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Bouteflika juge les réformes « incontournables », évoque « les fautes de gestion » sous Chadli

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  • Bouteflika juge les réformes « incontournables », évoque « les fautes de gestion » sous Chadli

    Dans un message lu en son nom et diffusé, ce samedi 20 août par l’agence officielle APS, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qualifie les réformes économiques d’ « incontournables ». Ainsi, la récente révision constitutionnelle visait notamment à adapter la législation « à l’incontournable processus de réformes économiques, susceptible d’ouvrir à l’économie nationale de nouvelles perspectives au mieux des intérêts de notre peuple que nous voulons mettre à l’abri des fluctuations des marchés pétroliers », indique le président Bouteflika.

    Les Algériens appelés à l’effort et au « combat »

    Le même message met en avant la nécessité de diversifier l’économie du pays. « (…) Nous nous devons de construire une économie diversifiée et concurrentielle qui soit capable de s’imposer face aux économies d’autres pays à l’ère de la mondialisation », ajoute le chef de l’État.

    De plus, Bouteflika semble vouloir préparer le terrain à certaines difficultés, dans un contexte économique difficile. Il appelle ainsi le peuple algérien à la solidarité et à l’effort : « Tel est le combat que vous êtes appelés à mener, Algériennes et Algériens, enfants de notre chère patrie, en mobilisant vos énergies et vos compétences, comme l’ont si bien fait vos aînés après le Congrès de la Soummam jusqu’à ce que le drapeau algérien ait été hissé haut, un certain 5 juillet 1962 », poursuit le Président de la République.

    « Des erreurs commises »

    Par ailleurs, la même lettre comporte un passage critique à l’égard de la gestion passée, notamment sur le plan économique, évoquant des « mauvais calculs » et des « fautes de gestion » : « Toutefois, la marche ambitieuse et prometteuse de l’Algérie indépendante achoppe au terrible choc pétrolier des années 80 et le pays pâtit des mauvais calculs et des fautes de gestion commises », affirme le chef de l’État.

    Cela dit, Abdelaziz Bouteflika se garde de nommer les personnages visés, tout en défendant leurs intentions initiales. Il vise directement le président Chadli Bendjedid, qui était à la tête du pays dans les années 80. En effet, ces fautes ont été « commises, pourtant, par des responsables dont le parcours militant était sans faille et les intentions bonnes et irréprochables », selon le Président de la République.

    Pour l’instant, le chef de l’État ne donne pas d’indications sur la nature et la teneur des réformes à conduire, mais cette sortie médiatique, à l’occasion de la commémoration des dates du 20 août 1955 et 1956, présage un changement sur le plan économique.



    TSA

  • #2
    il manque pas d'air il se fou de la gueule des algérien depuis 99 tout les milliards que l’Algérie a gagné grâce au pétrole qui aurai pu développer le pays notamment les 800 milliard qui ont disparu et il accuse chadli il montre au yeux du monde que votre pays est dirigé par des bras casser et des voleurs

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    • #3
      « Des erreurs commises »

      Par ailleurs, la même lettre comporte un passage critique à l’égard de la gestion passée, notamment sur le plan économique, évoquant des « mauvais calculs » et des « fautes de gestion » : « Toutefois, la marche ambitieuse et prometteuse de l’Algérie indépendante achoppe au terrible choc pétrolier des années 80 et le pays pâtit des mauvais calculs et des fautes de gestion commises », affirme le chef de l’État.

      Cela dit, Abdelaziz Bouteflika se garde de nommer les personnages visés, tout en défendant leurs intentions initiales. Il vise directement le président Chadli Bendjedid, qui était à la tête du pays dans les années 80. En effet, ces fautes ont été « commises, pourtant, par des responsables dont le parcours militant était sans faille et les intentions bonnes et irréprochables », selon le Président de la République.
      L’ancien chef de gouvernement, Sid-Ahmed Ghozali est visé par Bouteflika
      dz(0000/1111)dz

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      • #4
        il est peu probable que ce soit le président qui ait écrit ça ..en tout cas, parler de '' fautes commises sous Chadli '' est d'un culot pas possible!!!! 17 ans au pouvoir et 800 milliards de $ tombés du ciel et maintenant ça parle de '' fautes sous Chadli ''...c'est bizarre!!!

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        • #5
          Pour une fois, Boutef a raison. Chadli fut un pantin indigne d'une nation digne de ce nom.

          Notamment, il avait souillé " le prestige" souscrit à l'Algérie.

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          • #6
            Azul Rago

            Chadli fut un pantin indigne d'une nation digne de ce nom.
            Chadli avait cru bien faire en ouvrant les portes à tous les partis politique, il ne pouvait imaginer que tant d'années après l'indépendance, certains n'attendaient que cette occasion pour tenter ce qu'ils avaient raté auparavant.
            Dernière modification par zwina, 20 août 2016, 20h57.
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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            • #7
              Faut plutôt lire:


              « Des erreurs commises »


              Par ailleurs, la même lettre comporte un passage critique à l’égard de sa gestion de l'Algérie depuis 17 ans, notamment sur le plan économique, évoquant ses « mauvais calculs » et ses « fautes de gestion » : « Toutefois, la marche ambitieuse et prometteuse de l’Algérie indépendante achoppe au terrible choc pétrolier des années 80 et le pays pâtit des mauvais calculs et des fautes de gestion commises », affirme le chef de l’État.

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              • #8
                Coucou Zwina,

                Vous dites: " Chadli avait cru bien faire en ouvrant les portes à tous les partis politique, il ne pouvait imaginer que tant d'années après l'indépendance, certains n'attendaient que cette occasion pour tenter ce qu'ils avaient raté auparavant."

                Ce n'est (peut-être) pas Chadli qui avait auguré "une ouverture politique" mais l'apprenti- sorcier Mouloud Hamrouche.

                Mes respects.

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                • #9
                  « Tel est le combat que vous êtes appelés à mener, Algériennes et Algériens, enfants de notre chère patrie, en mobilisant vos énergies et vos compétences, comme l’ont si bien fait vos aînés après le Congrès de la Soummam jusqu’à ce que le drapeau algérien ait été hissé haut, un certain 5 juillet 1962 »
                  Merci à ceux qui avaient hissé le drapeau ce fameux 5 juillet
                  Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                  • #10
                    Bouteflika juge les réformes « incontournables », évoque « les fautes de gestion » sous Chadli
                    un peu de sérieux, ne relayez pas leur propagande, qu'est ce que peut juger bouteflika dans son état, il ne peut même pas juger par lui même si sa couche est sale ou pas
                    "Win yeččan tayazit' n Iflissen, iheggi-d tin-is"

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                    • #11
                      Arrêter de prendre les algériens pour des tarés - Le mec est tellement foutu qu'il ne sait même s'il est président -

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                      • #12
                        L’ancien chef de gouvernement, Sid-Ahmed Ghozali est visé par Bouteflika

                        Un lien avec les déclarations sur l'iran de ce monsieur dernièrement ??

                        D'après le magazine politico ,l'Europe commence à s'impatienter a propos du changement de régime et de la nécessité de réformer le pays et " promet " de gros investissement et une alliance stratégique à l'Algérie si elle franchi le pas

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                        • #13
                          C’était le pire de tous

                          ... l'ouverture des frontières avec le Maroc

                          et on connait la suite ...
                          tchek tchek tchek

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                          • #14
                            Bouteflika évoque « les fautes de gestion » sous Chadli
                            hahaha la bonne blague
                            a-il été mieux en matière de gestion?
                            أصبحنا أمة طاردة للعلماء مطبلة للزعماء

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                            • #15
                              au faite l, l'argument qu'on nous sortait que ça faite juste 50 ans d’indépendance et que tous est de la faute a l'occupant commence a ce faire vieux...du coup comme on cherche toujours dans le passé...on a trouvé chadli ..ya7ekmou bih yedihoum kech 20 ans
                              tu tombe je tombe car mane e mane
                              après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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