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ENTV : HHC remplacé par AEK Eulmi

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  • #31
    Moha

    Bonne nouvelle de la journée, mais ce HHC va aller polluer un autre endroit, alors que les gens se mettent sur leur gardes.

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    • #32
      CHANGEMENT À LA TÊTE DE LA TÉLÉVISION NATIONALE
      Hamraoui ou la chute d’un gourou


      Si ces remaniements obéissent à un changement de stratégie de communication, il est donc légitime d’injecter du sang neuf et de propulser une nouvelle génération dans la presse écrite publique.
      C’est le directeur de cabinet à la Présidence de la République, Mohamed Guendil, qui a été chargé de prononcer la sentence: «Le président de la République a décidé de mettre fin à votre fonction en tant que directeur général de la Télévision et vous serez appelé à exercer d’autres fonctions.» C’est en ces termes que Hamraoui Habib Chawki, reçu à la présidence de la République, a appris sa fin de fonction. Ainsi s’est terminé le passage à la tête de la Télévision nationale de l’un des journalistes les plus accomplis dans le monde de l’audiovisuel national depuis 40 ans. «C’est avec un pincement au coeur que je quitte la Télévision nationale», a commenté, résigné, le désormais ex-directeur de la Télévision tout en assurant qu’il restera toujours «au service de l’Algérie et du président de la République».
      Son remplaçant, Abdelkader Eulmi, installé hier, a souligné son engagement à poursuivre le parachèvement des projets et programmes qui ont déjà été initiés afin, a-t-il affirmé, de permettre à la Télévision nationale de «se hisser à la place qui lui sied à l’avenir». Si par la force des choses, HHC est devenu le paillasson de la communication institutionnelle, par la nature des choses, il est tout simplement un gourou de la communication. En fait, son départ à la tête de la Télévision est loin d’être une surprise puisqu’il a essayé de rendre le tablier à deux reprises.
      Et puis, son ambition a toujours été de faire une carrière diplomatique. Il se verrait bien ambassadeur au Liban ou au Caire par exemple. En revanche, la surprise c’est cette cascade de changements à la tête de l’audiovisuel, entamée depuis quelques jours. Si bien que Tewfik Khelladi a été installé lundi dernier, en tant que directeur général de l’Entreprise nationale de radiodiffusion sonore (Enrs) en remplacement de Azzedine Mihoubi, lui-même nommé secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre chargé de la Communication.
      En quelques jours, l’audiovisuel algérien a fait sa mue. Reste à savoir, maintenant, si ces responsables fraîchement nommés, vont apporter du sang neuf. Pour ne prendre que l’exemple de la Télévision nationale, il faut dire que le défi est immense. En 2008, les Algériens ont appris à zapper et la télévision de papa est morte. La catastrophe de la grille des programmes durant le Ramadhan de 2008, renseigne sur la déliquescence de ce média lourd. L’autre question qui se pose: ces changements vont-ils toucher la presse écrite du secteur public? Verra-t-on alors El Moudjahid, Horizons, Echaâb, Enassr et l’APS changer de tête? Si les remaniements opérés dans l’audiovisuel obéissent à un changement de stratégie de communication des pouvoirs publics, il est donc légitime d’injecter du sang neuf et de propulser une nouvelle génération dans la presse écrite publique.
      Dans cet élan de «renouveau et de changement tous azimuts», il est tout à fait clair que la presse privée attend elle aussi ce qui sortira des entrailles des pouvoirs publics.
      Avec une dizaine de titres arabophones et francophones viables sur la scène médiatique, cette presse privée aura au moins le mérite de servir d’alibi à un pays ouvert et garant d’une relative liberté d’expression, car c’est cette presse qui fait le contrepoids au niveau maghrébin et au monde arabe. Car l’Algérie demeure l’un des rares pays au niveau régional à stagner confortablement dans la médiocrité d’une chaîne de télévision unique. En 2008, la diversification des médias et l’amélioration des technologies de l’information, ont élargi l’éventail des idées auquelles les gens sont exposés. Le monde entier a vu, en direct, comment l’Internet et l’explosion des «nouveaux moyens de communication», qui l’accompagne ont fortement bouleversé la politique des Etats-Unis.
      Le président Barack Obama a créé une révolution médiatique en s’appuyant fortement sur les nouvelles technologies pour mobiliser des électeurs. Ces nouvelles techniques de communication permettent à tout le monde, que ce soit dans des quartiers ou les petits villages, d’afficher des informations sur l’Internet, des informations que les médias traditionnels, la presse écrite, la télévision ou la radio ont ignorées. Ce traitement local des informations permet aussi à la collectivité de se mobiliser en faveur de diverses causes et jette les fondements de sa participation à la politique. Du coup, l’ouverture de l’audiovisuel paraît dépassée.

      Brahim TAKHEROUBT

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      • #33


        HHC, une marque déposée...

        «L’homme le plus inquiet d’une prison est le directeur» George Bernard Shaw, Extrait de Maximes pour révolutionnaires
        Jamais la semaine n’a été aussi longue pour le monde de la communication et de l’audiovisuel. Les rumeurs les plus folles ont circulé dans les rues et les couloirs des bâtiments de la Fonction publique. Mais celle qui a suscité la plus grande attention et le plus de commérages est, sans nul doute, la démission du directeur général de l’Entv, Hamraoui Habib Chawki.
        Même les ministres du gouvernement n’ont pas bénéficié d’une telle médiatisation et d’interrogations au sein même du sérail.
        L’ex-directeur général de l’Entv, qui est resté plus d’une décennie à la tête de l’Unique, était devenu plus qu’un responsable d’une télévision publique, mais une marque déposée que les journalistes appellent HHC. Il donnait l’apparence d’«un seigneur» qui survole les océans et les nuages de l’audiovisuel et la communication. Avec ses idées, ses innovations et sa vision, il avait recréé chez certains artistes, comédiens, journalistes et même responsables de boîtes de communication le droit d’exister et de rêver.
        Il a rendu célèbres des anonymes, redonné vie à des artistes oubliés, récompensé des valeurs sûres de l’audiovisuel, donné l’occasion à la jeunesse d’exister dans les couloirs du 21 boulevard des Martyrs, redonné à l’Algérie cette image de pays du cinéma et de la musique. HHC était devenu une marque déposée, aux méthodes souvent contestées et dénoncées, mais aux résultats sûrs et efficaces.
        HHC avait redonné aux téléspectateurs l’envie de regarder à 100% sa télévision «Unique» durant le Ramadhan.
        L’Unique, qui est passée d’un feuilleton produit par an à 4 feuilletons produits et diffusés par mois et plus de 15 feuilletons et séries produits par an. Il a, certes, créé des monstres comme «Hadj Lakhdar» qui vient d’acheter des caméras HD pour entamer le tournage des nouveaux épisodes de sa série, dont le contrat n’a pas encore été signé, mais surtout fait exploser des génies en leur donnant l’occasion d’exploser au petit écran, comme Djaâfar Gassem et ses séries à succès, Nass Mlah City et la Famille Djemaï, ou encore des comédiens et des réalisateurs qui se sont affirmés comme la nouvelle vague du cinéma et de la Télévision algérienne.
        La nouvelle est telle que le départ de HHC de la télévision pour aller ailleurs que dans l’univers de l’art et la culture, a suscité et continuera de susciter une grande interrogation au sein de certains artistes, réalisateurs, journalistes ou responsables de boîtes privées, qui ont appris à vivre dans l’univers féerique créé par HHC. Le Festival de Taghit est-il maintenu? Le Festival du film arabe d’Oran se poursuivra-t-il le mois de juillet prochain comme prévu, sachant que HHC avait déjà averti en déclarant, lors de la clôture du Festival, qu’il ne sera plus président du Festival.
        Les «Fennecs» qui avaient donné l’envie aux comédiens de faire de la dramatique, aux techniciens de faire du cinéma, régler la lumière et instaurer une concurrence loyale entre les réalisateurs dans ce petit «fennecwood» de l’audiovisuel algérien, seront-ils maintenus pour le mois de février 2009? Sa dernière trouvaille, c’est les «Ecrans d’or» qui sonnait déjà comme un testament.
        Autant de questions et d’interrogations légitimes de personnes qui ne faisaient pas systématiquement partie du clan de HHC, mais qui partageaient énormément la vision et la grandeur de ce personnage hors du commun. Même si le nouveau directeur de l’Entv, Abdelkader Eulmi, possède le background et le savoir-faire d’un dirigeant exemplaire, il aura du mal à faire oublier une marque bien déposée...HHC.

        Adel MEHDI

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        • #34


          ces remaniements obéissent à un changement de stratégie de communication .ETANT donné que l'ENTV outil de propaganda par excellence .


          Le président Boutef*
          a procédé dans l’après-midi d’hier
          au remplacement de Hamraoui Habib Chaouki
          par Abdelkader Eulmi
          à la tête de la Télévision algérienne.

          Ce dernier, jusque-là secrétaire général au niveau du ministère de la Communication sous Boukerzaza, a eu à occuper ce même poste de directeur général de l’ENTV, et récemment encore, il avait eu à assurer, pendant près de deux années, l’intérim au niveau du ministère de la Communication, resté sans ministre après le départ de Khalida Messaoudi et jusqu’à l’arrivée de Hachemi Djiar en juin 2006.

          Avec ce changement, Bouteflika aura, en moins d’une semaine, renouvelé tous les dirigeants des instruments-clés de la communication
          avec l’éviction de Abderrachid Boukerzaza,
          remplacé par Azzedine Mihoubi à la tête de ce département,
          lui-même transformé en secrétariat d’Etat,
          et la nomination de Toufik Khelladi au poste de DG de la Radio nationale.

          Kamel Amarni (soir d'algerie).
          Dernière modification par el DjaZaiiri, 20 novembre 2008, 18h08.

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          • #35
            Car l’Algérie demeure l’un des rares pays au niveau régional à stagner confortablement dans la médiocrité d’une chaîne de télévision unique.

            En 2008, la diversification des médias et l’amélioration des technologies de l’information, ont élargi l’éventail des idées auquelles les gens sont exposés.
            Le monde entier a vu, en direct, comment l’Internet et l’explosion des «nouveaux moyens de communication», qui l’accompagne ont fortement bouleversé la politique des Etats-Unis.

            Le président Barack Obama a créé une révolution médiatique en s’appuyant fortement sur les nouvelles technologies pour mobiliser des électeurs.
            Ces nouvelles techniques de communication permettent à tout le monde, que ce soit dans des quartiers ou les petits villages, d’afficher des informations sur l’Internet, des informations que les médias traditionnels, la presse écrite, la télévision ou la radio ont ignorées.

            Ce traitement local des informations permet aussi à la collectivité de se mobiliser en faveur de diverses causes et jette les fondements de sa participation à la politique. Du coup, l’ouverture de l’audiovisuel paraît dépassée.

            Brahim TAKHEROUBT

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            • #36
              Le remplacement du directeur général de la Télévision nationale par un cadre du secrétariat d’Etat, chargé de la Communication, vient confirmer que le choix des Hommes peut se faire, au gré des humeurs et autres conjonctures très particulières.

              Hamraoui Habib Chawki, un nom qui a longtemps rimé avec le poids du patrimoine audiovisuel national, vient d’être écarté de la Télévision nationale.

              Il en a été le patron pendant près de dix ans, le temps de deux mandats présidentiels de Bouteflika.

              Son nom ou plutôt ses initiales sont devenues presque un logo du paysage audiovisuel de l’Algérie indépendante.
              HHC a ainsi beaucoup grandi sous des auspices d’une République qui lui ont été très favorables.

              Jeune, il a été deux fois ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement tout en étant membre du parti du pouvoir, le RND d’Ahmed Ouyahia.

              Moins jeune, il avait été un des clous de l’UNJA, une des organisations satellites du FLN.

              C’est dire que sa promiscuité avec Abderrachid Boukerzaza, le ministre limogé la semaine dernière, ne date pas de l’ère Bouteflika. Le hasard a fait que les deux hommes soient remerciés pratiquement à la même période. La comparaison s’arrête là. Cependant, HHC tout autant que Boukerzaza pourraient rester « en réserve de la République ».

              Comme le premier pourrait déjà être placé ailleurs le plus rapidement possible. Il faut reconnaître que HHC n’est pas né de la dernière pluie. Il a su naviguer - terme à la mode - comme il se doit dans les courants d’un système politique qui repêche ses hommes non parce qu’ils ont appris à travailler, mais parce qu’ils ont bien compris le jeu des tablettes auquel ils s’adonnent pour perdurer.

              Ceci étant dit, ce n’est pas tant la personne de HHC qui oblige à ces rappels d’exercice du pouvoir, mais plutôt celle de celui qui l’a remplacé à la tête de la Télévision nationale.

              Le recours à l’histoire récente s’impose à cet effet. A ceux qui ont oublié, Abdelkader El-Eulmi, le nouveau directeur général de l’ENTV, a déjà occupé ce même poste au temps du Président Liamine Zeroual.

              En 1999, et après l’élection de Bouteflika à la présidence de la République, El-Eulmi l’était encore. Jusqu’au jour où le Président Bouteflika entame une visite d’Etat à la somptueuse Principauté de Monaco.

              Au dîner, que le président avait offert au Prince de Monaco, la télévision algérienne avait projeté longtemps sa caméra sur le fameux Troudi, l’homme d’affaires qui avait de grosses démêlées avec la justice pour une histoire de tomates et de… dette russe.

              Ce gros plan avait été pris mal à propos. La presse algérienne s’en était saisie le lendemain pour rapporter que le dîner de la présidence de la République algérienne, offert dans la Principauté de Monaco, avait été financé par le richissime Troudi.

              Branle-bas de combat, colère dans le microcosme du président qui se terminera en évidence par une sévère prise de sanction. Selon des indiscrétions,

              c’est à sa descente d’avion, sur le tarmac de l’aéroport d’Alger, que Bouteflika avait ordonné le limogeage de Abdelkader El-Eulmi, alors DG de l’ENTV, celui qu’il avait tenu comme responsable de ce qu’il pensait avoir été un scandale.

              Benaâmar Zerhouni, alors ministre de la Communication, a été chargé de trouver un remplaçant à El-Eulmi. Il avait proposé Abdelmadjid Chikhi, un de ses cadres de son cabinet, actuellement chargé des archives.

              Entre-temps, l’organisateur des grands galas en Algérie avait invité Warda El Djazaïria pour un concert à Alger.

              Connu pour être un fan de Warda, Bouteflika avait assisté au show avec beaucoup de plaisir.

              A l’époque, HHC faisait, pour certains, sa traversée du désert.

              Pour d’autres, il était en réserve de la République. C’est, dit-on, Warda qui avait intercédé en sa faveur auprès du président de la République.

              Il devient alors DG de l’ENTV, en remplacement de Chikhi, qui ne l’avait été que pendant… 11 jours.
              C’est dire que le choix des hommes se fait parfois bien loin des critères de compétence ou de crédibilité. Le pouvoir politique s’est bien accommodé de responsables avec, comme seul bagage, le maniement de la flûte, l’encre du taleb et même un plateau de thé posé avec doigté sur la tête d’un danseur du ventre…

              source: le quotidien d’oran

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              • #37
                mziya !!! regardez sur le site entv dans "direction generale" y'a toujours la biographie d'HHC

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                • #38
                  enfin,mais en tout cas il sera appelle a d,autres fonctions,la plus propable un poste d,ambassadeur le boulot des incompetents(les colonnies de vacance)

                  Commentaire


                  • #39
                    quand une certaine Zahiya Benarous, une simple presentatrice du journal televisé, devient ministre sous Zeroual, ca ne m etonerais pas que ce mec deviendrait premier ministre un jour dans ce pays sous Boutef!!

                    Commentaire


                    • #40
                      quand une certaine Zahiya Benarous, une simple presentatrice du journal televisé, devient ministre sous Zeroual, ca ne m etonerais pas que ce mec deviendrait premier ministre un jour dans ce pays sous Boutef!!
                      __________________


                      et pourquoi pas president de la republique,tout est possible

                      Commentaire


                      • #41
                        et pourquoi pas president de la republique,tout est possible
                        non, pour le faiseur des PM la lsite vient d etre fermé jusqu a la prochiane modification!
                        juste la liste des ministres et des premiers est encore ouverte

                        Commentaire


                        • #42
                          non, pour le faiseur des PM la lsite vient d etre fermé jusqu a la prochiane modification!
                          juste la liste des ministres et des premiers est encore ouverte
                          __________________


                          pour ton information ce mec etait deja ministre de l,information et porte parole du gouvermenment de belaid abdesslam(le monde a l,envers)

                          Commentaire


                          • #43
                            pour ton information ce mec etait deja ministre de l,information
                            oui je savais, c est pourquoi j ai pense a un poste de PM

                            Commentaire


                            • #44
                              il ne peut pas prétendre ni au poste de premier ministre ni a celui de président de la république car ils sont occupés pour le moment mais il reste encore un poste vacant celui de première dame d'algerie .
                              et il le vaut bien .

                              Commentaire


                              • #45
                                l'ENTV (unique chaine , clonée en 3 exemplaires)

                                -est une chaine avec une qualité d'image minable
                                -un nom minable
                                -un son pas homogene
                                -des generique et l'ecriture qui fait penser a ceux des année 70
                                -pas de creativité
                                -on dirait une vieille cassette
                                -reflete l'image d'un pays miserable
                                -la seule chaine ou le PDG se deplace faire des reportage
                                -des journalistes qui laissent a desirer (pas tous )
                                -des studios bricolés avec des morceaux de cartons qui trainnaient
                                -manque de modernité
                                -vieux jeu
                                -des match de foot sans afficher une banniere avec les scores
                                -en moyenne 3 matches vieux de 20 ans redifusés chaque semaine
                                Dernière modification par iwamachngoulek, 20 novembre 2008, 20h45.

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