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  • #91
    Laari

    Ils ont donné le baton pour se faire taper sur la tête. Comment expliquer qu'Ali Belhadj qui n'a jamais signé la réconciliation nationale puisse avoir bénéficier de cette loi et soit sorti de prison ? Ali Belhadj et d'autres islamistes ont aussi silloné les pays étrangers (plus vers l'orient) et ont reçu l'appui d'hommes tel Qardaoui. Comment ne pas s'interroger sur les déclarations qu'ils ont pu faire sur l'implication des services de sécurité dans des disparitions ou des massacres quant on voit qu'Ali Belhadj est bel et bien libre et s'exprime sans que le pouvoir algérien ne puisse rien y faire. Kertali ou Mezrag ne dissimulent même pas les actes criminels qu'ils ont pu commettre et il y a des phrases qui en disent long sur les vrais raisons de leur amnistie. Concernant les intellectuels, les journalistes et tous les opposants, les islamistes ou le pouvoir avaient le même interêt dans leur disparition car leurs écrits étaient loin de leur être favorable. Pour l'affaire Mecili, il est certain en tout cas que les islamistes ne sont pas concernés par ce meurtre et que l'implication des services de sécurité est irréfutable. Loin de moi l'envie de disculper les islamistes qui sont responsables de la mort de centaines d'algériennes qui se sont élevées contre leurs discours venu d'un autre monde. Diifficile de nier leur implication dans le meurtre de jeunes innocents à Alger car il existe des centaines de témoins et que les meurtriers étaient les voisins des victimes. Un jour peut être un procès en Algérie viendra faire la lumière sur tous ces massacres mais je suis prête à parier que nous aurons des surprises qui en laisseront plus d'un stupéfait. Il est temps que Zerhouni sache que le temps du MALG est révolu et ses méthodes avec.
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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    • #92
      zwina: Concernant les intellectuels, les journalistes et tous les opposants, les islamistes ou le pouvoir avaient le même interêt dans leur disparition

      tu as raison, mais le pouvoir gagne plus car il se débarrasse de ses ennemis intello en plus il colle le crime aux tangos : une pierre deux coups ...

      quant à la pseudo réconciliation, comment pardonner à quelqu'un s'il n'a pas reconnu sa faute et n'a pas demandé pardon ?

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      • #93
        Comment expliquer qu'Ali Belhadj qui n'a jamais signé la réconciliation nationale puisse avoir bénéficier de cette loi et soit sorti de prison ?
        Franchement, tu racontes n'importe quoi, Zwina ?
        Comment ne pas s'interroger sur les déclarations qu'ils ont pu faire sur l'implication des services de sécurité dans des disparitions ou des massacres
        Les "quituequistes" ont la peau dure !

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        • #94
          ont reçu l'appui d'hommes tel Qardaoui
          Zwina
          J'apprécie tes interventions, j'admire ton franc parler, mais quand tu donnes dans la fabulation, ça m'irrite...de plus ça ne te réussit pas ! Ce n'est pas bon pour une fille de ta trempe !
          Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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          • #95
            Je tire chapeau à ce député de l'assemblée algérienne qui s'est demandé si Ait Ahmed etait algérien.
            J'ai raté cet épisode Mdr ! Un député a osé dire cela ?
            Ait Ahmed a prouvé plus que tous les députés son algérianité. Quand à ce pauvre député, qu'a-il apporté à l'Algérie ? Quelqu'un dont le seul combat a été celui mené pour l'augmentation du salaire des députés, doit se taire et se faire tout petit devant des hommes comme Ait Ahmed.
            Dernière modification par ETTARGUI, 29 octobre 2008, 20h53.
            Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

            Commentaire


            • #96
              Ettargui et Jawzia

              Citation: jawzia
              Comment expliquer qu'Ali Belhadj qui n'a jamais signé la réconciliation nationale puisse avoir bénéficier de cette loi et soit sorti de prison ?

              Franchement, tu racontes n'importe quoi, Zwina ?
              Prouve donc le contraire, moi je t'affirme qu'Ali Belhadj n'a jamais signé la charte de la réconciliation nationale et qu'il est libre.


              Devine un peu de qui est signé cette lettre (ou du moins une partie) :

              Les sages et les observateurs équitables, qui suivent la situation algérienne depuis le coup d'État mené contre le choix du peuple en 1992, et cela avant l'apparition d'Al Qaïda, devenue le portemanteaux sur lequel on accroche les raisons des échecs (5), savent que le système politique d'Algérie qui a perdu sa légitimité devient, avec le temps, source de danger pour toutes les catégories du peuple algérien. S'il n'est pas remplacé, par des moyens pacifiques, après l'ouverture de l'espace politique à tous les partis, cela conduira tôt ou tard le pays à une catastrophe. Les victimes tomberont par dizaines y compris parmi les simples citoyens embauchés dans les secteurs sécuritaires. Ils sont devenus les victimes de ce régime répressif et croupissant, qui continue de se boucher les oreilles refusant tout conseil ou mise en garde même s'ils émanent d'intellectuels réputés, d'hommes de science (religieux et scientifiques), d'hommes politiques, de journalistes ou d'experts.

              Les derniers évènements montrent bien l'échec cuisant de la loi de concorde civile et de la prétendue réconciliation, car elle est bâtie sur des propositions malhonnêtes, incomplètes et trompeuses. Cette courte vue mènera certainement à une crise grave et des dizaines de citoyens en seront les victimes y compris la jeunesse en colère et révoltée qui se fait exploser devant les institutions et symboles de l'État. Nous demandons à Allah qu'Il accorde sa miséricorde et son pardon à tous.
              Ettargui :
              Zwina
              J'apprécie tes interventions, j'admire ton franc parler, mais quand tu donnes dans la fabulation, ça m'irrite...de plus ça ne te réussit pas ! Ce n'est pas bon pour une fille de ta trempe !

              Non seulement Qardaoui a soutenu les chefs du FIS mais en plus fait parti de ces professeurs venues d'Egypte qui ont propagé le venin en Algérie. Comment n'auraient ils pas soutenu ceux qu'il a formé lorsqu'il était professeur à l'université d'Alger ? Cet homme se disant savant et étalant dans les médias la richesse de ses appartements et maisons qu'il possède en Egype et au Qatar où il a reçu et hébergé Madani ou Belhadj et bien d'autres supposés "terroristes" pratique un double langage : du côté des islamistes mais un vieil ami fidèle de Bouteflika qui chaque fois qu'il le siffle débarque en Algérie pour contredire les cours qu'il a dispensé à Alger où il fustigeait les gouvernants mécréants. Il existe des dizaines d'anciens étudiants d'Alger qui pourront te confirmer que Qardaoui faisait parti de ces fameux professseur appelés à la rescousse de l'arabisation et qu'il a proné la doctrine salafiste. Il a bien changé ce professeur au large sourire mais ceux d'Alger qui ont de la mémoire ne l'ont pas oublié.

              Ainsi, l’on retrouve dans ce lot l’Egypte, la Tunisie, le Soudan mais aussi l’Algérie. Ainsi donc, Al-Qaradaoui, très connu par les Algériens pour avoir déjà séjourné dans notre pays en tant qu’enseignant dans l’université islamique de l’Emir Abdelkader, confirme l’existence d’un activisme chiite en Algérie.
              Et c'est encore lui qui vient semer la discorde en parlant d'u activisme chiite en Algérie. C'est l'emir Abdelkader qui a du se retourner dans sa tombe, lui qui était soufiste, de voir un salafiste enseigner dans une université qui portait son nom. Cela est peut être aussi de la fabulation ? Non simplement l'un des savants de la discorde dont parle le Coran qui vogue au gré de ses interêts.



              Le théologien qatari d’origine égyptienne, Youssef Al-Qardaoui , surnommé par certains médias arabes «l’imam cathodique», n’a pas son pareil pour exalter les sentiments et la foi des millions de téléspectateurs qui regardent et suivent pieusement son émission.

              Celui qui, dans les années 1990, avait qualifié les islamistes armés de chez nous de «valeureux enfants qui défendent leur religion», est coutumier des controverses que soulèvent certains de ses propos sur la chaîne Al-Jazeera. En avril dernier, sa fetwa qualifiant de «licite» la consommation de boissons faiblement alcoolisées a été l’occasion d’un débat (non tranché d’ailleurs) entre ceux qui ont applaudi sa «fetwa» et ceux qui l’ont désapprouvée.

              du 19 septembre 2007
              L'info. au quotidien > Actualite
              El Watan

              Terrorisme Les volte-face d'Al Qaradaoui
              Après plus d’une décennie de crimes et de dévastation commis au nom de la religion, Youcef Al Qaradaoui, président de l’Association mondiale des ouléma musulmans, installé au Qatar, découvre le terrorisme et réagit avec une virulence des plus extrêmes contre les attentats suicide en Algérie.
              Sa dernière déclaration diffusée intégralement par l’Unique, lundi, lors du journal télévisé, qualifie les groupes islamistes armés de khawaridj (ceux qui sont opposés à la désignation de Ali Ibn Talib en tant que calife). Mieux, Al Qaradaoui découvre depuis les attentats du 11 septembre 2001 les versets coraniques et les hadiths qui prouvent que l’Islam interdit formellement les tueries. Lui qui avait cautionné le terrorisme en Algérie, présenté comme étant une guerre entre « les musulmans et les laïcs ». Interpellé à plusieurs reprises par la situation, il appelait à chaque fois au dialogue avec les groupes islamistes qu’il qualifiait de « valeureux enfants qui défendent leur religion ». En tant que référence salafiste au même titre que les Saoudiens Ibn Outhaïmine et le défunt Ibn Al Baz, il a de tout temps indirectement encouragé les actes criminels commis au nom de la religion, jusqu’à ce que ces mêmes « enfants valeureux qui défendent l’Islam » se retournent contre les Etats-Unis d’Amérique qui les ont financés pour combattre les Russes en Afghanistan et contre l’Arabie Saoudite qui les a endoctrinés pour les transformer en « djihadistes ». Les attentats du 11 septembre 2001 contre l’Amérique ont marqué la fin de cette alliance et obligé de nombreux ouléma de l’association mondiale à se démarquer des groupes « djihadistes ». Si certains d’entre eux comme Al Outhaïmine et Al Qaradaoui ont révisé plus ou moins leurs positions par rapport à la salafiya dite djihadiya, Ibn Al Baz est resté attaché à cette doctrine jusqu’aux derniers moments de sa vie. C’est sur son lit de mort que des responsables algériens lui ont arraché une déclaration filmée, dénonçant le recours au terrorisme en Algérie, vers la fin des années 1990. Al Qaradaoui, âgé de 81 ans, membre de la confrérie des Frères musulmans égyptiens, admirateur de Hassan Al Banna et d’Ibn Taymiya, a connu l’Algérie des années 1980, lorsqu’il enseignait à l’université de Constantine où il a côtoyé les premiers noyaux islamistes qui activaient clandestinement dans ce lieu de culte. Ses dernières déclarations sur la situation en Algérie, même si elles viennent en retard, laissent quand même un sentiment de suspicion dans la mesure où tout en qualifiant les groupes islamistes armés de khawaridj, qui n’ont aucune référence islamique, il les a mis dos à dos avec les laïcs, comme si les « laïcs » commettent des attentats suicide ou recourent au terrorisme. Il est vrai qu’Al Qaradaoui n’a fait que reprendre les propos du président de la République, lui-même convaincu que les « laïcs » sont dans les rangs du GSPC. Mieux, Al Qaradaoui appelle « les égarés à revenir à la raison, à se repentir et à se conformer à la religion », alors que dans la littérature intégriste diffusée sur le site web du GSPC, il est fait souvent référence à ses fatwas et interventions durant les années 1990 pour expliquer le recours aux attentats suicide, aux assassinats et autres actes terroristes. L’intérêt porté par cet ancien imam à la situation en Algérie est, faut-il le rappeler, la résultante des relations assez particulières qu’entretient le président de la République avec l’émir du Qatar, cheikh Ben Mohamed Al Khalifa. Ce dernier a envoyé un avion privé jusqu’en Egypte où Al Qaradaoui a fait une escale de quatre jours après son départ d’Alger (le 4 septembre) pour le ramener à Doha, capitale qatarie, le 8 septembre. Al Qaradaoui a eu un malaise à Alger et a été transféré à l’hôpital militaire de Aïn Naâdja où il a été soigné et a reçu même la visite de Bouteflika. Peut-on dire que sa relation avec ce dernier a fait basculer plus ou moins sa position par rapport à l’islamisme armé ?
              Dernière modification par zwina, 30 octobre 2008, 00h19.
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