Face à l’extrémisme religieux, Mohamed Aïssa plaide pour le retour à l’islam ancestral
Pour faire face à l’extrémisme religieux qui se développe, le ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa, qui a donné, ce lundi 9 mars, le coup d’envoi de la rencontre nationale sur la Tarika Rahmania, a plaidé pour un retour à l’islam ancestral. Une forme de la religion qu’il faut, selon lui, absolument promouvoir au sein de la société algérienne. « L’islam de la tolérance et de la paix est le seul remède aux extrémismes religieux qui menacent notre société », a-t-il déclaré.
Afin d’opérer un retour à l’islam ancestral, Mohamed Aïssa a exhorté les imams et les fidèles dans les mosquées et les zaouïas à se référer davantage à la Tariqa Rahmania fondée en Kabylie en 1774 et qui a joué un rôle important dans la lutte contre le colonialisme français. Le ministre a estimé que la Rahmaniya doit encore continuer à jouer un rôle important dans la lutte contre l’extrémisme.
Dans ce sens, il a souligné que cette doctrine qui est puisée du soufisme a de tout temps prôné la tolérance, la paix, la fraternité, l’amour d’autrui, l’apaisement et la purification de l’âme.
L’appel de Mohamed Aïssa intervient dans un contexte où la Kabylie fait face à des assauts répétés de salafistes qui ne ratent aucune occasion pour faire main basse sur les mosquées et les associations religieuses et d’imposer des pratiques étrangères à l’islam pratiqué jusque-là dans la région. Des faits couramment dénoncés par les villageois.
Ce colloque sur la Tariqa Rahmania est organisé, ce lundi et demain mardi, à la maison de la culture de Tizi Ouzou avec la participation de différentes zaouïas, associations de culte, écoles religieuses locales et nationales et également de nombreux cadres du ministère des Affaires religieuses.
Source: TSA
Pour faire face à l’extrémisme religieux qui se développe, le ministre des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa, qui a donné, ce lundi 9 mars, le coup d’envoi de la rencontre nationale sur la Tarika Rahmania, a plaidé pour un retour à l’islam ancestral. Une forme de la religion qu’il faut, selon lui, absolument promouvoir au sein de la société algérienne. « L’islam de la tolérance et de la paix est le seul remède aux extrémismes religieux qui menacent notre société », a-t-il déclaré.
Afin d’opérer un retour à l’islam ancestral, Mohamed Aïssa a exhorté les imams et les fidèles dans les mosquées et les zaouïas à se référer davantage à la Tariqa Rahmania fondée en Kabylie en 1774 et qui a joué un rôle important dans la lutte contre le colonialisme français. Le ministre a estimé que la Rahmaniya doit encore continuer à jouer un rôle important dans la lutte contre l’extrémisme.
Dans ce sens, il a souligné que cette doctrine qui est puisée du soufisme a de tout temps prôné la tolérance, la paix, la fraternité, l’amour d’autrui, l’apaisement et la purification de l’âme.
L’appel de Mohamed Aïssa intervient dans un contexte où la Kabylie fait face à des assauts répétés de salafistes qui ne ratent aucune occasion pour faire main basse sur les mosquées et les associations religieuses et d’imposer des pratiques étrangères à l’islam pratiqué jusque-là dans la région. Des faits couramment dénoncés par les villageois.
Ce colloque sur la Tariqa Rahmania est organisé, ce lundi et demain mardi, à la maison de la culture de Tizi Ouzou avec la participation de différentes zaouïas, associations de culte, écoles religieuses locales et nationales et également de nombreux cadres du ministère des Affaires religieuses.
Source: TSA
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