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Mort Ne

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  • Mort Ne

    Le sable frémit sous une onde sinueuse
    Un sifflement ?
    Une gerboise, l’œil brillant, dresse l’oreille
    Son cœur chavire Où fuir dans ce sable mouvant ?
    Son cœur fond, la proie scellée reprend
    Le flambeau d’Ismaël ?
    Peut-être qu’ainsi le venin s’adoucira
    En vin béni
    Et que la morsure
    En geste d’aumône comme au temps des mers
    Caressera des âmes avilies de pénitence
    Lèvera ces nuées évanouies de rancœur
    Vers des cimes qui s’affaisseront sous
    Des brumes de béatitudes ?
    La roue tourne et un aigle
    Un sauveur ?
    L’a fauché.
    Toujours ouverts, toujours veillants les yeux de mon âme.

    Dionysios Solomos

  • #2
    ton poème m'énerve ....

    c'est toujours ce que je ressens quand je suis touchée ...

    maintenant lire juste après qu'il ne faut pas pousser mémé dans les orties ça casse quelque chose ...

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    • #3
      J'aime ..
      T'as un beau style...

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      • #4
        merci ... ouais bon la chute de ma citation est disons pour le moins violente mais c'est pour vous remettre des émotions que ma plume magnifique a éveillé en vous!!!!
        Toujours ouverts, toujours veillants les yeux de mon âme.

        Dionysios Solomos

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        • #5
          je trouve que c pas mal

          j'espere qu'on en lira d'autres aussi jolies
          cojito ergo som

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          • #6
            en tous cas, moi, je n'oserai plus jamais poster une de mes rimailleries

            c'est ACADEMIQUE

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            • #7
              DANIELLE .. ah non alors .. chaque texte a sa place ici .. si tu as quelque chose à exprimer .. tu exprimes ..

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