Ferhat Ait Ali
Quand on parle de nos universités, on dirait qu'on oublie le reste du pays, la société, les moyens et la gouvernance, en voulant faire des étincelles avec des bouts de chandelle et des esprits formatés au quinquet.
Tout le monde semble oublier que les grandes universités pourvoyeuses d'élites pour leurs pays et le reste du monde, sont des entités commerciales à vocation élitiste, ou l'accès est tributaire de la faculté à les faire émerger par son génie propre dans une compétition sans merci,
De celle de financer leur existence par sa contribution financière faute de génie apte à briller au dessus du lot, et de bourses octroyées par des organismes intéressés par la suite de carrière de l'étudiant auquel elles payent les études.
Et malgré ce financement mixte plutôt conçu comme un investissement personnel ou collectif dans le maintien d'un niveau élitiste, et l'obtention de carrière brillantes pour les meilleurs, et surtout de vente de brevets, concepts et résultats de recherches aux client habituels ou potentiels.
Les budgets de recherche et de fonctionnement en aides publiques octroyés par les états, se comptent en dizaines sinon en centaines de milliards de dollars,
Nos trois milliards de dollars, consentis intégralement par les fonds publics, pour entretenir un million et quelques centaines de milliers, de bacheliers dont la plus grande partie au rabais, et quelques dizaines de milliers d'enseignants dont quelques spécimens ne font même pas des élèves dans un environnement normal,
En grande partie dans des filières sans objet, ni issue economique dans un pays vivant d'un malheureux tuyau rouillé.
Font que pour une année fiscale, chaque étudiant bénéficie toutes dépenses confondues, de 2500 dollars, dont une bonne partie en salaires des enseignants et personnel commun, en maintenance des bâtiments et équipements et en charges communes dont les bourses, le transport et la nourriture avec quelques détournements à la clé.
Vous n'avez aucune chance de déboucher sur une université performante avec un tel système de financement, une telle vision du marché du travail, et une telle société, et surtout des bacheliers avec une moyenne de 10, qui frise le primaire des années 70.
Et quand un étudiant après 10 ans de prise en charge approximative, entre lycée et tronc commun, a un arabe presque dialectal comme viatique, et un français cocasse, si la solution était dans l'anglais cela se saurait.
l'inculture ayant ce privilège que n'a pas la culture, d’être uniforme dans toutes les langues, les meilleurs peuvent émerger dans n'importe quelle langue, et les derniers peuvent changer de selles importées, ils ne seront jamais de chevaux de course, mais des mulets de trait, pour des gouvernants alliant la mauvaise foi à la connerie quasi génétique.
L’Égypte est anglophone, aux universités, je ne mes souviens pas avoir vu un brevet digne d’être utilisé à quoi que ce soit en Egypte, idem pour tous les sinistrés de la cervelle qui utilisent cette langue.
Pour le français, c'est une langue vivante comme une autre, qui ne fera pas plus avancer des baudets que l'anglais ou toute autre langue, mais dire qu'elle n'est pas la langue des sciences est digne d'un âne doublé d'un charlatan,
La sécurité des centrales nucléaires françaises étant supérieure à celle des américaines, et leur quasi autonomie en toutes sortes d'industrie de pointe, ne sont pas le produit d'un apprentissage chez les anglais.
Idem,pour les italiens, les espagnols, les russes et les autres nations, dont le gros de la population ne parle que les langues locales ou la langue locale quand il n y qu'une seule.
Etant ouvert à toutes les langues, pour moi, les lubies d'une bande de cloportes incrustés dans des postes ou personne ne les a mandatés à part leurs protecteurs éphémères, ne sont pas pour me gêner,
Dans la mesure ou je sais que la bombe à retardement n'est pas ce qu'ils prétendent, ni même leur connerie portée en bandoulière, mais dans le caractère aléatoire de tout un système construit sur du vent, par des marchands de vent, et accepté moyennant gratuité par des brasseurs de vent,.
Et avec autant de vent soufflant dans tous les sens, le présage de tempêtes ravageuses à venir, n'est pas une vue de l'esprit, mais aussi sur que 2 et 2 font 4 dans toutes les langues comprises sur terre.
Quand on parle de nos universités, on dirait qu'on oublie le reste du pays, la société, les moyens et la gouvernance, en voulant faire des étincelles avec des bouts de chandelle et des esprits formatés au quinquet.
Tout le monde semble oublier que les grandes universités pourvoyeuses d'élites pour leurs pays et le reste du monde, sont des entités commerciales à vocation élitiste, ou l'accès est tributaire de la faculté à les faire émerger par son génie propre dans une compétition sans merci,
De celle de financer leur existence par sa contribution financière faute de génie apte à briller au dessus du lot, et de bourses octroyées par des organismes intéressés par la suite de carrière de l'étudiant auquel elles payent les études.
Et malgré ce financement mixte plutôt conçu comme un investissement personnel ou collectif dans le maintien d'un niveau élitiste, et l'obtention de carrière brillantes pour les meilleurs, et surtout de vente de brevets, concepts et résultats de recherches aux client habituels ou potentiels.
Les budgets de recherche et de fonctionnement en aides publiques octroyés par les états, se comptent en dizaines sinon en centaines de milliards de dollars,
Nos trois milliards de dollars, consentis intégralement par les fonds publics, pour entretenir un million et quelques centaines de milliers, de bacheliers dont la plus grande partie au rabais, et quelques dizaines de milliers d'enseignants dont quelques spécimens ne font même pas des élèves dans un environnement normal,
En grande partie dans des filières sans objet, ni issue economique dans un pays vivant d'un malheureux tuyau rouillé.
Font que pour une année fiscale, chaque étudiant bénéficie toutes dépenses confondues, de 2500 dollars, dont une bonne partie en salaires des enseignants et personnel commun, en maintenance des bâtiments et équipements et en charges communes dont les bourses, le transport et la nourriture avec quelques détournements à la clé.
Vous n'avez aucune chance de déboucher sur une université performante avec un tel système de financement, une telle vision du marché du travail, et une telle société, et surtout des bacheliers avec une moyenne de 10, qui frise le primaire des années 70.
Et quand un étudiant après 10 ans de prise en charge approximative, entre lycée et tronc commun, a un arabe presque dialectal comme viatique, et un français cocasse, si la solution était dans l'anglais cela se saurait.
l'inculture ayant ce privilège que n'a pas la culture, d’être uniforme dans toutes les langues, les meilleurs peuvent émerger dans n'importe quelle langue, et les derniers peuvent changer de selles importées, ils ne seront jamais de chevaux de course, mais des mulets de trait, pour des gouvernants alliant la mauvaise foi à la connerie quasi génétique.
L’Égypte est anglophone, aux universités, je ne mes souviens pas avoir vu un brevet digne d’être utilisé à quoi que ce soit en Egypte, idem pour tous les sinistrés de la cervelle qui utilisent cette langue.
Pour le français, c'est une langue vivante comme une autre, qui ne fera pas plus avancer des baudets que l'anglais ou toute autre langue, mais dire qu'elle n'est pas la langue des sciences est digne d'un âne doublé d'un charlatan,
La sécurité des centrales nucléaires françaises étant supérieure à celle des américaines, et leur quasi autonomie en toutes sortes d'industrie de pointe, ne sont pas le produit d'un apprentissage chez les anglais.
Idem,pour les italiens, les espagnols, les russes et les autres nations, dont le gros de la population ne parle que les langues locales ou la langue locale quand il n y qu'une seule.
Etant ouvert à toutes les langues, pour moi, les lubies d'une bande de cloportes incrustés dans des postes ou personne ne les a mandatés à part leurs protecteurs éphémères, ne sont pas pour me gêner,
Dans la mesure ou je sais que la bombe à retardement n'est pas ce qu'ils prétendent, ni même leur connerie portée en bandoulière, mais dans le caractère aléatoire de tout un système construit sur du vent, par des marchands de vent, et accepté moyennant gratuité par des brasseurs de vent,.
Et avec autant de vent soufflant dans tous les sens, le présage de tempêtes ravageuses à venir, n'est pas une vue de l'esprit, mais aussi sur que 2 et 2 font 4 dans toutes les langues comprises sur terre.
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