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Les patriotes abandonnés

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  • Les patriotes abandonnés

    Que vont devenir les patriotes ? Quel sera leurs sorts ? C'est quand même étonnant que l'Etat les abandonne totalement et les lâche. Je me souviens d'il y a au moins un an les patriotes avaient été obligés de rendre leurs armes. Le problème était que les terroristes eux n'avaient pas cette obligation et au hasard des jours, un patriote se faisait égorger et n'avait droit qu'a un petit entrefilet dans les rubriques en guise d'hommage posthume. Bien sur tous les patriotes ne se sont pas comportés en patriotes c'est comme partout mais pour autant pour la majorité n'ont 'ils pas été présent pour protéger les citoyens et cela parfois avec des équipements rudimentaires et au péril de leurs vies . C'est bizarre la réconciliation nationale est soit disant là mais dois t’on pour autant cacher tout ceux qui peuvent rappeler cette décennie noire.
    N'est il pas terrible et injuste de constater que des repentis vivent dans le meme lieu dans l'opulence alors qu'eux sont dans un tel dénuement et qu'en plus “Nous avons ordre de ne pas approcher les repentis ou leurs familles et surtout de ménager leur susceptibilité
    C'est le monde à l'envers et alors , il ne faut surtout pas chercher de morale à l'histoire car l'histoire est bien trop sinistre.

    ======

    Sahraoui Mohamed a 54 ans. Patriote pendant onze ans, il vient de restituer son arme. Auparavant, il travaillait chez Sogedia, une entreprise de savonnerie, implantée à proximité du port. Sa famille et lui occupaient un logement à Gallieni, sur les hauteurs d’Alger. “J’habitais tout près de l’ambassade de Grande-Bretagne”, fait-il observer, nostalgique de cette vie quiète et confortable où les fins de mois difficiles constituaient son unique souci. Aujourd’hui qu’il a tout perdu, Mohamed se morfond dans un quotidien long et sans espoir. Sa progéniture ayant grandi dans le dénuement, il sombre, résigné à son sort. “Je n’ai même pas de quoi acheter des chaussures ou des fournitures scolaires aux plus jeunes”, se plaint-il.

    D’ouvrier digne, il s’est transformé en mendiant, quêtant la charité de l’État. Dans sa main, il tient deux demandes manuscrites de l’allocation scolaire. “Même les jeunes ne trouvent pas de travail. Qui voudra m’employer à 54 ans ?” glose le père de famille comme pour faire pardonner son indigence. Emporté par sa fougue nationaliste, il avait quitté Sogedia en janvier 1996, sans assurer ses arrières. Crédule, Mohamed croyait pouvoir y retourner une fois son devoir accompli. La guerre finie, il apprendra que Sogedia a été dissoute. C’est devenu une habitude pour lui de partir les bras ballants, sans gratification ni reconnaissance. Une décennie après avoir combattu les terroristes dans la Mitidja, il apprend que son nom est rayé de la liste des Patriotes. Le prétexte à son renvoi est cette fâcheuse bronchite qu’il a contractée en juillet dernier au maquis de Sidi-Sarhane à Chréa. Très malade, Mohamed est rentré chez lui sans penser un instant qu’il encourait une sanction aussi grave. “En allant récupérer mon solde, on m’a dit que mon nom n’est plus porté sur la liste”, relate-t-il. Ses plaintes auprès du coordinateur du sous-secteur militaire de Bougara ne lui seront d’aucun secours. Une semaine plus tard, il lui est demandé expressément de restituer son arme. Qu’allait-il devenir ? Si les 11 000 DA qu’il touchait en guise de prime mensuelle étaient loin d’être un luxe, ils lui permettaient au moins d’acheter du pain pour ses enfants. Et maintenant ? Depuis que l’armée s’est séparée de lui, Mohamed erre. Il tue le temps auprès de ses anciens compagnons d’armes à Haouch Omar. Cet ancien domaine viticole situé à quelques kilomètres du centre de Boufarik abrite des familles de Patriotes. Dix en sont morts durant les années de feu. Au milieu des maisons est érigé le gîte de ces hommes ayant bravé la mort en espadrilles. “Firkat El Wataniin” (groupe de Patriotes) est-il écrit sur les murs en parpaings du poste. Sur les habitations voisines, des guérites sont élevées. Ce qui donne à l’ensemble l’aspect d’une forteresse.

    Au début des années 1990, des paysans résidaient dans le Haouch. La menace terroriste les avait délogés. “C’était une zone libérée”, plaisante Mohamed Louzri. Chef Patriote, il se souvient de cette bataille âpre livrée à une horde du GIA dans la ferme. Après avoir planté le drapeau de la République sur le toit d’une des maisons, les vaillants défenseurs y sont restés. Certains s’y sont installés avec femmes et enfants comme Djamel. Toujours en activité, ce père de famille ayant perdu deux frères, l’un égorgé dans un faux barrage et l’autre tué par une bombe, craint de se retrouver aujourd’hui à la rue. Une plainte déposée par l’ex-chef de daïra de Bouinan a abouti à une décision d’expulsion visant trois ménages. Pour qu’ils soient poussés à partir, les locataires endurent le pire. Mohamed Bendjabou n’a plus d’électricité dans son domicile. Il y a trois mois, il était désarmé. Le motif selon lui était “ de faire de la politique” . “J’ai même eu la chance d’obtenir le droit d’asile mais j’ai refusé de quitter mon pays”, note le Patriote. Tout aussi misérable que ses camarades, il se lamente du sort incertain de ses enfants. “Mon garçon vient d’être exclu du collège alors qu’il est toujours en âge d’être scolarisé”, confie-t-il. Sa jeunesse consumée dans les maquis de Sidi-Sarhane, Aissaouiya et Maasouma, il ne sait que faire de ses deux mains lesquelles, pendant longtemps, ont porté le fusil. “Certains Patriotes ont quitté les orangeraies pour la montagne”, assène M. Louzri. Ayant eu la chance inouïe de réintégrer son poste à Air Algérie, il n’oublie pas ses compagnons. “Sans son intervention, l’école avait failli être détournée”, informe Djamel reconnaissant. L’établissement construit à l’entrée de Haouch Omar est l’unique consolation des habitants. “Nous sommes oubliés”, dénoncent-ils unanimes.

    La suite à lire :“Nous n’avons même pas de quoi acheter du pain”


    “Nous avons ordre de ne pas provoquer des repentis”

    À raison d’une solde de 11 000 DA par mois attribuée trimestriellement, les Patriotes de Boufarik, Chlef et autres localités déshéritées ont du mal à joindre les deux bouts. In contrario, des repentis connus et reconnus dans la région affichent une opulence qui frise l’indécence. “Nous n’avons pas de quoi nous payer un ticket de bus. Ils roulent dans des voitures neuves et chères”, rapportent les combattants de Boufarik. Mohamed Louzri raconte une anecdote qui illustre assez bien le renversement de ce qui devait être l’ordre établi de la morale et de la logique. “Une fois, dans une station service, un véhicule a embouti le mien. Je me suis emporté contre le chauffeur. Un repenti, témoin de la scène, m’a traité de haggar. Je lui ai retourné l’insulte en lui rappelant que c’est lui qui a tué des innocents.” "Oui, je l’ai fait et je m’en porte mieux", m’a-t-il rétorqué avec aplomb en me montrant sa 406”. Les Patriotes sont nargués quotidiennement par des repentis, parfaitement réinsérés dans la vie active. Ils ne s’aventurent, pourtant, pas à répondre à la provocation au risque de subir les représailles des chefs militaires. “Nous avons ordre de ne pas approcher les repentis ou leurs familles et surtout de ménager leur susceptibilité”, témoignent nos interlocuteurs.

  • #2
    hé oui quel machiavelisme de la part de nos chers décideurs , ils rétablissent les terroristes , et ignorent les patriotes comme ça on crée une autre bombe a retardement pour qu'elle explose au moment voulu

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    • #3
      bof, ca n'etonne que ceux qui veulent s'en etonner, le pouvoir dés 1992 n'a fait que ce qu'il avait l'intention de faire : diviser les algeriens qui seraient d'essence "democratique" et pacifique, les marginaliser et les exposer en potentielles victimes aux "terroristes" de tous poils, instrumentaliser puis jeter en pature une frange de la population la plus vulnérable et la plus naive ( les patriotes, des villagois sans gagne pain ) ......aux terroristes qu'on soudoit ouvertement avec un referendum à la clé ..... et qu'on ramene petit à petit au bercail pour mieux noyer les responsabilités de notre tragédie !
      j'aimerais qu'un jour les Algeriens comprendront une chose au moins : quand on parle du terrorisme, ils ne doivent pas occulter le terrorisme d'Etat qui est la mere de tous les terrorismes !

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      • #4
        touareg23
        Ca va exploser à nouveau, et pire que tout ce qu on a vécu,pire que 1994 inclue .
        Mais ces soit disant politiques ne regardent pas ca.
        Ils regardent la postérité et le pouvoir absolu .
        Quitte à faire passer l ANP pour les décideurs,quitte à la casser,quitte à faire du populisme,quitte à parler de guerre civile alors que c est du terrorisme,quitte à mentir sur les chiffres,quitte à commander des rappors aux conclusions toutes faite,quitte à se faire passer pour des prophetes,quitte à mentir de facon éhontée et se proclamer l auteur de certaines mesures( Service National par ex ou modernisation de l ANP)quitte à s accorder des bénéfices ( les indicateurs macro écnomiques sont au vert grace au pétrole,pour le reste...j en ai déjà parlé , quant à la baisse significative du terrorisme,elle a commencée en décembre 1994 , pérode à partir de laquelle,d un point de vue militaire (et non sécuritaire) les groupes terroristes étaint données perdants par les analystes , ayant retourné la situation) .
        Bref, le "qui tue qui " est à la tete de la pyramide,il pense pouvoir passer pour le sauveur,se constituer via le populisme , l intox,la complicité ave cles étrangers malveillants,l acquoquinnement avec les tueurs,une base popualaire ,quitte à violer les lois (alor qu il est écrit noir sur blanc que le stueurs ne sont pas concernés,ils sont blanchis en masse et eux,blanchissent l argent des massacres ).
        bref,le scénario Chadli se rejoue,puissance dix .
        on pense pouvoir controler,et quand ca explose des années après , on s en vend en laissant les problèmes à l ANP et aux patriotes (au sens large du terme ) .
        Et cette fois ci ,vu le contexte international , ca sera pire .
        Je prie Dieu pour que je me trompe,pour que cela n arrive pas .
        Dernière modification par laigle, 25 septembre 2005, 02h05.

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        • #5
          Soyons un brin honnêtes. Bouteflika n'a pas complètement oublié les résistants, démocrates...de la décennie noire. Il les a bien évoqués recemment à l'occasion de son dernier meeting pour les accuser de "jeter de l'huile sur le feu" et d'être "violents envers les terroristes". Après tout pourquoi tenter un terroriste par la manifestation de son désaveu, son opposition ou même son existence. En fin psychanalyste (un autre don qui vient se superposer à tant d'autre) il sait parfaitement que le terroriste de base est profondément sympathique pour peu qu'on ne titille pas ses sensibilités. Il en veut comme preuve Madani Mezrag qui donne le coup de starter pour un marathon de paix et qui participe une vie politique et médiatique fermée pour tant de démocrates dont le seul tort, peut-être, est d'avoir trempé leurs calames dans l'encrier et usé de mots au lieu de prendre les kalashnikovs!

          Bouteflika en érudit sait qu'il a raison et n'obéit qu'aux inconséquences que lui dicte son esprit. Avec lui, l'Algérie inaugure une nouvelle ère, passant de l'impunité clandestine et l'impunité constitutionnelle en reconnaissant retrospectivement qu'un Algérien mécontent peut éventuellement noyer son chagrin en tuant une personne par ci, une autre par là à condition que ce ne soit pas un massacre de masse. Une mesure non sans implication sur l'avenir, car elle fera certainement jurisprudence, ne serait-ce que dans l'esprit collectif des Algériens. Deux siècle après la charte de Jefferson instaurant le droit à la vie de tout être humain, l'Humanité avance d'un pas grâce à la charte Bouteflika!
          Dernière modification par Aksel, 25 septembre 2005, 13h20.

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          • #6
            Il ne faut pas être hâtif ds ses accusations.

            Je pense qu'il faut un peu se "retenir" ds ses diatribes....Certains s'avancent un peu trop vite et se trouvent démentis pour ne pas dire plus....Un peu de décence serait bienvenue.
            Voici une interview de zerhouni ,ministre d'état de l'interieur qui remet en cause ce qu'avancent certains.


            Yazid Zerhouni l'a déclaré en marge de la cérémonie
            de remise de bus scolaires aux APC enclavées


            «100 terroristes sur les 800 encore dans
            les maquis activent réellement sur le terrain»

            Lundi 26 septembre 2005

            Par Faouzia Ababsa

            Le nombre de terroristes encore dans les maquis est de 800. Le ministre de l’Intérieur a confirmé le chiffre avancé il y a quelques jours par le chef du gouvernement. Toutefois, précisera Mohamed Yazid Zerhouni, dans un point de presse animé hier en marge de la cérémonie de remise de bus scolaires aux APC enclavées, au siège de la SNVI, une centaine seulement d’entre eux activent réellement. C’est-à-dire qui commettent des attentats et/ou assassinats, à l’exemple des derniers assassinats qui ont touché des civils et des militaires dans les wilayas de Jijel et Skikda. «C’est dire que leurs capacités se sont fortement réduites». Cependant, le ministre de l’Intérieur s’est voulu optimiste et rassurant quant à la reddition des éléments encore dans les montagnes. Il en veut pour preuve qu’au lendemain de l’annonce par le président de la République du projet de charte pour la réconciliation, un terroriste a quitté le maquis à Chlef. Un autre, indiquera encore le ministre de l’Intérieur, s’est rendu vendredi aux forces de sécurité à Annaba. «C’est un élément assez important au vu de l’arsenal et des équipements qu’il a ramenés avec lui», précisera-t-il encore.
            A Boumerdès, deux terroristes se sont rendus aux services de sécurité et M. Zerhouni estime qu’après le référendum de jeudi, la cadence ira en s’accélérant.
            A la question de savoir ce qu’il adviendrait des corps des Patriotes, GLD et gardes communaux, il a déclaré : «Il n’est pas question de jeter comme des vieilles chaussettes ceux qui se sont sacrifiés pour sauver la République. La dissolution de ces corps n’est pas à l’ordre du jour ; quand bien même on serait amenés à en réduire les effectifs, nous trouverons les moyens de les réorienter. En réponse à une question sur d’éventuels contacts avec les dirigeants du parti dissous, le ministre de l’Intérieur indiquera qu’en ce qui le concerne, il n’est en contact avec aucun d’entre eux. A propos des Tunisiens et Marocains recrutés par le GSPC et arrêtés par les services de sécurité, M. Zerhouni se gardera de répondre quant au sort qui leur sera réservé en raison de la sensibilité de la question. «Ce sera un traitement particulier», dira-t-il. D’autre part, le ministre de l’Intérieur n’a pas été de mainmorte avec l’organisation des familles de disparus (SOS) et qui ont exprimé leur rejet de la charte proposée par le chef de l’Etat. «Je doute fort que ces gens comptent un seul disparu dans leurs familles. Ils sont bien au chaud en France et donc loin des réalités du pays.» Par contre, affirme encore le premier responsable de la sécurité du pays, «70% des familles ont accepté l’indemnisation. Les 30% restants peuvent toujours recourir à la justice. De toutes les manières, la charte n’est imposée à personne. Chacun est libre de s’exprimer comme il l’entend».

            F. A

            Source : La tribune.

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            • #7
              Les patriotes ne sont pas abandonné par tous, ils continuent à se faire décimer petit à petit.

              Deux patriotes assassinés

              La wilaya de Boumerdès a été, la fin de semaine dernière, le théâtre de deux attentats terroristes qui ont coûté la vie à deux patriotes. Le premier attentat a été perpétré mercredi à Baghlia, à 30 km à l’est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès, où un patriote a été mitraillé par un groupe du GSPC en plein jour et en plein centre de la ville. Malheureusement, ce dernier n’a pas survécu à ses graves blessures et a rendu l’âme au niveau de l’hôpital de Dellys où il se trouvait dans un état comateux.

              Mercredi également, le corps calciné d’un autre patriote a été découvert au lieu-dit Ahl-El-Kef, à quelques encablures au sud-ouest de la ville de Tidjelabine. La victime, âgée de 50 ans, était commerçant à Boudouaou et activait dans un groupe de patriotes de la région. Il avait été enlevé lors d’un faux barrage dressé par un groupe du GSPC, dans la nuit de lundi à mardi, non loin de Tidjelabine. Les terroristes ont mis le feu à son véhicule, un fourgon IVECO après l’avoir enfermé à l’intérieur.

              Des recherches sont en cours pour retrouver les auteurs de ces attentats.

              Source: Le quotidien d'Oran

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              • #8
                Rien que ce mot "patriote" sonne faux, comme si lui, et lui seul est compatriote, et tous les autres algeriens ne le sont pas!
                Quel drole de coincidence, et une repetition conforme de l histoire!
                apré l indépendance, on a confié l Algérie aux moujahidine (dont une bonne partie s'est averé faux) avec poste a responsabilité, privélège et avantage , et le reste d algeriens qui ont souffert autant eté ecarté!. algeriens de decond zonne.
                Dans les années 90, on a crée les "patriotes", avec cette connotation que les autres ne le sont pas et dont certains se sont comporté comme des Kaid alors que c'est pas leur role de protegér la population. C'est le role de l armée, police.
                Ils se sont fait piéger dés le depart, et utilisé comme des marionnette. C est pas en sachant tenir une arme qu on peut defendre une ville.
                Pourqoui vous vous étes pas engagé dans l armée a cette periode, au moins vous serez considéré comme tel, militaires?
                Pour moi, vous ne recoltez que ce que vous avez semé!
                Moi Akel, je veux juste ma part de revenus de petrole !

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                • #9
                  C'est le role de l armée, police.
                  Mais que faire quand la police et l'armée ne tiennent pas leurs roles? Que faire face aux massacres? Attendre en priant un secours qui jamais n'arrive? Enterrer les morts, compter les cadavres ?

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                  • #10
                    et c est non plus un non expérimenté avec une arme de recupération qui coince a chaque tir qui peut arreter des assasins sans foi ni loi et determiné a tuer!
                    Moi Akel, je veux juste ma part de revenus de petrole !

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                    • #11
                      Ils se passent pour ces patriotes exactement ce qui s'est passé avec les VRAIS moudjadhidins après l'indépendance. Au lieu que ce soit eux qui est les honneurs et une vie décente ce sont ceux qui ont assassiné, violé, égorgé, volé et trahi qui se retrouvent avec tous les avantages. Normal d'ailleurs des harkis ne peuvent favoriser que ceux qui leur ressemblent........
                      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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