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Le pétrole bon marché,c'est l'avenir

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  • Le pétrole bon marché,c'est l'avenir

    L'OPEP, l'Organisation des pays producteurs de pétrole, vient de rappeler avec force que c'est elle qui conservait jalousement les clés de la prospérité mondiale. Le rassemblement ne compte pas abaisser sa production pour faire remonter les prix.

    L'OPEP ne veut pas augmenter les prix

    Ali al-Naimi, ministre saoudien du pétrole depuis 1995 et considéré comme le véritable patron de l'OPEP, a déclaré au Financial Times qu'il n'était pas dans l'intérêt des pays producteur de pétrole de revoir les prix à la hausse. De fait, le signal envoyé est clair : il n'est pas question de modifier le volume de production, et ce même si le prix du baril descendait sous les 20$.

    L'OPEP joue sur du velours : le coût de production d'un baril se situe entre 4 et 5$. Même à 20$ ou moins, les producteurs continuent donc d'engranger les bénéfices… Les économies dépendantes au pétrole n'ont donc pas fini de profiter du pétrole bon marché, et la perspective d'un baril qui reviendrait à 100$ ne risque pas de se reproduire si tôt.

    Une décision contre le pétrole de schiste
    A priori, c'est plutôt une bonne nouvelle pour les consommateurs : un pétrole moins cher équivaut presque mécaniquement à du pouvoir d'achat supplémentaire. Oui mais voilà, la raison pour laquelle l'OPEP ne veut pas revoir sa production est purement politique : l'organisation ne veut plus voir ses parts de marché s'effriter face au pétrole et au gaz de schiste.

    Cette décision de ne pas augmenter les prix va durablement affecter le secteur de la production de cette énergie très chère… mais qui, avec un baril situé entre 70 et 80$, restait compétitive. Avec du pétrole à 20$, c'est évidemment beaucoup moins le cas. Les États-Unis, qui ont tout misé sur la production interne pour devenir énergiquement indépendants, vont commencer à voir poindre les premières faillites de ce qui ressemble à une nouvelle crise des subprimes : les industriels du pétrole ont en effet investi 500 milliards de dollars pour se payer leurs forages. Qui risquent bien d'être beaucoup trop onéreux face à un pétrole si peu cher

    éco martin

  • #2
    Le pétrole bon marché,c'est l'avenir
    Non !

    Au contraire, avec un pétrole bon marché, c'est plutôt le présent qui est meilleur, pour un avenir proche sombre, très sombre pour l'humanité.

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    • #3
      L'OPEP ne veut pas augmenter les prix
      Pas aussi simpliste, ya si Bazoge

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      • #4
        Ce qui est sûr c est que les US ont de quoi produire gaz et petrole de schistes jusqu en 2035-2040, si la Chine et plusieurs autres pays européens sans oublier l argentine s y mettent ce n est pas pour demain que les cours du pétrole reprendront leur envols....

        Il est fort probable que l humanité passerait à l après pétrole alors que celui ci serait bon marché.

        Quant au cartel opep, il connaîtra probablement une division, les mécontents claqueront la porte ( Vénézuela, Iran, algerie, Angola) Ceci ne pourrait que compliquer les choses...
        Dernière modification par upup, 29 décembre 2014, 12h31.

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        • #5
          les mécontents claqueront la porte ( Vénézuela, Iran, algerie, Angola)
          Et tu crois que l'AS, le Koweit, le Qatar ... sont contents des cours actuels ?

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          • #6
            Et tu crois que l'AS, le Koweit, le Qatar ... sont contents des cours actuels ?
            en tout cas ils ont décidé de ne pas etre contents, les autres subissent

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            • #7
              les autres subissent
              Les autres ? Cela dépend des dettes et des avoirs de ces "autres". Finalement, ce sont toujours les mêmes.

              Quant l'AS ...

              Arabie saoudite : déficit record prévu pour 2015

              Finances publiques
              OLJ
              27/12/2014


              L'Arabie saoudite, premier pays exportateur mondial de pétrole, a pris en compte la dégringolade des cours du brut en prévoyant un déficit de 38,6 milliards de dollars pour son budget 2015. C'est le déficit le plus important jamais prévu par le royaume saoudien dont le budget prévisionnel a toujours été a minima à l'équilibre depuis 2011.

              Au cours d'une réunion extraordinaire tenue jeudi, le gouvernement s'est entendu sur un budget traduisant une baisse sensible des recettes (- 16 % à 190,7 milliards de dollars) par rapport au budget prévisionnel de 2014, tandis que les dépenses continuent d'augmenter légèrement (+ 0,6 % à 229,3 milliards de dollars).

              Ce recul des recettes est lié à la chute des cours du pétrole, qui ont perdu environ la moitié de leur valeur depuis la mi-juin sur fond de surabondance de l'offre, de ralentissement de la demande mondiale sur le pétrole et de dollar fort.

              Le ministre saoudien du Pétrole Ali al-Nouaïmi a répété cette semaine que l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) n'allait pas réduire sa production, même si les prix du brut tombent à 20 dollars le baril.

              « Que ça descende à 20, 40, 50 ou 60 dollars, il n'est pas pertinent » de réduire l'offre, a-t-il ajouté en réitérant son intransigeance à défendre la part de marché de son pays face notamment à l'essor du pétrole de schiste américain.

              Prédisant une nouvelle année « difficile », l'analyste saoudien Abdelwahab Abou-Dahech a estimé, pour sa part, que « le déficit réel sera d'environ 200 milliards de riyals (53 milliards de dollars) car les revenus réels devraient être inférieurs aux estimations ».

              « Les dépenses dans le budget ne sont pas conformes avec la forte baisse des prix du pétrole », a-t-il dit à l'AFP.

              Le budget 2014 également en déficit
              Il est également possible que le royaume connaisse un déficit budgétaire dès 2014 : selon des statistiques préliminaires du ministère des Finances, le budget 2014, prévu initialement à l'équilibre, pourrait connaître un déficit réel de 54 milliards de riyals (14,4 milliards USD) en fin d'exercice.

              Si les prix du pétrole restaient à leur niveau actuel, autour de 60 dollars le baril pour le Brent, le royaume devrait perdre la moitié de ses revenus qui étaient de 276 milliards de dollars en 2013. Le ministre des Finances Ibrahim al-Assaf a pourtant affirmé la semaine dernière que Riyad allait maintenir un rythme élevé de dépenses pour les projets de développement grâce à la manne pétrolière des dernières années qui lui donne « des lignes de défense pour les années de vaches maigres ».

              Le royaume, qui pompe quelque 9,6 millions de barils par jour (mbj), peut en effet puiser dans des réserves estimées à 750 milliards de dollars.

              Le roi a d'ailleurs autorisé le ministère des Finances à puiser « dans les réserves » ou à recourir à l'emprunt sur le marché pour pallier le déficit budgétaire.

              Dans son communiqué, le gouvernement souligne qu'il va continuer à financer « les projets et programmes de développement de l'éducation et de la santé et les services sociaux », et à « créer davantage d'emplois pour les citoyens ».
              Dernière modification par jawzia, 29 décembre 2014, 13h14.

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              • #8
                meme avec une montagne d'avoir, ils subissent quand meme

                ça reste toujours dans les clous peut etre mais cependant

                Pétrole : l'Algérie demande à l'Opep d'enrayer la chute des cours
                http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=340463

                Quant l'AS ...
                elle doit etre consciente de ses decisions à la difference des autres qui n'y comprennent rien, ça subit c'est tout
                Dernière modification par absent, 29 décembre 2014, 13h25.

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                • #9
                  je vois que les mendiants auprès du pays du golf se réjouissent de la chute des prix

                  attention il n y aurau plus de cadeaux de noël
                  « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                  • #10
                    maintenant que tu as deversé ton venin, tu peut retourner à ta tanière

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                    • #11
                      un baril qui chute et t'as des pays en ruine


                      économie nta3 zouj doro

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                      • #12
                        ils subissent quand meme
                        Ok jmlix on a compris que tu affectionnes ce verbe mais explique nous avec un peu plus de détails sachant que tout le monde subit la loi capricieuse du marché.

                        A mon avis, il y a ceux qui sont plus ou moins paré à cette loi : Peu ou pas de dette et un bon matelas d'avoirs. Et .... les "autres" !

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                        • #13
                          économie nta3 zouj doro
                          ca c'est vrai !

                          qu'en est il des pays qui ne survivent qu'avec des dons ou des investissements des autres ?

                          ouadhi nta3 chal ndoro ?

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                          • #14
                            Les Arabes qui réagissent contre les producteurs de pétrole de schiste est une hypothèse vraisemblable . L'impossible est leur volonté et leur capacité de nuire à l'économie de leur puissant allié américain.

                            Les Saoud maître en apparence du prix du baril et du cours du dollar monnaie de référence mondiale , jouent la baisse dans un combat économique où ils ont tout convenu avec El Marikane . Ils perdront quelques milliers de milliards s'il le fallait, mais rebondiront au bond moment pour rattraper leurs pertes.

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                            • #15
                              Les Saoud maître en apparence du prix du baril et du cours du dollar monnaie de référence mondiale , jouent la baisse dans un combat économique où ils ont tout convenu avec El Marikane .
                              Ils sont maitre de (presque) rien du tout. Les données ont changé et les membres de l'OPEP le savent.

                              La part des pays-Opep dans la production mondiale de petrole n'arrivent même plus à 50%. Des pays comme l'Angola, ceux de l'Asie mineure ... ne sont assujettis à aucun quota du fait qu'ils ne sont pas membre de l'OPEP. Toute baisse de production décidée par l'AS ne donnera pas nécessairement lieu à une baisse des prix puisque ces nouvelles "parts de marché" seront accaparées par les non-opep.

                              Agir sur les prix par la baisse de production devient de plus en plus aléatoire. Même pour l'Arabie saoudite.

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