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Hichem Aboud se lache !

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  • Hichem Aboud se lache !

    Hichem Aboud révèle le vrai visage d'Anis Rahmani et déclare :"Depuis quand accorde-t-on de la crédibilité à des noms d'emprunt qui pratique un journalisme de prostitution

    j’ai quitté l’Algérie d’une manière tout à fait ordinaire et légale via les frontières, et les visas de la police l’attestent. L’incident de Tébessa est un scénario de Said Bouteflika dans le but de se venger contre ma personne par l’intermédiaire de citoyens innocents qui ont été ainsi mis en prison. Je projette d’éditer un livre ayant pour objet le Président Bouteflika et sa famille,son règne et je révélerai des informations secrètes inédites jusqu’à présent.


    Hichem Aboud, directeur général des quotidiens « Mon Journal » et « Djaridati », nous parle pour la première fois dans cet entretien de sa rebellion contre l’arbitraire et son refus connu de se soumettre aux lois « ordonnées à la justice par un personnage sans fonction reconnue au sommet de l’Etat », comme il lui plaît de le formuler. Dans cet entretien, il nous révèle les circonstances dans lesquelles il a quitté le territoire national.

    Vous faites l’objet d’une ISTN. Comment expliquez-vous votre présence ici à Genève ?

    Qui m’a empêché de quitter le territoire national ? La justice est devenue un instrument entre les mains d’un sinistre individu qui a confisqué le pouvoir détenu par son frère président n’ayant pas le courage d’affronter le commun des citoyens. Je ne reconnais pas cette décision arbitraire et non justifiée. Pour ce qui est de ma présence ici à Genève, c’est en vue de participer à la prochaine session de la Commission des Droits de l’Homme d l’ONU dont je suis membre observateur et qui doit s’ouvrir le 9 septembre prochain.

    Comment avez-vous quitté le territoire national en étant l’objet d’une interdiction de sortie du territoire national ?

    Sans passer par trente-six chemins, j’ai simplement traversé la frontière terrestre algéro-tunisienne le plus normalement du monde et en toute légalité malgré mon appréhension d’être intercepté.

    Un journaliste et deux citoyens ont été arrêtés et détenus au motif de complicité d’émigration clandestine, qu’en pensez-vous ?

    J’étais surpris d’apprendre que des citoyens innocents étaient exposés à des accusations sans fondements à un moment où l’on parle de réforme de la justice à coups de discours sur la dignité et l’honneur des citoyens algériens tant clamé par le Président Bouteflika. Je ne connais pas ces deux personnes en question. Quant au journaliste Abdelsamih Abdelhai, il est le correspondant du quotidien « Djaridati » que je dirige. Je le connais et je l’ai rencontré à Tébéssa dans un cadre purement professionnel comme je l’ai fait à maintes fois à Alger, ce qui n’est pas un délit susceptible de soulever autant de vagues au point de jeter en prison de pauvres citoyens innocents ! La question qui s’impose ici est « où était la justice lorsque le sieur Chakib Khellil a tranquillement pris l’avion de l’aéroport d’Oran, sachant qu’il a failli contribuer à la faillite de l’économie nationale ? Pourquoi n’y a t-il pas eu d’enquête à Oran ? Je pense que ce qu’on vit actuellement est le résultat d’un système mafieux établi par Bouteflika et consorts qui protège les voleurs, et les corrompus et se venge des citoyens nobles et honnêtes.

    Qui est derrière ce scénario au juste ?

    Il est évident que c’est un personnage qui n’a pas d’existence légal dans l’état algérien et qui a vite transformé celle-ci en une propriété privée dans laquelle il se pavane comme un voyou, tout ce qu’il possède est un carnet de famille prouvant son état de frère du Président de la République.

    N’êtes-vous pas pourchassé par Interpol ?

    Qui a dit cela ? pourquoi le serais-je ?

    Un quotidien algérien a fait paraitre dans ses colonnes qu’interpol vous pourchassait en Grèce ?

    Pourquoi la Grèce ? je suis un personnage public résidant en France et je suis revenu du Maroc il y’a à peine deux jours de cela, et je n’ai aucun problème au niveau des frontières.

    Selon ce même journal, vous résidez actuellement en Grèce !

    C’est un tissu de mensonges, et on ne répond pas a une prostituée. On ne la traine pas non plus devant les tribunaux, on l’ignore tout simplement. Ce genre de torchon est connu pour pratiquer un journalisme de prostitution sous des noms d’emprunt pour salir une corporation qui a des principes et surtout une éthique.
    Anis Rahmani s’appelle en fait Mokadem Mohamed. Dans son dossier d’agent autant où il servait d’indicateur et délateur pour les services secrets, il reconnaît en écrivant de sa propre main qu’il refuse de porter le nom qui lui a été donné par l’homme qui a épousé sa mère pour couvrir son adultère. C’est son ancien officier traitant qui m’a révélé ce pan de l’histoire de celui qui passe, aujourd’hui, pour le champion des prostitués de la plume. Anis rahmani explique son refus de porter le nom de Mokadem par le fait que cet homme qui s’appelle Mokadem Slimane est un harki qui a échappé au lynchage à El-Bayadh grâce à sa mère.
    D’ailleurs, cet individu né d’un adultère commis par sa mère a fait la même chose avec une femme mariée et mère d’enfants. Après une longue période de vie secrète il a monté une cabale contre le mari de la bonne femme pour l’obliger, par le chantage, à la divorcer. Cruel comme il est, il l’oblige à abandonner ses enfants comme il l’a fait de son côté avec les siens. Tout àa pour réaliser un mariage d’affaires avec celle qui est devenue son associé dans le torchon qu’il dirige, la nommé Souad Azzouz.

    Pourquoi vous a t-il attaqué avec autant d’acharnement ?

    Je vous l’ai dit auparavant : la vermine s’abrite toujours derrière les hommes puissants; c’était un délateur du DRS avant d’aller s’abriter à l’ombre de M’hamed M’Gueddem qui est pratiquement son homonyme et qui était, conseiller à la présidence afin de l’inclure dans la sphère des proches de Bouteflika. A partir de là, il se met à plat ventre devant Said Bouteflika, pour se faire pardonner ses positions véhémentes prises à l’encontre Président Bouteflika en 2004 sur Khalifa TV, avec la même férocité qu’on lui connait. Alors, ne soyez pas étonnés de le voir après avril 2014 en train de me cirer les pompes, cependant je ne lui en donnerais pas l’occasion.

    D’aucuns se sont interrogés sur votre absence de plus d’une semaine après l’arrestation du groupe de Tébéssa, il n’a eu aucune réaction. Pourquoi ?

    A ce moment précis, je me trouvais au Maroc, car je prépare un livre sur le Président Bouteflika et je me suis rendu à Oujda pour recouper des informations ayant trait à la famille de Bouteflika. J’étais préoccupé par le travail de collecte d’informations,c’est éreintant et je n’ai su la chose que ces derniers jours.

    Parlez nous de votre nouveau livre autour de Bouteflika et sa famille ?

    Je prépare en ce moment un livre sur Bouteflika et sa famille, je révélerais des informations secrètes restées inédites à ce jour. Ces informations éclaireront définitivement les citoyens sur la réalité du président qui les gouverne depuis 15 ans; je mettrais à la lumière également des secrets autour de sa maladie et son séjour hospitalier en France; idem pour ce qui est de son frère Said au sujet duquel je révélerais sa perversion sexuelle, son homosexualité et ses abus d’alcool et de stupéfiants.

    Qu’allez-vous faire maintenant après l’épisode de Tébéssa car certaines sources indiquent que vous faites l’objet de poursuites judiciaires ?

    Je vais dans l’immédiat déposer plainte auprès de la Commission des Droits de l’homme de l’ONU,contre l’Etat algérien qui au mépris des conventions internationales viole mes droits à l’expression et à la libre circulation. J’ai un dossier bien ficelé. Et quel que soit le prix à payer,je n’aurais de cesse à me défendre et défendre les causes de ces personnes arrêtées et emprisonnées sous de fallacieux prétextes ;de même qu’ils ont surement été torturés et subis des pressions que le monde entier connait à l’instar des pratiques notoires des prisons et des commissariats de police.

    Entretien réalisé à Genève par Nouar Abdelmalek

    Mon journal

  • #2
    Hichem Aboud aurait quitté le territoire national via Bouchebka avec un faux cachet de la PAF


    AP - Article | 7. septembre 2013 - 16:28
    Le poste-frontière de Bouchebka. New Press

    Selon des sources locales à Tébessa, Hichem Aboud a réussi à s’exfiltrer vers la Tunisie avec un passeport frappé d’un cachet falsifié de la police algérienne de l’air et des frontières (PAF), ce qui lui aurait permis de passer la frontière sans coup férir, de son propre aveu. Cette révélation confirmée par une source locale très au fait du dossier contredit les assertions de cet agent de la DST, selon lesquelles il aurait quitté le territoire national «normalement et légalement». Ce qui paraissait invraisemblable, vu l’interdiction de quitter le territoire national à laquelle il était et est toujours soumis. Une enquête a été diligentée pour connaître les circonstances de cette exfiltration et en déterminer les responsabilités. ****************** avait révélé que trois personnes, dont un contrebandier et un correspondant local, avaient aidé Hichem Aboud à organiser son évasion. L’un d’entre eux, Adelhaï Abdessamia, journaliste à Radio Tébessa et correspondant de Jaridati, un des deux journaux que dirige Hichem Aboud, a été interpellé et serait toujours aux arrêts, d’après nos sources. Une campagne médiatique est menée depuis quelques jours par un groupe de confrères à Tébessa pour le relâcher. D’aucuns estiment que Hichem Aboud a abusé de la confiance de son employé qu’il a compromis pendant que lui se réfugiait en Suisse. Au même moment, Hichem Aboud continue à faire diversion sur les poursuites dont il est objet, suite à la plainte qu’il a décidé de déposer contre l’Etat algérien auprès d’une juridiction internationale, en multipliant les sorties à travers ses deux quotidiens – qui continuent malgré tout à paraître à Alger avec un tirage très réduit – et les attaques contre le frère du Président, Saïd Bouteflika, qu’il accuse d’être derrière la cabale qu’il endurerait, en essayant de jouer les victimes et d’apparaître, aux yeux de l’opinion publique, comme un chantre de la liberté d’expression. Pourtant, tout le monde sait comment Hichem Aboud est rentré au pays et qui lui a offert deux journaux, un siège et plusieurs milliards de publicité étatique sur un plateau d’argent.
    R. Mahmoudi
    Othmane BENZAGHOU

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    • #3
      C'est une affaire d'Etat


      AP - Editorial | 8. septembre 2013 - 7:36

      Par R. Mahmoudi – L’affaire Hichem Aboud cristallise une véritable crise dans la gestion des affaires de l’Etat, au plus haut niveau de la hiérarchie, et trahit un schisme qui ne dit pas son nom. Tous les lecteurs s’interrogent, d’ailleurs, sur les tenants et aboutissants de cette escapade d’un homme qui continue à diriger ses deux journaux à partir de son exil et même à y signer des éditoriaux pour narguer ses détracteurs, sans être inquiété. Y a-t-il deux Etats au lieu d’un ? Celui plutôt régalien qui l’a, à travers la justice, soumis à une interdiction de sortie du territoire national, et un autre, agissant en parallèle mais dans l’opacité, qui l’aide à traverser la frontière en se faisant cacheter le passeport avec un faux tampon et qui lui assure la parution de ses titres au niveau des imprimeries publiques ? On est, en effet, autant intrigué par l’attitude d’un journaliste ambigu se prêtant à un jeu suspect que par cette dichotomie entre deux volontés qui donnent l’air de cohabiter, mais qui cachent mal une profonde rivalité politique et idéologique au sein du pouvoir. De nombreux commentaires de lecteurs postés dans notre site – ignorant tous les enjeux ou intoxiqués par une propagande ancrée – ne s’expliquent pas tout l’intérêt que nous accordons à cette «histoire» et estiment même que nous nous acharnerions sur un personnage qui défendrait des idées ou une position politique contre telle ou telle personne influente. Or, l’enjeu est tout autre : cette affaire et son «héros» sont l’illustration d’un clanisme qui mène l’Etat vers la dérive. D’où cet impératif de mettre le holà.
      R. M.
      Othmane BENZAGHOU

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      • #4
        Hichem Aboud patauge depuis longtemps dans je ne sais quel jeu trouble, mais celui d'Algérie Patriotique l'est encore plus.
        كلّ إناءٍ بما فيه يَنضَح

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        • #5
          C'est hillaro-catastro-caramboleste cette histoire à épisode de ce HICHAM ABOUD !

          Il ya quelques mois, j'étais mort de rire lorsqu'il a annoncé "en direct" à la Télé Echorouk qu'il était prêt à se constituer prisonnier si sa déclaration publique sur la mort de Boutef au VAL DE GRACE et le rapartriment de ses dépouilles à Alger, s'avère qu'elle est fausse !

          A l'épisode suivante alors !
          Dernière modification par absent, 10 septembre 2013, 16h08.

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          • #6
            Dans TSA
            Citizen Aboud.

            Heureux comme Hichem Aboud qui a passé une quinzaine d’années en France sans connaître l’opulence avant que l’ANEP, dont tout le monde connaît l’esprit charitable, ne lui verse des milliards de centimes en guise de bienvenue, par le truchement des deux minuscules journaux qu’il possède.

            L’ex-secrétaire, sympathiquement inefficace, de Lakhal Ayat devient alors milliardaire. Il s’est écrié en dansant une gigue chaoui qu’il affectionne : « One, two, three viva l’Algérie ! » On le comprend. A sa place on aurait baisé chaque centimètre de ce pays si généreux. Aux malins les mains pleines.

            Jusque-là rien d’anormal. On comprend que les patrons de l’ANEP aient eu le coup de foudre pour Abdoud et ses journaux. Ils ont dû le confondre avec Woodword, le tombeur de Nixon, et ses journaux pour le Washington Post ou le New York Times, pourquoi pas ? C’est possible. Il ne faut pas en rire. De pareilles méprises, qui n’en fait pas ? D’autant qu’Aboud est irrésistible. Surtout quand il écrit avec ce style fleurit qui sent bon le journaliste sportif d’antan dont l’emphase était le fort.

            Un jour, et on l’admire pour ce talent de vendre du vent pour du gaz de Hassi R’mel, il décide de délivrer dans ses deux journaux un scoop mondial : Bouteflika serait rentré en Algérie dans un état comateux ! Digne du scoop du Watergate. Hélas pour lui, il a été désinformé, manipulé comme un bleu, au passeport bleu bien sûr, qu’il n’a jamais cessé d’être.

            Dans une corporation aux règles strictes, il aurait été traduit devant un comité d’éthique et de déontologie pour atteinte grave à la profession de journaliste, pire encore : pour avoir donné du grain à moudre aux ennemis de la liberté d’expression qui auront beau jeu de clamer que la presse algérienne ne sait pas quoi faire de sa liberté.

            Après son faux scoop, il a été si félicité par les adversaires de Bouteflika qu’il en a perdu la tête, se prenant pour la nouvelle icône de la presse. Eux félicitaient la marionnette qui relayait leurs messages et qui s’en tire avec une accusation d’atteinte à la sécurité de l’État. Et lui, grisé par sa célébrité naissante, pensait qu’on rendait hommage à son talent, à son audace et à son courage.

            Courage ? Mon œil. C’est du service payé cash : 20 milliards de centimes ! Du mercenariat brave Hichem, du mercenariat qui rapporte gros. Quant au courage, on le connait ce courage qui le pousse, à chaque fois qu’il a quelques pépins qu’il provoque lui-même, à se réfugier en France en lançant des cris de vierge effarouchée. Et ça se dit chaoui fhel tout en tétant goulûment le sein de Marianne qui a été tété par Bigeard, Massu et bien d’autres paras...

            Exfiltré, même s’il prétend le contraire, le voilà de nouveau en France, sa mère patrie. Ayant perdu son gisement de l’ANEP, l’Algérie ne l’intéresse vraiment plus. Je reconnais à Aboud une seule cause : celle de l’argent. Et ma foi, dans son genre, c’est un modèle ; sans foi ni loi, certes, mais un modèle quand même. La preuve, il est devenu ce dont il a toujours rêvé d’être : milliardaire, « même si c’est en monnaie de singe », comme il le ressasse. Qu’il nous donne la monnaie. Et qu’il garde le singe pour lui. Le connaissant, ils feront bon ménage.
            Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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            • #7
              Plus chien que ce Anis Rahmani ca ne peut exister.
              crapule de Said bouteflika.
              On peut ne pas être d'accord sur certain point avec Hicham Aboud, mais il est de loin plus honnête que les deux crapule, le chien de Anis Rahmani et l'autre salaud de Said Boutesrika .

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              • #8
                C'est hillaro-catastro-caramboleste cette histoire à épisode de ce HICHAM ABOUD !

                Il ya quelques mois, j'étais mort de rire lorsqu'il a annoncé "en direct" à la Télé Echorouk qu'il était prêt à se constituer prisonnier si sa déclaration publique sur la mort de Boutef au VAL DE GRACE et le rapartriment de ses dépouilles à Alger, s'avère qu'elle est fausse !

                A l'épisode suivante alors !
                Mensonge.
                Il n'a pas parlé de la mort de Bouteflika dans l'émission de chourouk, il a parlé d'un comat...il faut arrêter de mentir .
                Il a parlé de la gravité de la maladie de Boutesrika, les jours ont prouvé qu'il a eu raison. Ceux qui mentaient sur toute la ligne depuis le début jusqu'à la fin sont le pouvoir et sa presse et ses sbires " sur ce forum aussi" .
                Ils " le pouvoir, ses sbires " ont menti sur toute la ligne . Au lieu d'en vouloir au pouvoir qui ment sur toute la ligne certains s'en prend à un homme qui a dénoncé le mensonge du pouvoir .


                voici la vidéo en question :

                Dernière modification par votrefrere, 10 septembre 2013, 19h01.

                Commentaire


                • #9
                  Le vocabulaire utilisé par certains montre bien leur réceptivité à toute propagande qui les confortent dans leurs opinions, à un niveau tel qu'il est légitime de se poser certaines questions... Certains discours sont aveuglément gobés au point de ne jamais se poser la question sur la qualité de ces vecteurs de l'information, précédemment exilés en France au point de ne plus avoir de passeport algérien, puis par enchantement, devenus fréquentables au point de recevoir sa part de la manne publicitaire publique, et pas des moindres. Et certains sont abreuvés de termes du genre "pauvre journaliste qui dit la vérité contre ce pouvoir despotique", déconcertant de simplicité...
                  Othmane BENZAGHOU

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                  • #10
                    wallah, on ne sait plus qui croire, quoi croire.
                    L'opacité est au summum.
                    Pour ma part, je crains que ça finisse par péter.

                    Commentaire


                    • #11
                      Saha Bachi. La presse privée a de toujours distillé ses vues, et depuis des lustres en Algérie. Aujourd'hui, les enjeux politiques sont exacerbés au point où les grosses cartes sont jouées. Il ne faut jamais lire la presse au premier degré, si je peux me permettre...
                      Dernière modification par ott, 10 septembre 2013, 19h45.
                      Othmane BENZAGHOU

                      Commentaire


                      • #12
                        alors tu trouves normal qu il etait interdit de sortie du territoire
                        par la justice de la nuit

                        sans avoir commis aucun delit qui puisse justifier cette mise au ban
                        The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                        Commentaire


                        • #13
                          Un procureur poursuit ce personnage avec un chef d'accusation grave, suivi d'une interdiction de quitter le territoire. Si l'accusation d'agent de la DST est vraie, et que cette personne a agit sous l'impulsion de parties étrangères, il y a de quoi s'interroger réellement. D'autant plus que la fameuse sortie avait étonnement coincidé, à un jour pret, avec certaines fuites dans certains journaux francais, qui laissent penser que le top a été donné en France....
                          Othmane BENZAGHOU

                          Commentaire


                          • #14
                            il a été accusé d'intelligence avec la France?
                            Pour moi, c'est de la foutaise.

                            Commentaire


                            • #15
                              Un procureur poursuit ce personnage avec un chef d'accusation grave, suivi d'une interdiction de quitter le territoire. Si l'accusation d'agent de la DST est vraie, et que cette personne a agit sous l'impulsion de parties étrangères, il y a de quoi s'interroger réellement. D'autant plus que la fameuse sortie avait étonnement coincidé, à un jour pret, avec certaines fuites dans certains journaux francais, qui laissent penser que le top a été donné en France....
                              c nouveau mes antennes ne sont pas sur la meme longueur d onde

                              mais je suis a ecouter cette fumisterie
                              The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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