En Algérie, les parents actifs ont souvent du mal à trouver la perle rare quand ils se mettent à la recherche d’une personne pour garder leur enfant. Bébé ou enfant, scolarisé ou pas, les possibilités de garde d’enfants à Tizi-Ouzou ne sont pas très importantes, en dehors des nombreuses crèches qui pullulent ça et là dans la ville des Genêts.
Mais les parents ne sont pas toujours attirés par les crèches et préfèrent qu’on s’occupe individuellement de leur petit "Boutchou" alors que dans une crèche il aura les mêmes égards que les autres enfants. Une fois que le choix est fait, il reste à choisir entre le mode de garde. En effet, on peut déposer l’enfant chez la nounou ou engager une personne à domicile. Dans la première option, on tombe dans le même piège qu’au niveau des crèches. La nounou qui s’occupe de plusieurs bébés ne se consacrera pas entièrement à un enfant au dépend d’un autre. Et puis avec la définition que l’on se fait de la nourrice chez nous, il ne faut pas s’attendre à ce que votre enfant brille de mille feux à la fin de la journée. Les nourrices, généralement non qualifiées, prennent en charge plusieurs enfants et ne se consacrent pas qu’à leur "métier".
Elles vaquent, généralement, à leurs occupations quotidiennes comme à leur habitude, négligeant dans la plupart des cas les enfants qui leur sont confiés. Elles sont généralement aidées par leurs filles, sans formation et sans qualification, elles aussi. Et c’est là où réside le problème. Les nourrices se basant, généralement, sur leur expérience personnelles, étant mamans elles aussi dans la plupart des cas, s’engagent à prendre en charge des enfants sans aucune qualification professionnelle ni encadrement juridique à même de les protéger en cas d’imprévues de dernière minute. Parce que des pépins il en existe et par milliers.
Le cas de Zakia, 35 ans, maman de deux enfants nous le confirmera certainement : "Etant obligée de travailler, j’ai toujours confié mes enfants à des nourrices. Je vivais à la haute ville et là-bas j’avais une nourrice exceptionnelle. Elle ne gardait que mes enfants et ne faisait que ça. C’était une voisine qui adorait mes deux petits au point de me demander pour qu’ils passent la nuit quand ils lui manquaient les week-ends où je m’occupai d’eux. Ses filles étaient également aux petits soins avec mes gosses.
J’ai malheureusement dû déménager et cela me faisait faire des détours incroyables pour les déposer chez elle. J’ai dû les lui retirer. C’était dur pour elle. Pour être sûr que mes enfants se sentiraient bien, j’ai opté pour une nounou à domicile. Je voulais mettre à l’aise mes enfants en leur offrant le confort auquel ils se sont habitués et leurs propres repères. Après l’école, la nounou n’avait qu’à les amener à la maison et me les garder jusqu’à mon retour.
Résultat ? Après quatre mois de travail, je me suis rendue compte que mes enfants étaient négligés. Ils mangeaient mal, étaient tout le temps sales sans parler du langage qu’ils ont commencé à acquérir. Mes enfants, malgré leur âge, me disaient que la nounou ne faisait rien de la journée et passait son temps à regarder la télé et à téléphoner. Mon mari et moi avions décidé de faire des "visites surprises". On a confirmé les dires de nos enfants. On a trouvé une nounou qui se fourrait dans le fauteuil et qui sursautait aux moindres bruits des clefs. Et à la fin du trimestre, nous avons dû débourser une fortune pour la facture du téléphone", nous raconte Zakia qui n’en est pas à sa dernière histoire avec les nounous. Comme il fallait absolument trouver quelqu’un pour garder ses enfants, elle a opté, dans l’urgence, de faire comme tous les parents des camarades de ses deux enfants. Elle a été conseillée par une parente d’élève qu’elle croisait souvent devant l’école, quand elle avait la possibilité d’aller chercher ses enfants. Cette dernière lui avait parlé d’une nourrice qui gardait les enfants après l’école. Elle s’occupait même d’aller les chercher à la sortie des cours.
Zakia qui n’avait pas trop le choix après avoir viré la pseudo nounou qu’elle avait engagée à domicile, a cru faire le bon choix d’autant que les nombreuses femmes qu’elle croise devant l’école ne disent que du bien de la fameuse nounou. Les trois premières semaines se sont écoulées sans le moindre problème, hormis les histoires des goûters et autres jouets qui disparaissaient dans la nature. Mais ça Zakia s’y attendait un peu et y a remédié en doublant les rations. Un jour que Zakia est passée pendre ses mômes à la sortie du travail, elle a découvert une petite mine au cadet.
La nounou a tout fait pour la rassurer en omettant juste de dire un petit détail à la maman. Le petit cadet s’est fait brûler dans la journée et aucun soin ne lui a été procuré. Alors qu’elle servait le café, le petit lui ai rentré dedans et s’est fait verser toute la carafe de lait sur la tête. Cet "incident" Zakia l’a découvert toute seule. La nounou n’a même pas pris la peine de l’en informer ni de nettoyer les cheveux du petit. C’est en passant la main dans les cheveux de son fils, déjà brûlant de fièvre, que Zakia s’est rendue compte que quelque chose n’allait pas. Seulement au lieu de déposer plainte ou d’intenter quoi que ce soit contre cette femme qui n’avait rien d’une baby sitter ni d’un être humain, Zakia s’est contentée de lui faire de "la mauvaise publicité" à l’école. ce qui a incité toutes les mamans à lui retirer leurs enfants. Mais c’est bien tout. Cette femme trouvera certainement d’autres enfants à garder — plutôt à blesser — parce qu’elle est sortie indemne d’une bavure aussi grave que celle de brûler un enfant et de ne pas lui apporter assistance. Même si l’acte en lui-même était accidentel et serait arrivé à la plus vigilante des mamans même, le fait de l’avoir dissimulé est un crime, selon Zakia. Cette dernière a, longtemps, gardé ses enfants dans son lieu de travail, étant donné qu’elle travaille à son compte, elle vient juste de placer ses enfants en crèche pour la pause de midi et les heures où elle ne peut s’occuper d’eux. Son milieu de travail, même si c’était une bonne solution pour un moment ne pouvait pas être une solution définitive. Zakia qui n’a pas le choix, étant engagée avec son mari dans l’achat d’un logement et bien d’autres crédits, aurait souhaité se consacrer à ses enfants, notamment quand ils étaient bébés. Elle envie les femmes qui ont la possibilité de le faire.
Hayet en fait partie : Son mari, bien installé, prend en charge toutes les responsabilités financières du foyer pour permettre à sa femme de se consacrer à leur unique enfant, de 19 mois. "Nous n’avons mis la grossesse en route que quand on s’est sentis prêts financièrement. On s’est entraidés pour mettre ma petite entreprise sur pied. Une fois ceci fait, nous avons pensé à réaliser notre rêve le plus cher : avoir un enfant. Ma femme s’en occupe depuis sa naissance. Elle le fait merveilleusement bien. Arrêter le travail après l’accouchement était son choix. Et je l’ai approuvé aussitôt qu’elle l’a proposé. Il était hors de question pour elle que notre enfant soit négligé ou maltraité pour quelques sous de plus", nous raconte Djamel, le mari de Hayet.
Des enfants maltraités ? Oui il s’en trouve des nourrices qui malmènent les enfants.
Et c’est malheureux d’en arriver là. En dehors de la conscience de tout un chacun, l’absence d’un cadre légal qui régit cette "profession" est derrière tout abus. Sous d’autres cieux les baby sitters sont soumises, et soumis - parce qu’il existe des baby sitters hommes aussi - à une réglementation très rigide. Ils ont des droits et devoirs définis et font partie d’organismes et institutions spécialisés. Des lois régissent leur profession et les protègent en cas de pépin ou d’abus et ils payent leurs taxes comme tout employé. Avant de se lancer dans un tel job, une formation spécifique et même une formation aux premiers secours sont souvent exigées. S’occuper corps et âme des enfants est le moindre des critères exigés chez une nounou : L’hygiène, les câlins et les différents moyens de divertissements font partie de cette exigence. Ce serait la moindre des choses. Seulement on a souvent affaire à des nounous qui ne respectent aucun engagement. A la crèche, elles sont souvent en groupe à discuter entre elles de tout et de rien, négligeant, livrant souvent les enfants à eux-mêmes avec tous les risques d’accidents qui peuvent survenir. On ne laisse jamais des enfants jouer seuls, sans surveillance.
Pour Sabrina, 35 ans : "Mon fils s’est fait retirer un objet de son oreille sous anesthésie générale, à cause de la négligence des nounous à la crèche".
Les nounous à domicile sont, notamment quand elles sont très jeunes, plutôt branchées télé ou téléphone. Elles sont également, dans certains cas, indiscrètes et ne respectent nullement l’intimité et la vie privée de la famille, fouillant un peu partout et se permettant d’utiliser les objets et autres effets des propriétaires, même les plus personnels, sans aucune autorisation.
C’est le cas de Samira qui a surpris la nounou de sa fille en train de défiler avec ses propres effets vestimentaires, alors qu’elle rentrait plus tôt que d’habitude : "J’avais remarqué que mon armoire n’était jamais au même état de rangement que je la laissais, à mon retour du travail. Tout le monde m’avait conseillé de fermer ma chambre à clef. Je n’ai pas osé le faire. J’ai eu malheureusement tort. La nounou de ma fille ne s’est pas contentée de faire des essayages, ce qui est déjà grave à mes yeux, elle s’est même permise de glisser quelques effets dans son sac. Je ne me suis pas rendue compte au départ. Mais un jour j’ai remarqué la disparition de plusieurs effets, de mon mari notamment, alors j’ai décidé de la fouiller. Je n’ai bien sûr pas osé le faire, au départ, par peur de la blesser.
Mais les parents ne sont pas toujours attirés par les crèches et préfèrent qu’on s’occupe individuellement de leur petit "Boutchou" alors que dans une crèche il aura les mêmes égards que les autres enfants. Une fois que le choix est fait, il reste à choisir entre le mode de garde. En effet, on peut déposer l’enfant chez la nounou ou engager une personne à domicile. Dans la première option, on tombe dans le même piège qu’au niveau des crèches. La nounou qui s’occupe de plusieurs bébés ne se consacrera pas entièrement à un enfant au dépend d’un autre. Et puis avec la définition que l’on se fait de la nourrice chez nous, il ne faut pas s’attendre à ce que votre enfant brille de mille feux à la fin de la journée. Les nourrices, généralement non qualifiées, prennent en charge plusieurs enfants et ne se consacrent pas qu’à leur "métier".
Elles vaquent, généralement, à leurs occupations quotidiennes comme à leur habitude, négligeant dans la plupart des cas les enfants qui leur sont confiés. Elles sont généralement aidées par leurs filles, sans formation et sans qualification, elles aussi. Et c’est là où réside le problème. Les nourrices se basant, généralement, sur leur expérience personnelles, étant mamans elles aussi dans la plupart des cas, s’engagent à prendre en charge des enfants sans aucune qualification professionnelle ni encadrement juridique à même de les protéger en cas d’imprévues de dernière minute. Parce que des pépins il en existe et par milliers.
Le cas de Zakia, 35 ans, maman de deux enfants nous le confirmera certainement : "Etant obligée de travailler, j’ai toujours confié mes enfants à des nourrices. Je vivais à la haute ville et là-bas j’avais une nourrice exceptionnelle. Elle ne gardait que mes enfants et ne faisait que ça. C’était une voisine qui adorait mes deux petits au point de me demander pour qu’ils passent la nuit quand ils lui manquaient les week-ends où je m’occupai d’eux. Ses filles étaient également aux petits soins avec mes gosses.
J’ai malheureusement dû déménager et cela me faisait faire des détours incroyables pour les déposer chez elle. J’ai dû les lui retirer. C’était dur pour elle. Pour être sûr que mes enfants se sentiraient bien, j’ai opté pour une nounou à domicile. Je voulais mettre à l’aise mes enfants en leur offrant le confort auquel ils se sont habitués et leurs propres repères. Après l’école, la nounou n’avait qu’à les amener à la maison et me les garder jusqu’à mon retour.
Résultat ? Après quatre mois de travail, je me suis rendue compte que mes enfants étaient négligés. Ils mangeaient mal, étaient tout le temps sales sans parler du langage qu’ils ont commencé à acquérir. Mes enfants, malgré leur âge, me disaient que la nounou ne faisait rien de la journée et passait son temps à regarder la télé et à téléphoner. Mon mari et moi avions décidé de faire des "visites surprises". On a confirmé les dires de nos enfants. On a trouvé une nounou qui se fourrait dans le fauteuil et qui sursautait aux moindres bruits des clefs. Et à la fin du trimestre, nous avons dû débourser une fortune pour la facture du téléphone", nous raconte Zakia qui n’en est pas à sa dernière histoire avec les nounous. Comme il fallait absolument trouver quelqu’un pour garder ses enfants, elle a opté, dans l’urgence, de faire comme tous les parents des camarades de ses deux enfants. Elle a été conseillée par une parente d’élève qu’elle croisait souvent devant l’école, quand elle avait la possibilité d’aller chercher ses enfants. Cette dernière lui avait parlé d’une nourrice qui gardait les enfants après l’école. Elle s’occupait même d’aller les chercher à la sortie des cours.
Zakia qui n’avait pas trop le choix après avoir viré la pseudo nounou qu’elle avait engagée à domicile, a cru faire le bon choix d’autant que les nombreuses femmes qu’elle croise devant l’école ne disent que du bien de la fameuse nounou. Les trois premières semaines se sont écoulées sans le moindre problème, hormis les histoires des goûters et autres jouets qui disparaissaient dans la nature. Mais ça Zakia s’y attendait un peu et y a remédié en doublant les rations. Un jour que Zakia est passée pendre ses mômes à la sortie du travail, elle a découvert une petite mine au cadet.
La nounou a tout fait pour la rassurer en omettant juste de dire un petit détail à la maman. Le petit cadet s’est fait brûler dans la journée et aucun soin ne lui a été procuré. Alors qu’elle servait le café, le petit lui ai rentré dedans et s’est fait verser toute la carafe de lait sur la tête. Cet "incident" Zakia l’a découvert toute seule. La nounou n’a même pas pris la peine de l’en informer ni de nettoyer les cheveux du petit. C’est en passant la main dans les cheveux de son fils, déjà brûlant de fièvre, que Zakia s’est rendue compte que quelque chose n’allait pas. Seulement au lieu de déposer plainte ou d’intenter quoi que ce soit contre cette femme qui n’avait rien d’une baby sitter ni d’un être humain, Zakia s’est contentée de lui faire de "la mauvaise publicité" à l’école. ce qui a incité toutes les mamans à lui retirer leurs enfants. Mais c’est bien tout. Cette femme trouvera certainement d’autres enfants à garder — plutôt à blesser — parce qu’elle est sortie indemne d’une bavure aussi grave que celle de brûler un enfant et de ne pas lui apporter assistance. Même si l’acte en lui-même était accidentel et serait arrivé à la plus vigilante des mamans même, le fait de l’avoir dissimulé est un crime, selon Zakia. Cette dernière a, longtemps, gardé ses enfants dans son lieu de travail, étant donné qu’elle travaille à son compte, elle vient juste de placer ses enfants en crèche pour la pause de midi et les heures où elle ne peut s’occuper d’eux. Son milieu de travail, même si c’était une bonne solution pour un moment ne pouvait pas être une solution définitive. Zakia qui n’a pas le choix, étant engagée avec son mari dans l’achat d’un logement et bien d’autres crédits, aurait souhaité se consacrer à ses enfants, notamment quand ils étaient bébés. Elle envie les femmes qui ont la possibilité de le faire.
Hayet en fait partie : Son mari, bien installé, prend en charge toutes les responsabilités financières du foyer pour permettre à sa femme de se consacrer à leur unique enfant, de 19 mois. "Nous n’avons mis la grossesse en route que quand on s’est sentis prêts financièrement. On s’est entraidés pour mettre ma petite entreprise sur pied. Une fois ceci fait, nous avons pensé à réaliser notre rêve le plus cher : avoir un enfant. Ma femme s’en occupe depuis sa naissance. Elle le fait merveilleusement bien. Arrêter le travail après l’accouchement était son choix. Et je l’ai approuvé aussitôt qu’elle l’a proposé. Il était hors de question pour elle que notre enfant soit négligé ou maltraité pour quelques sous de plus", nous raconte Djamel, le mari de Hayet.
Des enfants maltraités ? Oui il s’en trouve des nourrices qui malmènent les enfants.
Et c’est malheureux d’en arriver là. En dehors de la conscience de tout un chacun, l’absence d’un cadre légal qui régit cette "profession" est derrière tout abus. Sous d’autres cieux les baby sitters sont soumises, et soumis - parce qu’il existe des baby sitters hommes aussi - à une réglementation très rigide. Ils ont des droits et devoirs définis et font partie d’organismes et institutions spécialisés. Des lois régissent leur profession et les protègent en cas de pépin ou d’abus et ils payent leurs taxes comme tout employé. Avant de se lancer dans un tel job, une formation spécifique et même une formation aux premiers secours sont souvent exigées. S’occuper corps et âme des enfants est le moindre des critères exigés chez une nounou : L’hygiène, les câlins et les différents moyens de divertissements font partie de cette exigence. Ce serait la moindre des choses. Seulement on a souvent affaire à des nounous qui ne respectent aucun engagement. A la crèche, elles sont souvent en groupe à discuter entre elles de tout et de rien, négligeant, livrant souvent les enfants à eux-mêmes avec tous les risques d’accidents qui peuvent survenir. On ne laisse jamais des enfants jouer seuls, sans surveillance.
Pour Sabrina, 35 ans : "Mon fils s’est fait retirer un objet de son oreille sous anesthésie générale, à cause de la négligence des nounous à la crèche".
Les nounous à domicile sont, notamment quand elles sont très jeunes, plutôt branchées télé ou téléphone. Elles sont également, dans certains cas, indiscrètes et ne respectent nullement l’intimité et la vie privée de la famille, fouillant un peu partout et se permettant d’utiliser les objets et autres effets des propriétaires, même les plus personnels, sans aucune autorisation.
C’est le cas de Samira qui a surpris la nounou de sa fille en train de défiler avec ses propres effets vestimentaires, alors qu’elle rentrait plus tôt que d’habitude : "J’avais remarqué que mon armoire n’était jamais au même état de rangement que je la laissais, à mon retour du travail. Tout le monde m’avait conseillé de fermer ma chambre à clef. Je n’ai pas osé le faire. J’ai eu malheureusement tort. La nounou de ma fille ne s’est pas contentée de faire des essayages, ce qui est déjà grave à mes yeux, elle s’est même permise de glisser quelques effets dans son sac. Je ne me suis pas rendue compte au départ. Mais un jour j’ai remarqué la disparition de plusieurs effets, de mon mari notamment, alors j’ai décidé de la fouiller. Je n’ai bien sûr pas osé le faire, au départ, par peur de la blesser.
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