Novembre 2008:
2016: instauration des licences d'importation, verrouillage de l'import de l'acier , le Ciment, les voitures... l'image figée etait :
Janvier 2016: El Watan rapporte: ALGÉRIE :«La reprise à 100% du complexe d’El Hadjar est un marché de dupes»
Juin 2017: les européens sentent le roussi: les stocks s’accumulent en Europe à cause des licences algériennes.
Aout 2017: El Watan rapporte: El Hadjar. Un jeune sidérurgique nommé à la tête du complexe.
Septembre 2017: Complexe sidérurgique d’El Hadjar : Remise en service du haut fourneau N°2
Octobre 2017: le ministre de l'industrie: L’Algérie pourrait devenir exportateur d’acier en 2020
4 Decembre 2017: Export toutes, go go go
Complexe sidérurgique d'El Hadjar : premières exportations vers l'Italie et l'Egypte
Le complexe sidérurgique d’El Hadjar s’inscrit désormais dans l’optique d’exporter sa production sidérurgique.
Une première opération d'exportation vers l'Egypte et l'Italie de 22.000 tonnes de divers produits dérivés de l’acier, d'une valeur de 7 millions de dollars, a été réalisée.
C'est la première opération à l'export effectuée par le complexe d'El Hadjar, depuis son rachat à Arcelor Mittal, l’opérateur indien privé établi en Algérie avant de céder l’usine qui fait travailler 4.500 ouvriers et cadres Algériens
Moralité: C'est toujours une question de volonté.
La production d’acier en Algérie demeure insuffisante La production d’acier en Algérie reste inférieure aux besoins du marché algérien qui demeure dépendant des importations. Le secrétaire de l’Union arabe du fer et de l’acier, M. Mohamed El-Aïd El-Achkar, a souligné que la production de l’Algérie en fer et en acier ne dépasse pas 1,5 million de tonnes actuellement alors que les importations se situent entre 3,5 et 4 millions de tonnes. Un chiffre qui dénote la forte dépendance de l’Algérie du marché mondial en ce produit stratégique malgré ses réserves minières exploitables de 86 millions de tonnes.
Des importations de près de 6 millions de tonnes en 2016
La production nationale a enregistré une évolution de plus de 108% en 2016 comparativement à 2010 avec un volume de l’ordre de 2,5 Mt/an en 2016 et des prévisions de 3,2 Mt/an sur l’année 2017.
Concernant les importations des produits sidérurgiques, elles ont baissé de prés d’un (1) million de tonnes en 2016.
Importations de plus de 36 milliards de dollars entre 2010 et 2016: une moyenne annuelle de 5,2 milliards dollars pour 5,8 millions de tonnes par an.
L’essentiel des importations provient des pays d’Europe (Italie, Espagne, France, Portugal, Grèce et Allemagne), de la Chine, de la Turquie et de la Russie.
La production nationale a enregistré une évolution de plus de 108% en 2016 comparativement à 2010 avec un volume de l’ordre de 2,5 Mt/an en 2016 et des prévisions de 3,2 Mt/an sur l’année 2017.
Concernant les importations des produits sidérurgiques, elles ont baissé de prés d’un (1) million de tonnes en 2016.
Importations de plus de 36 milliards de dollars entre 2010 et 2016: une moyenne annuelle de 5,2 milliards dollars pour 5,8 millions de tonnes par an.
L’essentiel des importations provient des pays d’Europe (Italie, Espagne, France, Portugal, Grèce et Allemagne), de la Chine, de la Turquie et de la Russie.
«L’échec de la gestion du complexe sidérurgique d’El Hadjar par le groupe Mittal Steel devenu Arcelor Mittal est un échec total pour la partie algérienne.» Le constat est de Rédha Amrani, consultant en économie industrielle qui parle de désastre financier.
Le retard dans la délivrance des licences d’importation par le gouvernement algérien a provoqué une conséquence collatérale inattendue. Les prix européens de fer à béton subissent en effet des pressions causées par les larges stocks présents actuellement sur les quais, où de la marchandise destinée à l’Algérie a été retardée par les problèmes autour de la délivrance des licences d’importation, rapporte le site spécialisé Platts. « Nous pouvons oublier l’Algérie » pour les prochaines années, a déclaré Angel Rey, directeur commercial de Celsa Group, un des plus grands producteurs d’acier en Europe, cité par la même source. Interrogé sur l’augmentation de la production locale au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, Angel Rey a indiqué que cela pourrait représenter un problème pour les usines d’Europe du Sud qui ont typiquement exporté vers cette région.
Le complexe sidérurgique d’El Hadjar s’inscrit désormais dans l’optique d’exporter sa production sidérurgique. Mohamed Fawzi Gaïdi rapporte dans El Watan les réactions des jeunes cadres de Sider El Hadjar : «Nous sommes très contents de cette décision qui augure d’un bon présage pour l’avenir du complexe...
Complexe sidérurgique d’El Hadjar : Remise en service du haut fourneau N°2
Après avoir pesé très lourdement sur la facture des importations algériennes depuis des décennies, la sidérurgie va-t-elle devenir un des points forts des exportations algériennes ? La production nationale dans la filière sidérurgique devrait quadrupler à 12 millions de tonnes/an à l’horizon 2020 par rapport à 2017
Complexe sidérurgique d'El Hadjar : premières exportations vers l'Italie et l'Egypte
Le complexe sidérurgique d’El Hadjar s’inscrit désormais dans l’optique d’exporter sa production sidérurgique.
Une première opération d'exportation vers l'Egypte et l'Italie de 22.000 tonnes de divers produits dérivés de l’acier, d'une valeur de 7 millions de dollars, a été réalisée.
C'est la première opération à l'export effectuée par le complexe d'El Hadjar, depuis son rachat à Arcelor Mittal, l’opérateur indien privé établi en Algérie avant de céder l’usine qui fait travailler 4.500 ouvriers et cadres Algériens
Moralité: C'est toujours une question de volonté.
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