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Métro d’Alger: La nouvelle ligne Hai El Badr-El Harrach livrée en juillet prochain

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  • Métro d’Alger: La nouvelle ligne Hai El Badr-El Harrach livrée en juillet prochain

    Métro d’Alger: La nouvelle ligne Hai El Badr-El Harrach livrée en juillet prochain




    Les essais à blanc de l'extension Haï El Badr (Bachdjarrah) à El Harrach centre du métro d'Alger ont été officiellement lancés dimanche par le ministre des Transports, Boudjema Talai, alors que son ouverture à l'exploitation commerciale est prévue le 4 juillet prochain, a-t-on constaté. Le tronçon Hai El Badr-El Harrach, d'une longueur de 4 km, est doté de 4 stations (Bachdjerrah 1, Bachdjerrah 2, El Harrach gare et El Harrach centre) équipées notamment d'ascenseurs pour les personnes à capacité physique réduite, qui font défaut dans la première ligne (La Grande poste-Haï El Badr).

    Lancé à l'été 2008, ce projet a coûté 110 millions d'euros. La marche à blanc de cette première extension du métro d'Alger a été lancée à la station d'El Harrach qui est multimodale : sur place, les usagers peuvent en effet prendre aussi le taxi, le bus ou le train. A partir du 5 juillet, les usagers pourront emprunter le métro de la station d'El Harrach à Tafourah (Grande poste) en 20 minutes de trajet, avec possibilité, effective depuis mai dernier, d'utiliser leurs téléphones portables pour passer des appels ou se connecter à internet.

    Cela permettra immédiatement aux habitants des communes d'El Harrach et de Bourouba d'assister aux différentes activités organisées en soirée dans le centre-ville de la capitale, à l'occasion du mois sacré du Ramadhan.Ouverte à l'exploitation commerciale le 1er novembre 2011, la première ligne du métro d'Alger, reliant sur 9,5 km la Grande poste à Haï El Badr (Bachdjarrach), connaîtra début juillet une extension de 4 km vers El Harrach, en attendant la mise en service, reportée à début 2016, de la deuxième extension vers Ain Naadja, dans la commune de Gué de Constantine. Longue de 3,6 km, l'extension Haï El Badr - Aïn Naadja desservira les communes de Bachdjarrah et Gué de Constantine. Elle a une connexion avec la gare ferroviaire d’Ain Naadja.

    La troisième extension de cette première ligne, entre la Grande poste et la Basse-Casbah (1,7 km), n'est pas prévue avant 2017, selon l’entreprise du Métro d'Alger (EMA). Trois autres extensions sont par ailleurs en cours d'étude. Il s’agit des tronçons Place des martyrs- Chevalley, Aïn Naadja-Baraki, ainsi que la ligne El Harrach-Bab Ezzouar, qui sera reliée à l'aéroport d’Alger et du pôle universitaire, avec une connexion au Tramway d'Alger près de l’Université Houari Boumediene.


    Algerie site
    Dernière modification par jawzia, 14 juin 2015, 16h56.

  • #2
    Essais métro Hai El Badr - El Harrach







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    • #3
      C'est une belle réalisation Allah y barek

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      • #4
        C'est vrai iridium ,c'est dans ce domaine ou le Maroc souffre d'un grand déficit , un transport en commun fiable et performant ,le metro .

        Chapeau les algériens...

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        • #5
          Au niveau transport urbain c'est un zéro pointé pour le Maroc. Mais nous on préfère construire des mosquées "Cathédrales" au lieu de construire un métro qui rendrait service à Casablanca et toute sa région.

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          • #6
            Il ne peut pas y avoir un métro à Casablanca à cause de la nappe phréatique qui coule sous la ville à une très faible profondeur.

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            • #7
              Il n y a qu a Casablanca la nappe phréatique
              « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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              • #8
                Il n y a qu a Casablanca la nappe phréatique
                Développez svp.

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                • #9
                  c'est plutôt un manque de financement !
                  And ye shall know the truth and the truth shall make you free.

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                  • #10
                    c'est plutôt un manque de financement !
                    Effectivement. Un métro à Casa aurait été hors prix à cause justement de cette nappe phréatique. C'est le Conseil municipal de Casa qui finance et non l'état.
                    Dernière modification par hakimcasa, 15 juin 2015, 17h39.

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                    • #11
                      meme pour le metro aerien

                      La ville de Casablanca, mégalopole de cinq millions d'habitants, a décidé d'abandonner son projet de métro aérien, jugé trop onéreux, et s'oriente vers la construction de quatre nouvelles lignes de tramway, a rapporté hier le quotidien marocain L'Économiste.

                      La capitale économique du royaume, confrontée à de sérieux problèmes de circulation automobile, devait se doter d'ici fin 2018 d'un métro aérien de 15 kilomètres pour un coût de neuf milliards de dirhams (800 millions d'euros). Les études techniques devaient être prêtes au printemps, selon le maire, Mohammed Sajid. Mais "son montage financier tardait à voir le jour" et le conseil de la ville a décidé lundi d'enterrer le projet, jugé trop coûteux, d'après L'Économiste. A la place, quatre nouvelles lignes de tramway, "d'une longueur de plus de 80 km", seront construites.
                      And ye shall know the truth and the truth shall make you free.

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                      • #12
                        Il y a eu d'abord un projet de métro souterrain. Ce projet a été abandonné parce que hors prix (la nappe phréatique).

                        Il y a eu ensuite un projet de métro aérien. Il fut lui aussi abandonné.

                        Finalement le Conseil municipal a opté pour le tram. C'est le seul projet que le Conseil pouvait financer.

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                        • #13
                          ...dommage pour une ville comme Casa, elle mérite un métro souterrain !
                          And ye shall know the truth and the truth shall make you free.

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                          • #14
                            Hakim tu sais bien que c'est faux c'est une histoire qui date de l'époque de Basri. Une ville comme Paris (où la Marne rencontre la Seine) dispose d'un réseau de métro et de Rer qui passent carrément sous la Seine. Je ne parle pas des autres villes du monde qui se comptent par centaines et qui disposent d'une reseau de métro et qui se trouvent en bord de mer.

                            La Ratp et Casa transport n'ont jamais parlé de nappe phréatique lors des études du métro.
                            Dernière modification par iridium, 15 juin 2015, 18h50.

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                            • #15
                              La Ratp et Casa transport n'ont jamais parlé de nappe phréatique lors des études du métro.
                              Je ne sais pas s'ils en parlé mais à Casa le problème de la nappe est un vrai problème. Dès que vous creusez profond vous trouvez de l'eau.

                              Il n'est pas impossible de faire un métro à Casa mais il coûtera la peau des fesses. Pour le conseil municipal, l'option tram est la moins chère.

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