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4 barbares abattus à Tizi-Ouzou

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  • #31
    latino

    zeroual aussi est accedé au pouvoir pendant une periode assez terrible,

    on peut pas trop le juger il n'a pas pu faire son travail correctement, maintenant que l'algérie a gagnée en stabilité (mm si c pas parfait) la on pourra le juger

    enfin si c le seul candidat face a bouteflika c surement pr lui que je voterai (zeroual)

    on dit tjrs s'abstenir s'abstenir mais c pas ca qui empechera teftef d'être elu roi d'el mouradia

    tout mais pas lui

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    • #32
      Lafilledelalune: Tu te trompe mais royalement. Tout d'abord l'Algérie a connu une soviétisation totale de sa structure économique ( économie centralisée) et politique ( parti unique) et meme sécuritaire ( DRS équivalent du KGB, d'ailleurs les membres de la DRS algréiennes ont été formé en ex-URSS). Boudiaf voulait justement rompre avec cette socialisation désutructuré, il voulait le changement. Il comparait la situation de l'algérie aux autres et il savait qu'une politique socialiste dans un monde semi-globalisé n'était plus la solution.

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      • #33
        Zeroual est un MILITAIRE. On a pas le choix, faut réélire Boutef.

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        • #34
          tien toi tu lappel teftef
          moi c'est pluto boubou !
          looool
          a après tant de mandat !
          ont devient des intimes !
          mdrrrrrr
          une fleur de printemps au coin des lèvres... c'est une fille d'avril qui se présente à vous.


          ***lafille2lalune***

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          • #35
            économie centralisée

            l'algérie? tu plaisante j'espere! jamais l'algérie n'a fonctionné sous une economie centralisée c'est absurde meme l'urss ne fonctionne plus dans ce systeme depuis staline;

            ca a toujours été une économie de marché

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            • #36
              tien toi tu lappel teftef
              moi c'est pluto boubou !
              looool
              a après tant de mandat !
              ont devient des intimes !
              mdrrrrrr
              mdrr bientot ca sera ni teftef ni boubou mais

              Boutef 1er et ca sera plus son excellence mais Sa Majesté

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              • #37
                mon pti latino boy
                on reprend ske jai dit coco
                jai parlé de boudiaf en disan quil menai une politique socialiste a tendance léniniste
                leniniste venant de lenine venant de...
                fau ke je continu ?
                je suis fatigué veu aller au dodo !
                je sais quel était les rapport entre l'URSS et l'Algérie
                dailleurs si il nallait pas avec eux avec qui serait il allez ?
                la france ??? on venait de les jeter !
                les USA ? ctai dja ouleux et fesait partie de la même alliance avec la france et certain pays d'europe
                qu'il se battaient avec acharnement pour empêcher la propagation du mouvement soviétique !

                pouffffffffff ! stop !!!


                mmm... jpense a ma couette qui m'appel !




                wesh n'golek
                tu m'as tuer sayai !
                mdrrrrrrr
                BOUTEF 1ER !
                THE KING OF THE BLED !





                ...
                oups !
                une fleur de printemps au coin des lèvres... c'est une fille d'avril qui se présente à vous.


                ***lafille2lalune***

                Commentaire


                • #38
                  Je vais juste te demander une chose stp: sur ce point stp fais moi confiance. L'Algérie a commencé a ouvrir son marché qu'e très tardivement. De 1962 jusqu'à cette époque, l'Algérie était structurée par un socialisme à la soviétique. Tant au niveau politique qu'au niveaiu économique. L'économie algérienne était centralisée, refermée sur elle-meme, pratiquant la mono-production.


                  Durant la guerre d’Indépendance, les Etats communistes, tels l’URSS et socialistes, comme l’Egypte de Nasser, n’ont pas caché leur soutient à l’Algérie vu l’anticolonialisme affirmé qu’affiche leur doctrine. Il était donc évident que l’Algérie allait adopter un régime socialiste, pour en quelque sorte remercier ses alliés.
                  Cependant, le GPRA, à leur arrivé à Alger, se retrouvera très vite confronté à une farouche opposition de Ben Bella[1]. Ce dernier créé, sans l’accord du gouvernement provisoire, ce qu’on appelle ‘un bureau politique’, dans le but de devenir premier ministre. Vu la tournure des événements, des affrontements entre les deux protagonistes eurent lieux. La cause du conflit est née d’une rumeur, selon laquelle le GPRA avait, lors des négociations pour l’autodétermination, négocié pour une forme de néocolonialisme permettant à la France d’avoir un certain contrôle économique de l’Algérie. Et en l’espace de quelques mois, un accord fut trouvé entre les deux parties. Ben Bella aura l’autorisation d’installer le bureau politique à Alger. Cet accord va se révéler décisif dans le projet de Ben Bella de prendre le pouvoir de la jeune République algérienne. En effet, son bras droit, le colonel Boumediene[2], alors ministre de la défense, une autre figure importante de la guerre de libération, lui apporta un soutient décisif avec son armée. Le GPRA est renversé et Ben Bella devient le premier président de la République algérienne, formé notamment de cinq militaires.
                  Comme prévu, la socialisation de l’Algérie est mise en route. Au fur et à mesure que le socialisme se généralise, l’armée se solidifie et gagne une place importante dans la construction politique du pays. Dans cette idée des choses, Ben Bella déclara un jour : « le soldat doit porter le fusil à la main gauche et la pioche à la main droite. »[3]
                  Mais la politique de Ben Bella va bientôt exaspérer la population algérienne qui se voit étranglé par une politique qui balance de gauche à droite. Pendant trois années, la politique de ben Bella fut brouillonne et sans évolution.
                  Afin de changer les choses, le colonel Boumediene va prendre le pouvoir et entamer, ce que certain appelle, ‘une dictature socialiste’.
                  Pendant plus de treize ans, Boumediene va diriger l’Algérie comme bon lui semble. Sa politique aura la particularité de progresser irrégulièrement, tantôt à grands bonds, tantôt à petits bonds. De 1965 à 1970,[4] la politique de Boumediene mettra l’accent sur la structure de l’Etat. Ainsi, il créera le Conseil national économique et social, organe d’information, de réflexion et de consultation, une cinquantaine de sociétés et d’offices nationaux, intensifie la scolarisation. Sa politique intérieure permettra à l’Algérie de passer comme leader du tiers-monde. En témoigne la conférence des ‘non-alignés’[5] de septembre 1973.[6] Il avait alors réuni plus de septante chefs d’Etats.
                  Cependant, la politique nataliste de Boumediene ne manqua pas d’inquiéter le reste du pouvoir. Puisqu’il considérait que toute naissance représente pour l’Algérie des bras supplémentaires pour la transformation sociale qu’il voulait atteindre. En d’autres mots, l’industrialisation de l’Algérie créera du travail pour tout le monde.

                  1.2. Le système économique.
                  Lors des négociations pour l’indépendance de l’Algérie, la question du Sahara était très présente. Et ce n’était pas par hasard. En effet, le Sahara algérien représente un enjeu économique extraordinaire, vu ses ressources naturelles. Pétrole, gaz, phosphate, fer, or. Bref beaucoup de richesses.
                  Mais la richesse principale de l’Algérie était les hydrocarbures. Alors, afin de tirer profit de ses richesses naturelles, le pays va adopter un modèle économique de type soviétique, basé sur l’industrie lourde.
                  Le bref passage de Ben Bella à la tête du pays n’apportera quasiment rien à l’économie algérienne.
                  En revanche, l’arrivée de Boumediene au pouvoir va provoquer un bouleversement : l’industrialisation. Le colonel Houari Boumediene savait que l’Algérie avait un potentiel énergétique énorme. Il fallait donc utiliser les richesses naturelles que possédait le pays pour qu’elle puisse se relever d’une guerre de huit années. Le développement algérien était en route. L’industrialisation du pays était perçue comme le moteur de développement.
                  La première étape dans le plan d’industrialisation du pays, c’était la nationalisation totale du gaz et du pétrole algérien. Après des discussions houleuses avec les entreprises françaises, l’Algérie gagna les pleins droits sur ses propres richesses. Et suite à cela apparaît la Sonatrach[7].
                  De 1962 à 1974, la production de pétrole est passée de vingt à quarante-huit millions de tonnes. En ce qui concerne le gaz, la production est passée de trois cent milles à six millions de mètres cube.[8]
                  Comme le prouve ces chiffres, l’économie algérienne était en plein expansion. Le peuple algérien voyait son quotidien s’améliorer. Les soins médicaux étaient gratuits et disponibles à tous. L’instruction y était gratuite. Bref, jusque là, le colonel Boumediene a permis à l’Algérie de confirmer son statut de leader du tiers-monde.

                  2. Développement du marché parallèle et chute de l’économie.
                  Cependant, et ceci malgré le boum économique, le modèle algérien va s’effondrer. Cette politique, trop centralisée et rigide, révèle la faillite d’un système. L’économie algérienne se déstructure et s’écrase.
                  Vu l’état catastrophique de l’économie dû à cette politique d’industrialisation forcée, tachée par une corruption de moins en moins cachée, la population algérienne va trouver dans le marché parallèle la seule solution à son problème. La politique adoptée depuis juillet 1962 a mené l’Algérie droit dans le mur. La politique nataliste de Boumediene a eu une conséquence néfaste puisque le travail venait à manquer. L’Etat de pouvait plus offrir de travail à ceux qui voulaient travailler.
                  Le salaire d’un Algérien de classe moyenne était faible. Par conséquent, son pouvoir d’achat était limité. Et c’est justement ça qui va le pousser à trafiquer, marchander au noir, des produits de consommation bien trop cher à la vente dans les grandes surfaces. Le malaise social frappait l’Algérie de plein fouet. Après le statut de leader du tiers-monde, le socialisme algérien s’écrase et apparaît alors une misère qui gangrène encore actuellement la société algérienne.
                  L’accumulation de la mauvaise gestion du pays, de la mal gouvernance, de la corruption et de la dette extérieure, produit un mélange explosif qui connaîtra son apogée lors du choc pétrolier de 1986[9]. Ceci va mener à la défaillance d’un système, d’une institution qui préservait ses intérêts au détriment du peuple.
                  Depuis l’indépendance, l’Algérie s’est lancée sur la voie de la monoproduction, en exportant l’hydrocarbure, première richesse du pays. Mais à cause du choc pétrolier dû à la situation plus que tendu de l’époque, notamment les guerres opposant Israël aux pays arabes l’entourant, l’économie algérienne n’a pas résisté au choc, et les prix du pétrole se sont effondrés.
                  De plus, l’économie algérienne, ou en tout cas le système adopté, pratiquait une exportation massive de nourriture, puisque l’agriculture algérienne a été sacrifiée au profit de l’industrie, et de matériaux en tout genre. Cette mauvaise gestion s’ajoute aux nombreuses autres défaillances, qui ont peu à peu mené l’Algérie vers sa situation actuelle.

                  [1] A. Ben Bella, (1916- ), premier président de la République algérienne.

                  [2] H. Boumediene (1932-1978), second président de l’Algérie (1965-1978).

                  [3] P.EVENO, op.cit.

                  [4] Ibidem.

                  [5] Non-alignés : regroupe des pays principalement afro-asiatiques, refusant de s’aligner sur les modèles idéologiques soviétiques et américains.

                  [6] Ibidem.

                  [7] La Sonatrach est la société algérienne destinée à l’exploitation des hydrocarbures. Encarta 2005.

                  [8] S. GOUMEZIANE, Le mal algérien, France, Editions Fayard, 1994, p. 148.

                  [9] [9] S. GOUMEZIANE, op. cit.

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                  • #39
                    pr enrico eglesias le latino de fa !

                    mdr !
                    a wiki !
                    une source denrichissement personel aussi !
                    mdr
                    jplaisante

                    nan mais tu as lu au moins tous ça!!!
                    moi jtai parlé de ma couette
                    sympa comme tu es
                    ten a pas pris compte
                    mais voilà coco
                    im so tired !


                    ah et pour mes connaissances historique et culturel,
                    je ne me fis qu'à moi même !


                    caractéristique pysique d'une algérienne pure souche : la tête dure !
                    une fleur de printemps au coin des lèvres... c'est une fille d'avril qui se présente à vous.


                    ***lafille2lalune***

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                    • #40
                      ca a toujours été une économie de marché
                      non, une economie planifiée de type socialiste
                      il y avait bien entendu un secteur privé, qui a profité à certaines forces d'en haut... (style l'autre lobotomisé qui se cache aujjourd'hui en G-B)!

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                      • #41
                        @ lafilledelalune: non j'ai fais copié collé d'un travail que j'ai fais sur l'Algérie il y'a quelque temps, cela ne vient pas de wikipedia, si tu peux voir, j'ai mis les sources des livres que j'ai utilisé pour cette partie de mon sujet.

                        Commentaire


                        • #42
                          non, une economie planifiée de type socialiste
                          il y avait bien entendu un secteur privé, qui a profité à certaines forces d'en haut... (style l'autre lobotomisé qui se cache aujjourd'hui en G-B)!


                          ouf bah hamdoulah aujourd'hui ca n'existe plus chez nous

                          y'a que l'algérie pour reprendre ce que les concepts obsoletes que les autres ont abandonnés



                          HS: latinoboy tu es algero-marocain c'est ça?

                          Commentaire


                          • #43
                            HS: latinoboy tu es algero-marocain c'est ça?

                            Qu'est ce qui te fais dire ça?

                            Commentaire


                            • #44
                              tes messages ou t'emploies la premiere personne du pluriel en parlant du maroc


                              (c ce que je crois avoir vu) je ss pas sur
                              Dernière modification par iwamachngoulek, 02 décembre 2008, 15h38.

                              Commentaire


                              • #45
                                Ah je pense pas que j'ai pu écrire ça parce que je ne suis pas Algéro-marocain, mais Algérien de père et de mère.

                                Et puis pour approfondir le débat sur la parenté et la filiation, il faut savoir qu'au Maghreb le système de parenté est unilatéral patrilinéaire (et donc pas bilatéral) ce qui signifie que la filiation se transmet d'un des deux parents aux enfants. Si c'est la mère qui transmet la filiation enfants on parlera d'un type de filiation unilatéral matrilinéaire. Si c'est le père, comme c'est le cas dans le Maghreb, on parlera d"un type de filiation unilatéral patrilinéaire. C'est pour cela que très majoritairement un individu de père marocain et de mère algérienne dira qu'il est marocain, car il appartient au groupe du père et vis versa.
                                Bref, ma théorie est que seuls les systèmes occidentaux qui pour la plus part sont bilatéraux peuvent avancer une double culture. Dans le système unilatéral patrilinéaire maghrébin, la descendance ne peut se réclamer de la culture de la mère.
                                Je ne sais pas si tu sera d'accord. Je suis ouvert à toutes critiques.

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