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L’Association des oulémas musulmans algériens a critiqué dans un communiqué, rendu public jeudi, le nouveau code pénal adopté dernièrement par le Parlement.
L’Association parle d’«une tentative de métamorphoser la famille algérienne et organiser les liens conjugaux par la vengeance et la querelle entre l’homme et la femme, ce qui représente un risque d’éveiller la fitna et entraîner ensuite le clivage et le divorce». *
«La famille algérienne musulmane fait face à des lois abusives incluses dans le code pénal. Ces lois sont de nature à semer la fitna, le trouble et la séparation entre les membres d’une même famille, ce qui se manifeste par la désobéissance de la femme à son père, à son frère et à son mari et constitue un encouragement à la désobéissance au nom des prétendus droits de la femme. De ce fait, nous les membres de l’Association des oulémas musulmans condamnons toute mesure abusive de nature à déstabiliser la famille sous quel que prétexte que ce soit. Tout traitement des questions de la famille loin des dispositions de la Charia islamique, des bonnes traditions de la société algérienne, des valeurs humaines héritées de nos ancêtres depuis la nuit temps soit par la manifestation d’une sympathie à l’endroit de la personne lésée ou par la promulgation de lois punitives, ne fera que détériorer la famille algérienne. Nos tribunaux en témoignent… De ce fait et vu l’ébullition que traverse le pays, l’Association incite toutes les forces vives à faire front contre la métamorphose et le dépouillement de la famille musulmane algérienne de ses principes et de ses constantes islamiques nationales. En outre, nous incitons tout un chacun à déjouer toutes les tentatives visant à faire de la femme* un reflet d’une réalité arabe détériorée socialement et éthiquement».*
Echourouk
L’Association parle d’«une tentative de métamorphoser la famille algérienne et organiser les liens conjugaux par la vengeance et la querelle entre l’homme et la femme, ce qui représente un risque d’éveiller la fitna et entraîner ensuite le clivage et le divorce». *
«La famille algérienne musulmane fait face à des lois abusives incluses dans le code pénal. Ces lois sont de nature à semer la fitna, le trouble et la séparation entre les membres d’une même famille, ce qui se manifeste par la désobéissance de la femme à son père, à son frère et à son mari et constitue un encouragement à la désobéissance au nom des prétendus droits de la femme. De ce fait, nous les membres de l’Association des oulémas musulmans condamnons toute mesure abusive de nature à déstabiliser la famille sous quel que prétexte que ce soit. Tout traitement des questions de la famille loin des dispositions de la Charia islamique, des bonnes traditions de la société algérienne, des valeurs humaines héritées de nos ancêtres depuis la nuit temps soit par la manifestation d’une sympathie à l’endroit de la personne lésée ou par la promulgation de lois punitives, ne fera que détériorer la famille algérienne. Nos tribunaux en témoignent… De ce fait et vu l’ébullition que traverse le pays, l’Association incite toutes les forces vives à faire front contre la métamorphose et le dépouillement de la famille musulmane algérienne de ses principes et de ses constantes islamiques nationales. En outre, nous incitons tout un chacun à déjouer toutes les tentatives visant à faire de la femme* un reflet d’une réalité arabe détériorée socialement et éthiquement».*
Echourouk
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