Par Maâmar Farah
Il y a quelques semaines, nous dénoncions ici même le comportement scandaleux de quelques douaniers voyous français qui, faisant fi des règles diplomatiques les plus élémentaires, avaient procédé à une fouille au corps de notre ministre de la Communication. Visiblement, de telles «prouesses» n'ont pas pour seul théâtre les aérogares parisiennes.
A l'aéroport d'Alger, M. Youssoufi, personnalité marquante du royaume chérifien, n'a pas été fouillé au corps. Heureusement ! Mais ce que lui ont fait subir des voyous du même acabit que les sbires d'Orly est inacceptable ! Outre le fait que cette personnalité est connue pour son soutien actif à la révolution algérienne, ne faut-il pas rappeler que M. Youssoufi a fait le voyage pour présenter à la famille du défunt Da l'Ho et au peuple algérien, ses condoléances et celles de son pays ? Voilà une manière peu courtoise de répondre à ce geste fraternel qui est allé droit au cœur de tous les Algériens...
Nous sommes plus attachés que jamais au droit inaliénable du peuple sahraoui à l'autodétermination et nous ne manquons aucune occasion pour rappeler la nécessaire application des résolutions de l'ONU consacrant ce droit, mais ces positions de principe sont une attitude essentiellement politique, nourrie aux vertus de la solidarité et aux valeurs morales de notre grande révolution. Elles ne sauraient être ternies par ces comportements de petits délinquants en manque de sensations fortes.
Et quand on ajoute ces attitudes à d'autres qui souillent le champ politique et médiatique, il y a vraiment de quoi craindre le pire. Car, plus que jamais, se pose la question centrale : «Ya-t-il un pilote dans l'avion ?»
Il y a quelques semaines, nous dénoncions ici même le comportement scandaleux de quelques douaniers voyous français qui, faisant fi des règles diplomatiques les plus élémentaires, avaient procédé à une fouille au corps de notre ministre de la Communication. Visiblement, de telles «prouesses» n'ont pas pour seul théâtre les aérogares parisiennes.
A l'aéroport d'Alger, M. Youssoufi, personnalité marquante du royaume chérifien, n'a pas été fouillé au corps. Heureusement ! Mais ce que lui ont fait subir des voyous du même acabit que les sbires d'Orly est inacceptable ! Outre le fait que cette personnalité est connue pour son soutien actif à la révolution algérienne, ne faut-il pas rappeler que M. Youssoufi a fait le voyage pour présenter à la famille du défunt Da l'Ho et au peuple algérien, ses condoléances et celles de son pays ? Voilà une manière peu courtoise de répondre à ce geste fraternel qui est allé droit au cœur de tous les Algériens...
Nous sommes plus attachés que jamais au droit inaliénable du peuple sahraoui à l'autodétermination et nous ne manquons aucune occasion pour rappeler la nécessaire application des résolutions de l'ONU consacrant ce droit, mais ces positions de principe sont une attitude essentiellement politique, nourrie aux vertus de la solidarité et aux valeurs morales de notre grande révolution. Elles ne sauraient être ternies par ces comportements de petits délinquants en manque de sensations fortes.
Et quand on ajoute ces attitudes à d'autres qui souillent le champ politique et médiatique, il y a vraiment de quoi craindre le pire. Car, plus que jamais, se pose la question centrale : «Ya-t-il un pilote dans l'avion ?»
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