laissez tomber le vélo, mais prenez les transports en commun: les fameux bus tata!
Annonce
Réduire
Aucune annonce.
Alger otage des embouteillages !
Réduire
X
-
Le développement de la population d’un pays et son urbanisme se gère. Chez nous trop de laisser aller pendant des décennies maintenant les rafistolages n’arrogent pas grandes choses. Des régions de l’intérieur du pays souffrent de chômage ce qui oblige les gens à se rabattre sur Alger. Une ville qui comptait 700.000 personnes à la veille de l’indépendance se retrouve avec 3 millions d’âmes sans que les infrastructures aient suivi cette évolution démographique. Rajoutez à cela l'anarchie de l'auto-construction.
Bref, les problèmes que connaît Alger en ce moment sont la résultante de l’incompétence et du laxisme des dirigeants qui se sont succédé pendant plusieurs décennies. Boumediene avait commencé à réfléchir sérieusement à un plan d’urbanisme pour la capitale (Plan Comedor) mais ce plan a été enterré avec lui. Le Comedor était composé des meilleurs architectes mondiaux de l'époque mais il a été dissous par l’ignare de Chadli.
Maintenant, il faut penser à une nouvelle capitale moderne mais rien n’est fait dans ce sens. Six milliards de dollars vont être déboursé pour la nouvelle ville de Hassi Messaoud, 3 milliards de dollars pour la nouvelle mosquée d'Alger !! Voilà pourquoi, je blâme Bouteflika.Dernière modification par shadok, 27 octobre 2008, 17h35.Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien
Commentaire
-
@noubat
Ca ne va pas régler les problèmes de circulation à la capitale. Le tracé du métro et du tramway sont limités. Pour les axes routiers, il faut démolir des quartiers entiers et penser à de grands boulevards. Rien n’a été fait de sérieux depuis l’indépendance maintenant ce n’est avec une baguette magique que les problèmes vont être réglé.Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien
Commentaire
-
Le barrage routier asphyxie Réghaïa
Que vous soyez dans un transport en commun ou à bord de votre véhicule sur la RN5, le calvaire vous attend à Réghaïa.
Mohamed travaille dans une boîte privée à Alger-Centre et est obligé de faire quotidiennement la navette de Tizi Ouzou où il réside. La route, ça lui connaît en avalant des milliers de kilomètres par mois à bord de sa Mégane.
Son enfer, en dehors des chauffards qu’il n’arrête pas de traiter de tous les noms d’oiseaux, c’est le barrage routier situé à quelques encablures en parallèle de la ville de Réghaïa. “Un vrai poison”, dit-il. Considéré actuellement comme l’un des plus gros points noirs de la capitale, il crée des bouchons sur plusieurs kilomètres, immobilisant véhicules et pénalisant des milliers de travailleurs, étudiants et autres citoyens devant se rendre dans la mégapole pour différentes raisons. Pour ce qui est de la cause de ces fâcheux désagréments, le doit est pointé en direction du barrage dressé par les corps de sécurité depuis la recrudescence des attentats terroristes ayant ciblé tout particulièrement la capitale en 2007.
Si la raison sécuritaire reste après tout de l’appréciation des services compétents de l’État, on ne peut, en qualité de citoyen, s’empêcher de s’interroger sur l’opportunité de ce barrage, sachant que depuis son implantation sur les lieux, il ne fait que compliquer la vie aux usagers qui ne savent pas à quel saint se vouer pour renouer avec le plaisir de traverser cette localité sans avoir à frémir à la moindre évocation de son nom. Mohamed et les milliers d’automobilistes comme lui vivent le cauchemar au quotidien et se demandent même si les kamikazes du GSPC représentant El-Qaïda au Maghreb ne connaissent pas d’autres routes ou voies pour se rendre à la capitale pendant que des malades risquent de rater leur rendez-vous dans les établissements hospitalo-universitaires.
Dernièrement, un confrère avait rapporté le récit de ce malade qui a eu toutes les peines du monde à joindre l’hôpital Mustapha, car le véhicule qui le transportait en urgence était resté bloqué pendant plus d’une heure et demie. Les cas d’espèce sont fréquents.
Devant toutes ces tracasseries, les usagers de la RN5, notamment ceux passant par Réghaïa, espèrent une solution des autorités dans le sens d’une révision du plan de circulation ou, à défaut, penser à remplacer le dit barrage par une équipe motorisée mobile aux fins d’identifier les véhicules suspects.
Liberté."Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
Socrate.
Commentaire
-
Le barrage de gendarmerie qui se trouve sur l'autoroute vers Alger au niveau de Réghaia est un calvair. La route rétrécit en entonnoir, ce qui crée un bouchon monstre, et le plus révoltant c'est quand vous trouvez les hommes en vert complètement décontractés, n'effectuant aucun contrôle; l'un parle au téléphone, l'autre pianote sur son portable, un troisième fume une cigarette..."Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
Socrate.
Commentaire
-
mirakira
entierement d'accord avec toi sur la question des credits !!!! mais pourquoi les gens optent pour ce mode de transport en l'occurence la voiture??? eh ben tout simplement parceque le transport en commun est insuffisant ,quasi nul sur tout le territoire national (alger ou les autres villes)PARLER EST UN BESOIN,ECOUTER EST UN ART.
Commentaire
-
entierement d'accord avec toi sur la question des credits !!!! mais pourquoi les gens optent pour ce mode de transport en l'occurence la voiture??? eh ben tout simplement parceque le transport en commun est insuffisant ,quasi nul sur tout le territoire national (alger ou les autres villes)
Commentaire
-
mais pourquoi les gens optent pour ce mode de transport en l'occurence la voiture??? eh ben tout simplement parceque le transport en commun est insuffisant ,quasi nul sur tout le territoire national (alger ou les autres villes
En Algérie avoir une voiture, c'est un signe de réussite sociale.
peu importe si vous habiter un bidon ville, du moment que la ''caroussa" est garée devant.Mr NOUBAT
Commentaire
Commentaire