Par Perspectives Med - Déc 28, 2018
Le syndrome de l’Atlas.
A peine le pays sort-il de la torpeur dans laquelle l’avait plongé l’assassinat des deux jeunes scandinaves, à Imlil, voilà qu’un nouveau drame se déclare, en ce vendredi, à Ifrane. Une jeune femme de 24 ans, militante de gauche, a été retrouvée morte à l’entrée de cette cité du Moyen Atlas, au niveau de l’Oued d’Ifrane. Crime crapuleux ou exécution terroriste ?
La question mérite d’être soulevée lorsqu’on sait que le corps de la défunte a été séparé de la tête, un « modus operandi » que les apprentis djihadistes privilégient. A l’image de ce qui est survenu à Imlil, pour les deux touristes scandinaves, lâchement assassinées.
L’affaire a mobilisé les services de sécurité déjà en alerte maximale à l’approche des fêtes de fin d’année et échaudé par le drame d’Imlil. Pourtant, personne n’a rien vu venir…
Il faudra attendre les résultats de l’enquête diligentée pour avoir le fin mot de cette abjecte histoire.
Le syndrome de l’Atlas.
A peine le pays sort-il de la torpeur dans laquelle l’avait plongé l’assassinat des deux jeunes scandinaves, à Imlil, voilà qu’un nouveau drame se déclare, en ce vendredi, à Ifrane. Une jeune femme de 24 ans, militante de gauche, a été retrouvée morte à l’entrée de cette cité du Moyen Atlas, au niveau de l’Oued d’Ifrane. Crime crapuleux ou exécution terroriste ?
La question mérite d’être soulevée lorsqu’on sait que le corps de la défunte a été séparé de la tête, un « modus operandi » que les apprentis djihadistes privilégient. A l’image de ce qui est survenu à Imlil, pour les deux touristes scandinaves, lâchement assassinées.
L’affaire a mobilisé les services de sécurité déjà en alerte maximale à l’approche des fêtes de fin d’année et échaudé par le drame d’Imlil. Pourtant, personne n’a rien vu venir…
Il faudra attendre les résultats de l’enquête diligentée pour avoir le fin mot de cette abjecte histoire.
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