Le sable frémit sous une onde sinueuse
Un sifflement ?
Une gerboise, l’œil brillant, dresse l’oreille
Son cœur chavire Où fuir dans ce sable mouvant ?
Son cœur fond, la proie scellée reprend
Le flambeau d’Ismaël ?
Peut-être qu’ainsi le venin s’adoucira
En vin béni
Et que la morsure
En geste d’aumône comme au temps des mers
Caressera des âmes avilies de pénitence
Lèvera ces nuées évanouies de rancœur
Vers des cimes qui s’affaisseront sous
Des brumes de béatitudes ?
La roue tourne et un aigle
Un sauveur ?
L’a fauché.
Un sifflement ?
Une gerboise, l’œil brillant, dresse l’oreille
Son cœur chavire Où fuir dans ce sable mouvant ?
Son cœur fond, la proie scellée reprend
Le flambeau d’Ismaël ?
Peut-être qu’ainsi le venin s’adoucira
En vin béni
Et que la morsure
En geste d’aumône comme au temps des mers
Caressera des âmes avilies de pénitence
Lèvera ces nuées évanouies de rancœur
Vers des cimes qui s’affaisseront sous
Des brumes de béatitudes ?
La roue tourne et un aigle
Un sauveur ?
L’a fauché.
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