Le ministre des Affaires religieuses et des wakfs est revenu, ce samedi 17 décembre, sur l’affaire du complément alimentaire Rahmat Rabi (RHB) en dénonçant l’utilisation des noms en relations avec la religion musulmane ou avec les principes religieux pour des produits commerciaux, rapporte la Radio nationale sur son site.
« Donner ce genre de noms n’a rien à voir avec le ministère des Affaires religieuses et des wafks mais il concerne les principes de la société musulmane », pointe Mohamed Aïssa, à l’ouverture d’un colloque à Blida.
« Les imams m’ont devancé en appelant les citoyens à ne pas s’aventurer et donner les noms de Dieu ou des expressions en relation avec les principes religieux à des produits », rappelle le ministre. Pour lui, ce genre de dénomination « nuit à l’image de l’islam dans le sens où des gens commencent à s’en moquer ».
La Direction générale des pharmacies et équipements de santé a ordonné, le 10 décembre dernier, l’arrêt immédiat de la commercialisation de ce complément alimentaire. Des personnes atteintes du diabète ont été hospitalisées après avoir abandonné leur traitement à l’insuline et s’être contentées du RHB.
TSA algerie
« Donner ce genre de noms n’a rien à voir avec le ministère des Affaires religieuses et des wafks mais il concerne les principes de la société musulmane », pointe Mohamed Aïssa, à l’ouverture d’un colloque à Blida.
« Les imams m’ont devancé en appelant les citoyens à ne pas s’aventurer et donner les noms de Dieu ou des expressions en relation avec les principes religieux à des produits », rappelle le ministre. Pour lui, ce genre de dénomination « nuit à l’image de l’islam dans le sens où des gens commencent à s’en moquer ».
La Direction générale des pharmacies et équipements de santé a ordonné, le 10 décembre dernier, l’arrêt immédiat de la commercialisation de ce complément alimentaire. Des personnes atteintes du diabète ont été hospitalisées après avoir abandonné leur traitement à l’insuline et s’être contentées du RHB.
TSA algerie
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