Benbitour: "L'Etat est à la dérive et le pays avec"

[absent]

Je rejoints Jawzia sur ce qu’il a dit et je l’ai moi-même signaler il y a quelques semaines, vouloir contrer ou « descendre » Bouteflika n’arrange rien à la situation, il faut viser tout le « système » ou « la bande au pouvoir » ou …….ce que tu veux.

n'est pas ce que suggère Benbitour ?

[jawzia]

n'est pas ce que suggère Benbitour ?

Tant mieux. Encore faut-il définir à côté de l'objectif ... la trajectoire. Et surtout s'y inscrire. Faire le tour des rédactions, donne certes bonne conscience, mais est largement insuffisant.

[zemfir]

"Et tu penses qu'il te l'offriront au prochain "5 Juillet" ou à la "St Valentin".
Rien ne se donne, tout s'arrache ... pacifiquement. D'où la compléxité."
d'accord pour le tous s'arrache et je ne voit aucunne complexité dans cette action; alors arrachons simplement la mauvaise herbe , mais je vois mal comment on puisse arracher pacifiquement ; car le verbe arracher suppose une certaine violence.

[jawzia]

Pour la trajectoire, Benbitour nous demande de patienter quelques temps :

Seulement, le moment n’est pas encore propice pour présenter, dans le détail, ces nouveaux instruments sur lesquels je travaille.

[zemfir]

Pour la trajectoire, Benbitour nous demande de patienter quelques temps :"l'ALGERIE UNE GRANDE SALLE D'ATTENTE"

[jawzia]

"l'ALGERIE UNE GRANDE SALLE D'ATTENTE"...

où ça papote "sec" !!!

[absent]

Le seul changement qui vaille doit émaner de la base, la majorité donc le peuple. Pour ce faire, il n'y a pas trente six mille solutions, cela passe par l'implication de tout un chacun. Que cela soit dans une association, un syndicat, un comité de quartier, un parti ... mais que chacun s'assume et assume ses responsabilités. S'installer confortablement dans son rôle de spectateur ou même de commentateur ... "La Yousmine Wa La Youghni Mine Jou3a...".

n'est ce pas aussi ce dont parle Benbitour ?

Donc lorsque j’appelle au changement de régime, je n’attends rien du pouvoir ni de ceux qui gravitent autour de lui. Je m’adresse à ceux qui n’ont d’autre avenir que celui qu’ils construiront dans leur pays, l’Algérie. Les Algériens et Algériennes auxquels je m’adresse vivent la décennie la plus difficile de leur vie. Ils font face à la gestion de la colère dans toutes ses manifestations (émeutes, grèves, déviations sociales, harraga…). Ils doivent affronter, en tant que pays très fortement dépendant de l’extérieur, une crise mondiale d’une ampleur jamais égalée depuis la Grande dépression. Beaucoup disent que la classe politique est trop divisée, que la jeunesse est trop désillusionnée pour être capables de se tenir ensemble et travailler vers un objectif commun. C’est la propagande du fatalisme, au grand bonheur des partisans du statu quo. Je dis non, les gens sont capables de se mettre ensemble pour sauver le pays. Ils ont besoin de dirigeants capables de parler calmement, d’écouter attentivement, de trouver des solutions et de tenir parole. C’est l’antigouvernance qui a créé cette force d’inertie démobilisatrice qui gangrène le pays et le condamne lentement mais sûrement à une régression, pur stigmate d’un Etat défaillant. Donc lorsque je parle de changement dans le calme et la sérénité, je travaille à l’élaboration de nouveaux instruments pour la réalisation de ce changement. Ces nouveaux instruments concernent essentiellement la vision, c’est-à-dire expliquer la situation actuelle du pays, la situation vers laquelle il va dériver sans le changement et la situation à laquelle il peut prétendre s’il y a un changement de régime. Ils concernent également la capacité de rupture avec le régime en place, c’est-à-dire expliquer que malgré la fermeture de tous les canaux de progrès, il est possible de mobiliser les gens en faveur du changement, de le mettre en œuvre et de construire un nouveau projet de société, un Etat protecteur et développeur, de même qu’une économie productive générant des flux de revenus durables au bénéfice de tous. Il faut bien considérer qu’il est impossible de réussir le changement en utilisant les instruments mis en place par le régime actuel ni en s’inscrivant dans son agenda et encore moins à espérer un changement de l’intérieur du système. Seulement, le moment n’est pas encore propice pour présenter, dans le détail, ces nouveaux instruments sur lesquels je travaille.

Alors mobilisons-nous, chacun là où il se trouve et avec ce qu’il peut, pour qu’ensemble nous partagions les rêves et les espoirs de nos compatriotes.

Je te sent un peu sceptique concernant Benbitour Jawzia, ya t-il des objections à son encontre ? je ne crois pas qu'il se prend pour l'homme providentiel, mais ce que je sais c'est que l'histoire nous a toujours appris que tout mouvement a besoin d'un leader engagé et honnête qui peut mobiliser les gens.

[jawzia]

Je te sent un peu sceptique concernant Benbitour Jawzia,

Aucun à priori sur Benbitour. Seulement deux réserves :

L'Algérie a besoin d'un mouvement ascendant. C'est à partir de la prise de conscience du citoyen Lambda que le temps de l'attentisme est révolu, que le salut viendra. L'émanation d'un leader devra en être la conséquence et non pas le préalable

deuxio, celui qui cherche le peuple ne le trouvera pas dans les rédactions de presse. Bien que ce soit un passage nécessaire mais pas suffisant (comme dirait les matheux).

[zemfir]

"où ça papote "sec" !!!"
histoire de passer "ezmen" comme disait EL ANKA rabi yerhmou
et puis c'est mieux que de se la fermer ou de dire que tous va bien avec ALI BABA.

[djamal 2008]

zwina

Ou peut-être que géographiquement il serait indésirable? Mais tu as raison lorsque tu mentionnes qu'il faut que le changement soit reposé sur des structures politique et non sur des personnes, on de dispose pas des Ataturk ou des Al Nahyan ( l'Ex émir de UAE ) pour réaliser ces objectifs et desseins.