Les choses sérieuses commencent pour les candidats éventuels à la prochaine présidentielle. Le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales lance l’opération de retrait des formulaires de souscription de signatures.
Hormis le président du FNA, Moussa Touati, et le leader de Ahd 54, Faouzi Rebaïne, aucune autre figure politique n’a affiché sa volonté de prendre part à la prochaine course au palais d’El Mouradia. Un fait inédit. Jamais, depuis l’avènement du pluralisme politique, un scrutin présidentiel n’a suscité une telle indifférence chez les personnalités politiques nationales. La présidentielle de 2009 risque d’être avare en candidatures « de grande envergure ». Aucune « grosse pointure » n’a annoncé, pour le moment, sa volonté de prendre part à cette échéance. La levée de la limitation des mandats, à l’occasion du dernier amendement de la Constitution (12 novembre 2008) semble couper les appétits des uns et des autres qui ne veulent plus se contenter de jouer les lièvres durant cette consultation populaire. Autre fait qui serait également à l’origine de cette léthargie qui caractérise la scène politique nationale : le lancement d’une campagne électorale anticipée au profit du Président sortant. A moins que l’ancien président Liamine Zeroual se lance dans cette course à la dernière minute, le prochain rendez-vous électoral risque d’être une simple affaire… de « lapins ».
El Watan
Hormis le président du FNA, Moussa Touati, et le leader de Ahd 54, Faouzi Rebaïne, aucune autre figure politique n’a affiché sa volonté de prendre part à la prochaine course au palais d’El Mouradia. Un fait inédit. Jamais, depuis l’avènement du pluralisme politique, un scrutin présidentiel n’a suscité une telle indifférence chez les personnalités politiques nationales. La présidentielle de 2009 risque d’être avare en candidatures « de grande envergure ». Aucune « grosse pointure » n’a annoncé, pour le moment, sa volonté de prendre part à cette échéance. La levée de la limitation des mandats, à l’occasion du dernier amendement de la Constitution (12 novembre 2008) semble couper les appétits des uns et des autres qui ne veulent plus se contenter de jouer les lièvres durant cette consultation populaire. Autre fait qui serait également à l’origine de cette léthargie qui caractérise la scène politique nationale : le lancement d’une campagne électorale anticipée au profit du Président sortant. A moins que l’ancien président Liamine Zeroual se lance dans cette course à la dernière minute, le prochain rendez-vous électoral risque d’être une simple affaire… de « lapins ».
El Watan
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