le législateur a aussi facilité la vie aux couples divorcés.
De plus en plus de femmes ont accédé à un emploi et gagné leur indépendance. Selon un sociologue, les causes du divorce sont essentiellement liées au chômage, aux violences faites aux femmes, à l’infidélité, au manque de communication et à l’incapacité du mari de fournir un logement, l’incompatibilité entre les conjoints, les désillusions, l’absence de communication, le poids du quotidien, l’immaturité affective et les difficultés sexuelles.
Pour les psychologues, «le divorce cause une souffrance psychologique au couple, qui se répercute négativement sur le fonctionnement des enfants qui se retrouvent, dans certains cas, livrés à eux-mêmes en l’absence des deux parents qui sont pris dans le profond tourbillon des difficultés».
Cherifa K.- El Watan
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