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RCD-Béjaïa : La contestation persiste et signe

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  • RCD-Béjaïa : La contestation persiste et signe

    RCD-BéjaïaLa contestation persiste et signeLe RCD a battu, jeudi, le rappel des troupes à El-Kseur en l’absence, remarque El-Watan, de l’ex-vice président du parti, Djamel Ferdjellah, qui faisait pourtant la pluie et le beau temps à Béjaïa.
    "Les différents intervenants, parmi lesquels figuraient des membres du conseil national, des élus locaux et autres militants venus des quatre coins de la wilaya de Béjaïa, ont été unanimes à exprimer leur satisfaction quant aux dernières décisions prises par la commission nationale des conflits pour mettre fin aux dérives de la bande des quatre. Ils ont salué la nouvelle dynamique qui consiste à rajeunir et renforcer les rangs du RCD tant au niveau régional que national ", écrit le RCD sur son site web. La bande des quatre ? Bennadji Braham (P/APC de Tinbdar) , Kheladi Sadek ( élu APW) , Achour Saci (élu APW) et Tinouche Azzedine (ex-président du bureau régional de Béjaïa) qui avaient cosigné, le 19 novembre, une virulente déclaration par laquelle il accusaient Said Sadi de dérive et d’enrichissement sans cause. Ils revenaient, hier, avec une autre déclaration qui apporte un tout autre son de cloche par rapport à celle du RCD : " Tel l'arroseur arrosé, les participants qui avaient aussitôt saisi la supercherie, ont transformé la rencontre en procès en règle de la direction nationale, accusée de recourir systématiquement aux méthodes expéditives d'exclusion dont le parti a payé un lourd tribu ". Plus loin, ils écrivent : " Nous tenons à saluer le courage et la clairvoyance de nos camarades militants, qui ont su déjouer la manœuvre, en rejetant sans équivoque notre exclusion. Cette rencontre a eu le mérite de relancer le débat autour de la question de la démocratisation du fonctionnement interne du RCD. Par ailleurs, nous dénonçons les méthodes policières du premier responsable du RCD, qui a fait obligation aux membres du secrétariat national de signer collectivement un dépôt de plainte contre nous au sujet de notre déclaration du.../11/2008, dans laquelle nous avions fait part de notre étonnement concernant " l'enrichissement de certains cadres du parti ". A ce sujet, nous tenons à rassurer nos amis du secrétariat national et de la direction politique, que la seule personne mise en cause dans notre propos est le président du RCD."
    Voilà qui ne manquera pas d’envenimer les choses dans un parti qui semble traverser une très mauvaise passe à Béjaïa.



    le dépêche de kabylie


  • #2
    On dirait que la Depeche de Kabylie a des comptes à régler avec Said Saadi.
    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

    Commentaire


    • #3
      Code HTML:
      zwina 	On dirait que la Depeche de Kabylie a des comptes à régler avec Said Saadi.
      je ne sais pas pour la dépêche (c'est qui déja son directeur ?), mais pour la bande des quatre c'est certain

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      • #4
        Le de facto boss du RCD serait M. Rebrab, alors il faut s'en prendre à lui s'il le faut. Money is the mothermilk of politics.
        Ask not what your country can do for you, but ask what you can do for your country.

        J.F.Kennedy, inspired by Gibran K. Gibran.

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        • #5
          Bizarres ces partis qui appellent à la démocratie, qui veulent que les citoyens croient en leur politique de changement, mais qui n'arrivent pas à se concerter entre eux. Je ne présume rien sur leur honnêteté, là n'est pas le problème, mais je suppose plutôt que si à des niveaux localisés ils se débattent à coups de diffamations pour se légitimer, ils feront pareil aux plus hauts niveaux du pouvoir si un jour celui-ci leur était accordé.
          Dernière modification par oldstoneage, 08 décembre 2008, 07h31.
          Enwi l-xhir, tŝib el-xhir ...

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          • #6
            Carlos

            je ne sais pas pour la dépêche (c'est qui déja son directeur ?), mais pour la bande des quatre c'est certain
            La dépêche de Kabylie oublie souvent de vérifier ses informations et ses sources ne sont pas très fiables car bien trop impliquées.
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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            • #7
              ils feront pareil aux plus hauts niveaux du pouvoir si un jour celui-ci leur était accordé.

              Dans une querelle, ce ne sont pas forcément les deux parties qui ont sont à blâmer.
              Je rappelle que depuis l'ouverture démocratique en Algérie, tous les nouveaux partis (et même le FLN) ont eu des problèmes créés à l'intérieur même et par des membres des ces partis qui les ont divisés et empêchés de devenir une véritable force d'opposition.
              Même problème pour les syndicats autonomes.
              Et on devine aisément qui a intérêt à créer la division.
              Dernière modification par Laari1, 08 décembre 2008, 11h46.

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              • #8
                Laari

                Ces membres sont ceux qui vont de partis en partis au gré de leurs interêts et qui crie au loup dès que leurs exigences ne sont pas satisfaites. Idir Benyounès devrait se rappeler l'époque de Debza........
                Dernière modification par zwina, 08 décembre 2008, 11h50.
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • #9
                  sahha aidek

                  La dépêche de Kabylie oublie souvent de vérifier ses informations et ses sources ne sont pas très fiables car bien trop impliquées.
                  la dépêche n'a fait que rapporter une info (déclaration de la bande des 4) donc la source est claire...
                  maintenant on peut toujours déceler une hostilité de ce journal envers le rcd quand l'auteur ajoute :

                  Voilà qui ne manquera pas d’envenimer les choses dans un parti qui semble traverser une très mauvaise passe à Béjaïa
                  .

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                  • #10
                    Carlos

                    Normal car la Depeche de kabylie préfère l'UDR.
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                    • #11
                      RCD : Said Sadi avertit les dissidents

                      Mohcène Belabbas et Rabah Boucetta, secrétaires nationaux du RCD, respectivement à la coordination et à l’organique, ont présidé, jeudi dernier à El Kseur, une rencontre avec les militants de la wilaya de Béjaïa. La rencontre a vu également la présence des députés Derguini, Mira et Maâzouz, d’élus d’APW et d’APC ainsi que de nombreux militants. L’absence du député Djamel Fardjellah, ancien vice-président du parti et cadre ayant conduit pratiquement toutes les listes du RCD pour les législatives dans la wilaya, n’est pas passée inaperçue. Il faut dire que la réunion intervient dans un moment marqué par des turbulences qui secouent localement le parti.

                      L’éviction de l’ex-bureau régional de Béjaïa, intervenue en mai dernier et l’installation du docteur Kessas à la tête d’une nouvelle équipe, a été suivie de remous au sein de la base militante. Qualifiant l’assistance nombreuse de bon augure, M. Boucetta est revenu sur la suspension puis l’exclusion de quatre ex-militants qui ont jugé utile de monter au créneau pour dénoncer « l’absence de débat interne » au niveau des structures du parti, lors d’un point de presse tenu dernièrement à Béjaïa. « Une action en justice pour diffamation sera intentée contre eux », informera-t-il l’assistance. Le débat que nombre de militants appréhendaient à cause de l’ambiance électrique qui avait précédé la tenue de cette conférence régionale fut passionné certes, mais s’est déroulé dans le calme. Certains militants n’y sont pas allés avec le dos de la cuillère pour dénoncer la politique de « l’exclusion » au sein du parti, l’étouffement des compétences, la hogra, allant même jusqu’à considérer cette conférence de « procès intenté au RCD de Béjaïa ». D’autres se sont par contre réjouis de la tenue de ce genre de rencontres permettant un vrai un débat démocratique synonyme de « mutation salutaire pour le RCD dans la wilaya ». La situation politique nationale a été passée en revue par les intervenants. M. Belabbas a évoqué le coup de force constitutionnel du 12 novembre en affirmant que « la violation de la Constitution a été votée à main levée au lieu qu’elle se fasse à bulletins secrets pour restreindre la liberté de décision aux éventuels récalcitrants ». M. Derguini résumera pour sa part l’activité parlementaire des députés du RCD et dénoncera la cabale médiatique orchestrée contre eux par l’ENTV, notamment suite « aux positions courageuses dérangeant le pouvoir, à l’image du pavé dans la mare jeté par Nouredine Aït Hamouda quant à l’affaire des faux moudjahidine ».

                      Par H. Aït El Djoudi - EL WATAN

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                      • #12
                        il suffit de faire une declaration de patrimoine depuis 1989 pour faire taire les mauvaises langues.. et cela devrait s appliquer du president jusqu a tout membre du parti ayant excerce' un post de responsablite' depuis 1989...
                        Bien sur si le RCD souhaite garder une quelconque credibilite'.
                        notez que je parle du RCD. je ne parle pas des partis algeriens lesquels on le sait sont tous corrompus. Oui, CORROMPUS.

                        :-)

                        M-n-M
                        Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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