Tweet
Attendu par sa base militante au sujet des élections présidentielles d’avril prochain, afin qu’il détermine sa position même si elle était claire dès le départ, le parti du Front des forces socialistes, (FFS), a tranché définitivement la question pour ce scrutin. Evidemment, il appelle au boycott comme il l’a fait en 1999 et en 2004.
« On n’a pas à définir notre position vis-à-vis des prochaines élections, car la décision a été déjà prise lors des élections de 1999, elle est donc connue, le déclarer aujourd’hui est une simple formalité », a précisé le premier secrétaire national du FFS, M. Karim Tabbou, lors de l’ouverture de la session ordinaire du conseil national tenue jeudi dernier au siège du parti. C’était la dernière décision adoptée par le conseil après plus de quatre heures de débat. La résolution a été adoptée à main levée par la majorité des présents. Tous se sont déclarés pour un boycott actif et ce après avoir adopté tous les points « abordés » et soumis par le premier responsable du parti en l’absence de son chef charismatique Hocine Aït Ahmed .
M. Tabbou en faisant allusion aux organisations et associations civiles, a tiré à boulets rouges sur les « réseaux » qui « portent » la candidature du président. Karim Tabbou, qui ne fait pas l’unanimité au sein de la formation politique qu’il dirige par procuration, a développé son discours habituel en affirmant que «le silence est une lâcheté. Se croiser les bras est suicidaire. Ne pas faire de politique est la pire des politiques».
- MidiLibre
« On n’a pas à définir notre position vis-à-vis des prochaines élections, car la décision a été déjà prise lors des élections de 1999, elle est donc connue, le déclarer aujourd’hui est une simple formalité », a précisé le premier secrétaire national du FFS, M. Karim Tabbou, lors de l’ouverture de la session ordinaire du conseil national tenue jeudi dernier au siège du parti. C’était la dernière décision adoptée par le conseil après plus de quatre heures de débat. La résolution a été adoptée à main levée par la majorité des présents. Tous se sont déclarés pour un boycott actif et ce après avoir adopté tous les points « abordés » et soumis par le premier responsable du parti en l’absence de son chef charismatique Hocine Aït Ahmed .
M. Tabbou en faisant allusion aux organisations et associations civiles, a tiré à boulets rouges sur les « réseaux » qui « portent » la candidature du président. Karim Tabbou, qui ne fait pas l’unanimité au sein de la formation politique qu’il dirige par procuration, a développé son discours habituel en affirmant que «le silence est une lâcheté. Se croiser les bras est suicidaire. Ne pas faire de politique est la pire des politiques».
- MidiLibre