C'est incroyable cette cupidité qui touche les Algériens. C'est la course effrénée à l'argent et la spéculation bat son plein.
Si cette fraise était importée de l'étranger on pourrait comprendre ces prix, mais là il s'agit d'une fraise algérienne et ça ne demande pas plus d'effort que pour produire de la tomate ou des fèves.
Où va l'Algérie ?
Si cette fraise était importée de l'étranger on pourrait comprendre ces prix, mais là il s'agit d'une fraise algérienne et ça ne demande pas plus d'effort que pour produire de la tomate ou des fèves.
Où va l'Algérie ?
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