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Abed Charef !
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Aucune défaite ...
Le Maroc a normalisé avec ceux qui ont encouru la colère de dieu, l'Algérie normalise avec ses enfants démons.
Gaid a réconcilié l'ANP avec le peuple et est parti rejoindre l'éternel, Chengriha fait de même avec des gens bourrés d'expériences ...
Pour la qualité des hommes, le meilleur commissaire investigateur s'appelait ''Salah Vespa'', c’était un truand.وإن هذه أمتكم أمة واحدة
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Une mosquée si bâtie 3la taqwa sinon bloc de béton comme les autres
Les écoles coraniques oui mais fais attention il y a énormément d’agressions sexuelles cachées , tu as ta part de responsabilité
Utiliser l’argent de l’état pour s’attribuer la construction des écoles, fitna
La liste est longue
Je te souhaite d’être loin de tout cela bien que tes positions politiques et ton opinion des amazigh et opposants laisse penser que tu es un opportuniste qui profite de l’argent du système pour se présenter en constructeur d’école et autres aux yeux des gens : argent de l’état + religion = khid3atayni potentiellementVotre ennemi c'est celui que vous n'avez pas encore invité à déjeuner Edgar Faure
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Aucune défaite ...
Le Maroc a normalisé avec ceux qui ont encouru la colère de dieu, l'Algérie normalise avec ses enfants démons.
Gaid a réconcilié l'ANP avec le peuple et est parti rejoindre l'éternel, Chengriha fait de même avec des gens bourrés d'expériences ...
Pour la qualité des hommes, le meilleur commissaire investigateur s'appelait ''Salah Vespa'', c’était un truand.
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Gaid a réconcilié l'ANP avec le peuple et est parti rejoindre l'éternel, Chengriha fait de même avec des gens bourrés d'expériences ...
»» Quelques extraits de la "Sale guerre" de Habib Souaïdia :
L'été 1993 s'annonçait très chaud. Mais il ne s'agissait pas des conditions climatiques. Le général Medjahed et le colonel Chengriha nous avaient donné l'ordre d'incendier, avec de l'essence, plusieurs montagnes près de Lakhdaria et en KabylieMorts pour rien
Un soir du mois de juin 1994, mon supérieur, le colonel Chengriha, voulait effectuer une patrouille dans les rues de Lakhdaria : il lui arrivait de vouloir sortir juste pour se balader. Il m'avait demandé de l'accompagner avec ma section. Nombreux sont les officiers supérieurs qui ne prenaient aucun risque. Il était l'un d'eux. Eux étaient payés pour donner des ordres, nous, nous étions sous-payés pour mourir. Nous avions pris cinq Toyota et nous faisions une ronde depuis une demi-heure quand un homme a surgi dans l'obscurité. Il quittait son domicile à minuit, après l'heure du couvre-feu. Le menaçant avec ma Kalachnikov, je lui ai ordonné de mettre les mains en l'air.
« Où vas-tu ?
— Je cherche des allumettes ! » me répondit-il avec nonchalance.
Le colonel Chengriha est sorti de sa Toyota pour voir ce qui se passait. Il m'a ordonné d'allerperquisitionner dans la maison. Avec cinq hommes, j'ai fait irruption dans le domicile du suspect. Soudain, un coup de feu a éclaté à l'extérieur. Je suis sorti en courant. L'homme gisait dans une mare de sang.
Le colonel venait de lui tirer une balle dans la tête.« Habtouh lel-oued ! »
Il s'est ensuite passé ce qui se passait systématiquement avec les personnes arrêtées. À chaque fois, les hommes du DRS basés chez nous demandaient des instructions au général Medjahed ou à son chef d'état-major, le colonel Chengriha. En général, l'ordre était toujours le même : « Habtouuh lel-oued ! », c'est-à-dire « Fais-les descendre à l'oued ». Ce qui voulait dire : « Liquide-les » (pas nécessairement au bord de l'oued, ce pouvait être n'importe où). Je précise que nos chefs utilisaient également d'autres formules à peine codées pour ordonner de torturer les prisonniers afin d'obtenir des renseignements « Traitez-les sur place », « Faites l'exploitation sur place » ou « Exploitez-les »… (ce n'est qu'ensuite qu'ils étaient exécutés).Les personnes dont les noms suivent ont été assassinées en mai et juin 1994 par les militaires de Lakhdaria, sur ordre des généraux avec l'accord du colonel Chengriha, alors commandant du SOB. II s'agit des frères Braiti, des frères Bairi, de Farid Kadi, Fateh Azraoui, Abdelwaheb Boudjemaa, Mohamed Messaoudi, Mohamed Moutadjer, Djamel Mekhazni et des frères Boussoufa.
Ces derniers, je les connaissais personnellement. L'aîné était un paisible père de famille et travaillait dans une usine de peinture, la SNIC, et l'autre était artiste peintre. Les officiers du CMI affirmaient qu'ils avaient des liens avec les terroristes. Mais ils étaient tout sauf des terroristes, j'en suis convaincu ; ils ne faisaient même pas de politique. Les frères Boussoufa ont été tués dans des conditions effroyables.Dernière modification par shadok, 03 janvier 2021, 17h44.Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien
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Plutôt terrible défaite des défenseurs de Gaid Salah dont Abed Charef fait partieLa guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.
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Le HIRAK etape 1
Le Hirak n'est qu'a ses debuts, le but n'est pas de mettre a feu et a sang l'algerie mais de deraciner une caste et mettre en place un etat de droit et en une année malgre le covid le compte est bon, et jamais quelqu'un d'autre ne s'amusera à nous imposer un "bokassa".
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