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Benflis, Saâdi et.....les «officiers traitants».

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    A te lire, on oublierait presque que Boutef est le poulain des généraux!
    Ce n’était pas le cas avant le 08 avril d’après le Matin , Liberté, Aslaoui et dilem.

    Je te défie de me trouver un article du Matin qui met les généraux et Boutef dans meme Sac.
    Rappel toi les prosternations de Benchicou et de Farid Allillat à chaque « pet » de Laâmari, pour peu qu’il vise Boutef quitte à déformer ses propos. Ainsi que les sollicitations à répétition à cette junte pour quelle barre la route à Boutef.

    La presse fait son travail certes, mais à force de verser dans la rumeur avec excès, elle a façonné une opinion publique biaisée qui a donné des résultats à l’inverse de ce quelle espérait.

    Le peuple n’est pas dupe, il s’est rangé du coté de la victime. :wink:

    Cette presse doit reconnaître son erreur de jugement pour qu’elle puisse retrouver sa crédibilité, c’est le Bea ba de la déontologie.

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  • nassim
    a répondu
    Envoyé par Aghlad
    Faut-il se résigner à croire comme disait RSF que « derrière chaque journal algérien un Général ou un Officier traitant».
    C'est marrant de te voir déchaîné dans ta danse du ventre à coups de citations de RSF alors que ton soutien à Boutef est ostensiblement pimenté!
    Tu passes plus de temps à critiquer la presse algérienne qui, après tout, ne fait qu'exercer son droit à la liberté d'expression; qu'à critiquer celui qui utilise illégalement les moyens de l'état pour verrouiller la liberté d'expression!
    A te lire, on oublierait presque que Boutef est le poulain des généraux!
    Faut y aller mollo avec la langue de bois, on est pas à l'APN!

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Effectivement, Benchicou découvre comme par enchantement qu’on ne peut pas instaurer une démocratie en s’appuyant sur une junte militaire et encore moins sur l’occident…. mauvaise foi ou mea-culpa tardive?

    Il parait que la ligne éditoriale des journaux privés est complètement bouleversée ces derniers jours. Ils ne savent plus sur quel pied danser les pauvres, ils ont trop misé sur un « printemps
    Démocratique » imposé par le bruit des chars et au mépris de la configuration socio-politique de l’Algerie profonde.

    Faut-il se résigner à croire comme disait RSF que « derrière chaque journal algérien un Général ou un Officier traitant». :shock:

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  • Avatar de « Invité »
    Invité a répondu
    Envoyé par Benchicou
    «Nous venons, en réalité, de briser une double innocence, tenace, perfide même : celle de croire que l'armée, comme l'Occident, est l'exécutante de nos caprices démocratiques
    ........drôle de langage pour un officier traitant ! :shock:

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  • Avatar de « Invité »
    Un invité a crée une discussion dans Benflis, Saâdi et.....les «officiers traitants».

    Benflis, Saâdi et.....les «officiers traitants».

    Extrait d’article (Les coulisses de la réélection de Bouteflika)
    Le Figaro
    Arezki Aït-Larbi

    (…) Pour conforter la légitimité d'une victoire annoncée dès le premier tour, l'intox des «officiers traitants» continue de brouiller les cartes. Dans les salons branchés de la capitale, le mythe des «généraux républicains qui vont sauver le pays des griffes du président, vendu aux islamistes du FIS» revient à la mode. Une manipulation au second degré qui encourage chroniqueurs sans talent et politiques sans troupes à voler dans les plumes du «tyran».
    «Cette fois, le scrutin sera régulier et transparent. Je jure par Dieu que Bouteflika ne passera pas !», claironne le laïque Saïd Sadi, durant la campagne électorale. Même lorsque le président avoue, lors d'un meeting électoral : «Je suis candidat au nom de l'armée», il est traité de «menteur, qui a usurpé le soutien de décideurs»

    A quelques semaines du scrutin, des missionnaires assiègent les ambassades occidentales. Se revendiquant des confidences de «personnalités militaires très haut placées», ils vont inlassablement répéter le même scénario : «Acculé par les urnes à un second tour, Bouteflika finira par jeter l'éponge. S'il résiste, il sera contraint, par la rue, à abandonner la partie.» Un mélange de légalité et de conspiration d'autant plus crédible qu'il rappelle les élections avortées de décembre 1991.

    «La veille du scrutin, Ali Benflis était reçu par le général Lamari, chef d'état-major, qui l'avait rassuré quant à sa victoire. Finalement, nous avons été dupés !», révèle, amer, un proche du candidat malheureux. Le soir du 8 avril, alors que la victoire d'Abdelaziz Bouteflika ne faisait plus de doute, Ali Benflis, Saïd Sadi et Abdellah Djaballah préparent la riposte. Mais il est déjà trop tard. «Un émissaire de l'état-major est venu pour les dissuader fermement de tout recours à la rue», révèle un responsable du RCD. Ce sentiment «d'avoir été dupés par les «gardiens de la République» est partagé par tous ceux qui avaient parié sur l'armée pour battre Abdelaziz Bouteflika. Mohamed Benchicou, le directeur du quotidien Le Matin qui a traqué durant cinq ans les frasques du clan présidentiel, conclut avec lucidité : «Nous venons, en réalité, de briser une double innocence, tenace, perfide même : celle de croire que l'armée, comme l'Occident, est l'exécutante de nos caprices démocratiques.»
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