C'est officiel : comme nous l'annoncions dès le 5 janvier, le RCD ne participera pas à la prochaine présidentielle. Le Conseil national extraordinaire du RCD, qui s'est réuni ce jeudi matin à Alger, a pris il y a quelques minutes plusieurs mesures. Parmi elles : le rejet des élections présidentielles d'avril prochain et le gel des activités publiques du parti. La formation de Saïd Sadi entend également alerter l'opinion publique nationale et internationale sur les conditions de déroulement du prochain scrutin dans lequel le président sortant part largement favori.
«La participation dans une telle compétition serait synonyme de compromission dans une opération d'humiliation nationale. Refuser de s'y impliquer est à la fois un devoir civique et une exigence de respect pour notre histoire. Refuser de se commettre dans ce pitoyable et dangereux cirque est autant affaire politique que de dignité », a notamment déclaré le Dr Sadi devant le Conseil national du RCD. L'élection présidentielle était le seul ordre du jour de ce conseil national extraordinaire du parti.
Le Conseil extraordinaire continue actuellement de débattre sur les modalités d'organisation du rejet de la présidentielle d'avril prochain. Mais une source interne au parti a indiqué à [tout-sur-l'algerie] que le RCD devrait geler ses activités publiques pendant au moins trois mois. Il pourrait également se retirer de toutes les instances élues dans lesquelles il siège : Assemblée nationale, communes...
«La participation dans une telle compétition serait synonyme de compromission dans une opération d'humiliation nationale. Refuser de s'y impliquer est à la fois un devoir civique et une exigence de respect pour notre histoire. Refuser de se commettre dans ce pitoyable et dangereux cirque est autant affaire politique que de dignité », a notamment déclaré le Dr Sadi devant le Conseil national du RCD. L'élection présidentielle était le seul ordre du jour de ce conseil national extraordinaire du parti.
Le Conseil extraordinaire continue actuellement de débattre sur les modalités d'organisation du rejet de la présidentielle d'avril prochain. Mais une source interne au parti a indiqué à [tout-sur-l'algerie] que le RCD devrait geler ses activités publiques pendant au moins trois mois. Il pourrait également se retirer de toutes les instances élues dans lesquelles il siège : Assemblée nationale, communes...
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