Je viens de finir de lire le livre de Benchicou sur Bouteflika. Conclusions ? Belles tartufferies, me semble-t-il ! Pourquoi ? Ce n'est surtout pas que je pense que Bouteflika est un homme parfait ou qu'il n'ait pas de défauts. Non juste que ce qu'il lui reproche me semble trop teinté de subjectivité.
Tout semble lié aux relations qu'il aurait entretenu au sein du sérail algérien.
Tout semble lié à ses acrobaties dignes des meilleurs gymnastes pour toujours retomber sur ses pattes à chaque fois qu'il était éloigné pour une raison ou une autre de la première couche orbitale tournoyant autour d'un noyau dur décidément INDEFINISSABLE.
Tout semble lié aux relations charmantes qu'il aurait entretenu avec de non moins charmantes demoiselles, bien que cela relève de l'ordre privé des choses.
Tout semble lié à ses soit disant escapades à chaque fois plus inattendues alors qu'il était ministre aux MAE sous Boumediene.
Tout semble lié à la mystérieuse et légendaire protection dont il bénéficiait sous l'aile couveuse du même Boumediene.
Tout semble lié aux entourloupettes effectuées sous Chadli pour d'abord être lavé de tout soupçon concernant l'argent détourné du MAE alors qu'il en était le ministre et ensuite bénéficier de largesses pendant fin 80 (passeport diplomatique, salaire de fonctionnaire de l'état et que sais-je encore?).
Tout semble lié au prétendu mal psychologique dont il serait atteint, lequel mal aurait été engendré par 2 super phénomènes ( inexistants chez les sujets normaux ?) :
A- La soif impassible de toujours avoir un père ! Impassible dit benchicou, car son père aurait eu 2 épouses et que le temps qu'il passât avec le fils Boutef a été décrété insuffisant par Sir Benchicou converti en psychanalyste presque accompli.
B- "Autodidacte inaccompli" dit de lui le même Benchicou, ce qui pousse le même Boutef à parler, parler, et encore parler pour séduire tout auditoire qui daignerait lui prêter oreille !
Tout semble lié à son esprit revanchard qui l'aurait poussé à toujours rêver -même au pire de son soit disant isolement- à revenir aux affaires par le plus large des portillons - la présidence- pour prouver à qui l'aurait piqué que le venin n'en reviendra que plus mortel à son auteur.
Tout semble lié au caractère farfelu de l'authenticité de sa qualité de moudjahid ... parce qu'il n'aurait pas tiré une balle ... Il me semblait pourtant que Sir Benchicou était bien placé pour connaître la force des mots.
Tout semble lié à l'irrévérence impardonnable que Boutef commet à l'endroit de sa maman en la respectant, en la chérissant, et ... quelle horreur ... en l'appelant "el walida" -signe de soumission absolu selon Ben-
Et comble de l'ironie ... à qui Benchicou fait appel pour asséner ces coups de boutoirs -qui ne sont tout compte fait que des coups de chasse-papillon dans le vent- ? A des SOMMITéS -dixit de grands penseurs- de l'Algérie : Chadli, Nezzar, Chérif Belkacem, Benyelles, et j'en passe et des meilleurs ...
Je cite ghozali qui n'y va pas de main morte non plus.
Je cite un certain Abdekader Dehbi ... cet inélégant personnage fait des révélations à profusion - mariage de Boutef, consultation de voyante, etc ..- Et dire que Ben qualifie sir Dehbi d'AMI et de CONFIDENT de Boutef. Drôle de conception de l’amitié chez ces gens là! Si Dehbi est vraiment le confident de Boutef, et si ce qu'il dit est vrai il devrait méditer sur l'adage qui dit que ce qui s’assemble se ressemble ... Mais qui est Dehbil en vrai ? On ne retrouve pas sa trace dans la bibliographie en fin de manuscrit. Mystère.
Question à 1 Dinar bien algérien : Combien même les informations distillées par Ben tout au long de son réquisitoire fussent réelles -ce qui reste à prouver vu que l'honnêteté intellectuelle de Ben ne l'a pas poussé à chercher des témoins à décharge- cela empêche-t-il Boutef de construire aujourd'hui plus que ses détracteurs ne l'ont fait en autant sinon plus d'années ?
Au delà de tout j'aurai retenu une phrase révélatrice de Sir Benchicou dans son prologue non moins révélateur je cite "Ce livre peut paraître inachevé. Il l’est sans doute : l’impératif de le boucler avant l’échéance de l’élection présidentielle de 2004 a relégué au secondaire un surcroît d’élaboration dans l’écriture ainsi que des compléments de recherche qui auraient aboli certaines imprécisions"
Merci Ben de te soucier de la notion d'honnêteté et de prévenir le lecteur non averti. Je savais les amateurs de plume capables du pire comme du meilleur. Dans un cas comme dans l'autre, ils arrivent tant bien que mal, selon leur degré de probité et leur talent, à critiquer ou à être élogieux, sans verser dans l'invective ou faire dans la surenchère. Avis aux amateurs. Dont Sir Benchicou.
Sans rancune.
Neil
Tout semble lié aux relations qu'il aurait entretenu au sein du sérail algérien.
Tout semble lié à ses acrobaties dignes des meilleurs gymnastes pour toujours retomber sur ses pattes à chaque fois qu'il était éloigné pour une raison ou une autre de la première couche orbitale tournoyant autour d'un noyau dur décidément INDEFINISSABLE.
Tout semble lié aux relations charmantes qu'il aurait entretenu avec de non moins charmantes demoiselles, bien que cela relève de l'ordre privé des choses.
Tout semble lié à ses soit disant escapades à chaque fois plus inattendues alors qu'il était ministre aux MAE sous Boumediene.
Tout semble lié à la mystérieuse et légendaire protection dont il bénéficiait sous l'aile couveuse du même Boumediene.
Tout semble lié aux entourloupettes effectuées sous Chadli pour d'abord être lavé de tout soupçon concernant l'argent détourné du MAE alors qu'il en était le ministre et ensuite bénéficier de largesses pendant fin 80 (passeport diplomatique, salaire de fonctionnaire de l'état et que sais-je encore?).
Tout semble lié au prétendu mal psychologique dont il serait atteint, lequel mal aurait été engendré par 2 super phénomènes ( inexistants chez les sujets normaux ?) :
A- La soif impassible de toujours avoir un père ! Impassible dit benchicou, car son père aurait eu 2 épouses et que le temps qu'il passât avec le fils Boutef a été décrété insuffisant par Sir Benchicou converti en psychanalyste presque accompli.
B- "Autodidacte inaccompli" dit de lui le même Benchicou, ce qui pousse le même Boutef à parler, parler, et encore parler pour séduire tout auditoire qui daignerait lui prêter oreille !
Tout semble lié à son esprit revanchard qui l'aurait poussé à toujours rêver -même au pire de son soit disant isolement- à revenir aux affaires par le plus large des portillons - la présidence- pour prouver à qui l'aurait piqué que le venin n'en reviendra que plus mortel à son auteur.
Tout semble lié au caractère farfelu de l'authenticité de sa qualité de moudjahid ... parce qu'il n'aurait pas tiré une balle ... Il me semblait pourtant que Sir Benchicou était bien placé pour connaître la force des mots.
Tout semble lié à l'irrévérence impardonnable que Boutef commet à l'endroit de sa maman en la respectant, en la chérissant, et ... quelle horreur ... en l'appelant "el walida" -signe de soumission absolu selon Ben-
Et comble de l'ironie ... à qui Benchicou fait appel pour asséner ces coups de boutoirs -qui ne sont tout compte fait que des coups de chasse-papillon dans le vent- ? A des SOMMITéS -dixit de grands penseurs- de l'Algérie : Chadli, Nezzar, Chérif Belkacem, Benyelles, et j'en passe et des meilleurs ...
Je cite ghozali qui n'y va pas de main morte non plus.
Je cite un certain Abdekader Dehbi ... cet inélégant personnage fait des révélations à profusion - mariage de Boutef, consultation de voyante, etc ..- Et dire que Ben qualifie sir Dehbi d'AMI et de CONFIDENT de Boutef. Drôle de conception de l’amitié chez ces gens là! Si Dehbi est vraiment le confident de Boutef, et si ce qu'il dit est vrai il devrait méditer sur l'adage qui dit que ce qui s’assemble se ressemble ... Mais qui est Dehbil en vrai ? On ne retrouve pas sa trace dans la bibliographie en fin de manuscrit. Mystère.
Question à 1 Dinar bien algérien : Combien même les informations distillées par Ben tout au long de son réquisitoire fussent réelles -ce qui reste à prouver vu que l'honnêteté intellectuelle de Ben ne l'a pas poussé à chercher des témoins à décharge- cela empêche-t-il Boutef de construire aujourd'hui plus que ses détracteurs ne l'ont fait en autant sinon plus d'années ?
Au delà de tout j'aurai retenu une phrase révélatrice de Sir Benchicou dans son prologue non moins révélateur je cite "Ce livre peut paraître inachevé. Il l’est sans doute : l’impératif de le boucler avant l’échéance de l’élection présidentielle de 2004 a relégué au secondaire un surcroît d’élaboration dans l’écriture ainsi que des compléments de recherche qui auraient aboli certaines imprécisions"
Merci Ben de te soucier de la notion d'honnêteté et de prévenir le lecteur non averti. Je savais les amateurs de plume capables du pire comme du meilleur. Dans un cas comme dans l'autre, ils arrivent tant bien que mal, selon leur degré de probité et leur talent, à critiquer ou à être élogieux, sans verser dans l'invective ou faire dans la surenchère. Avis aux amateurs. Dont Sir Benchicou.
Sans rancune.
Neil
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