L’Algérie vient de tourner une page importante de son histoire avec l’élection présidentielle du 9 avril 2009 pour en inscrire une nouvelle. C’est après des semaines d’une campagne électorale incomparable que le peuple algérien, en toute souveraineté, a choisi son Président de la République. C’est parmi les 6 candidats qu’il a pu opérer son choix sur de bases objectives. Les six candidats ont fait honneur à la démocratie en jouant le jeu et en affrontant les citoyens. Ils ont dépensé des efforts de persuasion, d’écoute... pour exposer leur programme, leur vision et leur capacité à diriger le pays. Durant trois semaines, l’Algérie a vécu au diapason de la campagne électorale. Le monde entier a pu apprécier le degré de maturité de la démocratie dans notre pays et les assises solides et pérennes de l’Etat de droit. Dans toute élection, il y a des vainqueurs et des vaincus. Cela est encore plus vrai pour les élections présidentielles. Cela ne veut pas dire que les vaincus ont démérité. Bien au contraire, car ils ont pu s’adresser à la nation tout entière. Ils ont acquis une place très honorable sur l’échiquier politique national. C’est un atout considérable pour toute formation politique et, par voie de conséquence, pour ses dirigeants.
Mais, surtout, c’est l’Algérie qui gagne, car sa démocratie en sort grandie et l’Etat de droit consolidé. C’est maintenant que le peuple va vivre au quotidien les promesses et les engagements du Président élu à une forte majorité, M. Abdelaziz Bouteflika. Fort de sa légitimité depuis 1999, il va s’atteler à poursuivre le projet national de développement. C’est un projet grandiose, car son achèvement nécessite avant tout la stabilité et la sécurité. Stabilité, car un tel projet s’inscrit dans la durée. Il nécessite une feuille de route claire, cohérente et stable. C’est cela la stabilité, car le chantier Algérie doit être parachevé dans les délais et dans d’excellentes conditions matérielles, financières et sociales. Un tel projet de développement exige la sécurité. C’est de la redondance que d’affirmer une telle assertion. Sans la paix, la sécurité et la cohésion sociale, il est impossible de prétendre lutter efficacement contre le sous-développement, cette lutte contre un tel fléau est incontournable pour améliorer les conditions de vie quotidiennes des citoyens.
L’Algérie va donc poursuivre, avec sérénité et détermination, sa voie dans le développement, d’une part, et consolider sa place et son rôle sur la scène internationale, d’autre part. L’effet Bouteflika est une réalité.
Source El Moujahid.
Mais, surtout, c’est l’Algérie qui gagne, car sa démocratie en sort grandie et l’Etat de droit consolidé. C’est maintenant que le peuple va vivre au quotidien les promesses et les engagements du Président élu à une forte majorité, M. Abdelaziz Bouteflika. Fort de sa légitimité depuis 1999, il va s’atteler à poursuivre le projet national de développement. C’est un projet grandiose, car son achèvement nécessite avant tout la stabilité et la sécurité. Stabilité, car un tel projet s’inscrit dans la durée. Il nécessite une feuille de route claire, cohérente et stable. C’est cela la stabilité, car le chantier Algérie doit être parachevé dans les délais et dans d’excellentes conditions matérielles, financières et sociales. Un tel projet de développement exige la sécurité. C’est de la redondance que d’affirmer une telle assertion. Sans la paix, la sécurité et la cohésion sociale, il est impossible de prétendre lutter efficacement contre le sous-développement, cette lutte contre un tel fléau est incontournable pour améliorer les conditions de vie quotidiennes des citoyens.
L’Algérie va donc poursuivre, avec sérénité et détermination, sa voie dans le développement, d’une part, et consolider sa place et son rôle sur la scène internationale, d’autre part. L’effet Bouteflika est une réalité.
Source El Moujahid.
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