La gendarmerie s'organise pour intervenir sur le crash de l'A320 de Germanwings dans les Alpes, le 25 mars 2015.
L'un des pilotes était coincé hors du cockpit.
Les deux pilotes sont de nationalité allemande.
La thèse du suicide ou de l'attentat suicide refait surface
Les premiers corps ont été hélitreuillés.
Les familles des victimes attendues sur place.
13h16: «Le relevage des corps ne sera pas terminé avant la fin de la semaine, voire avant la fin de la semaine prochaine»
13h15: «Les échanges avec les familles ont duré 1h15»
Le procureur explique avoir répondu à toutes leurs questions.
13h12: Le copilote avait 28 ans
Et s'appelle Andreas Lubitz, et non Loubitz, comme le procureur l'avait dit dans un premier temps.
13h09: «Pour l'instant, rien ne permet de dire qu'il s'agit d'un attentat terroriste»
13h09: «Les deux familles des pilotes sont arrivées à Marignane, mais elles ont été séparées des autres familles»
13h06:«Le copilote était apte à conduire l'avion seul»
C'est ce qu'assure le procureur.
13h04: «Nous allons continuer nos investigations»
«Nous allons chercher la seconde boîte noire et réaliser les environnements dont je vous ai parlé tout à l'heure», poursuit le procureur, c'est-à-dire rechercher les informations concernant le copilote.
13h: «Il n'y avait personne d'autre dans la cabine, à part le copilote»
Autrement dit, un terroriste n'est pas entré dans le cockpit.
12h59: «Je ne connais pas la religion du copilote, mais je ne pense pas que ce soit forcément de ce côté-là qu'il faille chercher»
Et il s'appelle Andreas Loubitz, affirme le procureur.
12h58: Le commandant a laissé les commandes au copilote, «vraisemblablement pour satisfaire un besoin naturel»
«Mais il n'a jamais demandé au copilote d'amorcer la descente», assure le procureur.
12h57: «Nous sommes en train d'étudier l'environnement du copilote»
«Nous aurons ces informations essentiellement des autorités allemandes. J'attends les réponses aujourd'hui ou demain», précise Brice Robin.
12h55: «Quand le commandant de bord parle de l'atterrisage, les réponses du copilotes sont courtes, brèves»
«Il n'y a pas d'échanges véritables», précise le procureur.
12h54: «Le copilote n'est pas répertorié comme terroriste, absolument pas», affirme le procureur
12h51: «Je pense que les victimes ne se sont rendues compte qu'au tout dernier moment qu'elles allaient se crasher»
Car les cris n'interviennent que dans les tous derniers instants avant l'impact, affirme le procureur.
12h51: La respiration du copilote «n'était pas celle de quelqu'un en train de faire un infarctus»
12h48: «Ca fait beaucoup»
«Le copilote respirait normalement mais n'a prononcé strictement aucun mot depuis que le commandant de bord a quitté la cabine. Ce dernier a dû comprendre ce qu'il se passait mais n'a pas eu les moyens d'ouvrir la porte», décrit le procureur. «Au jour d'aujourd'hui, je ne peux que dire que le copilote a permis la perte d'altitude de l'avion mais qu'il n'avait aucune raison de le faire, aucune raison d'empêcher son commandant de revenir dans la cabine, de refuser de répondre à la tour de contrôle, de refuser de taper le code qui aurait placé l'avion en appareil prioritaire. Ca fait beaucoup»
12h45: «Une volonté de détruire cet avion»
«Pour nous, enquêteurs, l'interprétation la plus pausible est que le copilote, par une abstention volontaire, a refusé d'ouvrir la porte de la cabine au commandant de bord et a actionné le bouton commandant la perte d'altitude pour une raison que nous ignorons totalement, mais qui peut s'analyser comme une volonté de détruire cet avion».
12h43: «On entend des coups violents visiblement pour défoncer la porte»
Le procureur explique que «l'on entend ensuite les appels de la tour de contrôle de Marseille». Le copilote ne répond toujours pas. Il ne compose pas non plus le code d'urgence 7700, pourtant demandé par la tour de contrôle. Cette dernière demande aussi à d'autres avions de faire un relai radio pour contacter l'airbus mais aucune réponse n'intervient. Dans l'avion, «les alarmes se déclenchent. On entend des coups violents visiblement pour défoncer la porte, qui est blindée. Juste avant l'impact final, on entend le bruit d'un premier impact sur un talus, avant que l'avion ne vienne percuter à plus de 700 km/h la montagne», poursuit le Brice Robin.
12h41: Le copilote était vivant dans la cabine
Le copilote se retrouve alors seul aux commandes et c'est là qu'il «manipule les boutons du Flight monitoring system pour actionner la descente de l'appareil. L'action sur ce sélectionneur d'altitude ne peut être que volontaire. On entend plusieurs appels du commandant demandant l'accès à la cabine de pilotage, mais il n'obtient aucune réponse de la part du copilote. On entend un bruit de respiration humaine à l'intérieur de la cabine que nous entendrons jusq'uà l'impact final. Le copilote était donc vivant», détaille le procureur.
L'un des pilotes était coincé hors du cockpit.
Les deux pilotes sont de nationalité allemande.
La thèse du suicide ou de l'attentat suicide refait surface
Les premiers corps ont été hélitreuillés.
Les familles des victimes attendues sur place.
13h16: «Le relevage des corps ne sera pas terminé avant la fin de la semaine, voire avant la fin de la semaine prochaine»
13h15: «Les échanges avec les familles ont duré 1h15»
Le procureur explique avoir répondu à toutes leurs questions.
13h12: Le copilote avait 28 ans
Et s'appelle Andreas Lubitz, et non Loubitz, comme le procureur l'avait dit dans un premier temps.
13h09: «Pour l'instant, rien ne permet de dire qu'il s'agit d'un attentat terroriste»
13h09: «Les deux familles des pilotes sont arrivées à Marignane, mais elles ont été séparées des autres familles»
13h06:«Le copilote était apte à conduire l'avion seul»
C'est ce qu'assure le procureur.
13h04: «Nous allons continuer nos investigations»
«Nous allons chercher la seconde boîte noire et réaliser les environnements dont je vous ai parlé tout à l'heure», poursuit le procureur, c'est-à-dire rechercher les informations concernant le copilote.
13h: «Il n'y avait personne d'autre dans la cabine, à part le copilote»
Autrement dit, un terroriste n'est pas entré dans le cockpit.
12h59: «Je ne connais pas la religion du copilote, mais je ne pense pas que ce soit forcément de ce côté-là qu'il faille chercher»
Et il s'appelle Andreas Loubitz, affirme le procureur.
12h58: Le commandant a laissé les commandes au copilote, «vraisemblablement pour satisfaire un besoin naturel»
«Mais il n'a jamais demandé au copilote d'amorcer la descente», assure le procureur.
12h57: «Nous sommes en train d'étudier l'environnement du copilote»
«Nous aurons ces informations essentiellement des autorités allemandes. J'attends les réponses aujourd'hui ou demain», précise Brice Robin.
12h55: «Quand le commandant de bord parle de l'atterrisage, les réponses du copilotes sont courtes, brèves»
«Il n'y a pas d'échanges véritables», précise le procureur.
12h54: «Le copilote n'est pas répertorié comme terroriste, absolument pas», affirme le procureur
12h51: «Je pense que les victimes ne se sont rendues compte qu'au tout dernier moment qu'elles allaient se crasher»
Car les cris n'interviennent que dans les tous derniers instants avant l'impact, affirme le procureur.
12h51: La respiration du copilote «n'était pas celle de quelqu'un en train de faire un infarctus»
12h48: «Ca fait beaucoup»
«Le copilote respirait normalement mais n'a prononcé strictement aucun mot depuis que le commandant de bord a quitté la cabine. Ce dernier a dû comprendre ce qu'il se passait mais n'a pas eu les moyens d'ouvrir la porte», décrit le procureur. «Au jour d'aujourd'hui, je ne peux que dire que le copilote a permis la perte d'altitude de l'avion mais qu'il n'avait aucune raison de le faire, aucune raison d'empêcher son commandant de revenir dans la cabine, de refuser de répondre à la tour de contrôle, de refuser de taper le code qui aurait placé l'avion en appareil prioritaire. Ca fait beaucoup»
12h45: «Une volonté de détruire cet avion»
«Pour nous, enquêteurs, l'interprétation la plus pausible est que le copilote, par une abstention volontaire, a refusé d'ouvrir la porte de la cabine au commandant de bord et a actionné le bouton commandant la perte d'altitude pour une raison que nous ignorons totalement, mais qui peut s'analyser comme une volonté de détruire cet avion».
12h43: «On entend des coups violents visiblement pour défoncer la porte»
Le procureur explique que «l'on entend ensuite les appels de la tour de contrôle de Marseille». Le copilote ne répond toujours pas. Il ne compose pas non plus le code d'urgence 7700, pourtant demandé par la tour de contrôle. Cette dernière demande aussi à d'autres avions de faire un relai radio pour contacter l'airbus mais aucune réponse n'intervient. Dans l'avion, «les alarmes se déclenchent. On entend des coups violents visiblement pour défoncer la porte, qui est blindée. Juste avant l'impact final, on entend le bruit d'un premier impact sur un talus, avant que l'avion ne vienne percuter à plus de 700 km/h la montagne», poursuit le Brice Robin.
12h41: Le copilote était vivant dans la cabine
Le copilote se retrouve alors seul aux commandes et c'est là qu'il «manipule les boutons du Flight monitoring system pour actionner la descente de l'appareil. L'action sur ce sélectionneur d'altitude ne peut être que volontaire. On entend plusieurs appels du commandant demandant l'accès à la cabine de pilotage, mais il n'obtient aucune réponse de la part du copilote. On entend un bruit de respiration humaine à l'intérieur de la cabine que nous entendrons jusq'uà l'impact final. Le copilote était donc vivant», détaille le procureur.
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