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Béchar:sur les traces des narcotraficants.

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  • #16
    En algérie, on traque surtout les cultivateurs , des cultures sont découvertes et détruites, les auteurs arrétés.On ne pourchasse pas seulement les traficants.h'chicha et ses compéres, donnent tjrs dans le negatif.
    VISA

    Toi aussi tu t'es rendu compte que notre ami ouaddane et layoune, ne sont qu'uneseule et même personne
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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    • #17
      Il faut que tu arretes d'urgence le karkoubi!!!!!!!!!!!!
      EH bien arretez de nous le ramener dans notre pays, ce fléau detruit la jeunesse marocaine, et le cannabis c'est un verre de thé comparé aux effets du karkoubi, nous qui avons de quoi nous plaindre nous ne le faisont pas, et vous vous n'arretez pas de poster des articles sur le cannabis, alors que les effets du cannabis ne sont pas comparable a ceux du karkoubi.

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      • #18
        Ouadane:layounne

        Je viens de lire le topic sur les manifs des sahraouis, tu parles du 78, donc celame conforte dans mes deductions, tu sors par la fenêtre ,tu reviens par un trou de souris.
        Et Mantes la Jolie, toujours aussi effervescente? Dire que tu racontais que tu habitais Layoune (so)!!!!!!

        les effets du cannabis, ne sont pas comparables a ceux du karkoubi.
        Pourquoi tu en prends souvent des 2 produits ???
        " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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        • #19
          Les services de sécurité y ont déjà découvert, auparavant, plusieurs plantations de ce genre.
          Auscasa mon ami, à ta place je n'aurais pas posté un tel article dans ce topic, puisque il est ridicule, s'agissant du Maroc, grand producteur et exportateur de la drogue dans le monde et le premier en Afrque!

          Tu as certainement noté que ces jardins découverts par nos services secrets étaient bien cachés, et il a suffit à nos services qu'ils les découvre qu'ils sont tout de suite detruits! Contrairement aux immenses champs marocains à usage industriel destiné à l'exportation, c'est vraiment ridicule d' parler ici de petits jardins à Adrar pour justifier la drogue du Maroc et cacher le Soleil par un tamis!

          C'est comme si tu voulais justifier la culture industrielle du Canabis marocain à des petits jardins à usage individuel dans certains KSours d'Adrar!!

          Faut arrêter avec ces justifications débiles! Le Maroc doit agir, il doit collaborer avec les autorités algériennes pour mettre fin à ce graffic vers notre pays!
          Dernière modification par TAGHITI, 28 avril 2009, 19h38.

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          • #20
            EH bien arretez de nous le ramener dans notre pays, ce fléau detruit la jeunesse marocaine,
            Ouadane Nenni !
            la grande quantité des psychos consommés au Maroc fabriqués par des usines marocaines . ??
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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            • #21
              Ouadane:layounne

              Je viens de lire le topic sur les manifs des sahraouis, tu parles du 78, donc celame conforte dans mes deductions, tu sors par la fenêtre ,tu reviens par un trou de souris.
              Et Mantes la Jolie, toujours aussi effervescente? Dire que tu racontais que tu habitais Layoune (so)!!!!!!

              les effets du cannabis, ne sont pas comparables a ceux du karkoubi.
              Pourquoi tu en prends souvent des 2 produits ???
              Alors moi deja j'habite le 93, saint denis plus precisement ensuite je parlais des mecs qui dansent dans la video de la manif et j'ai dis que j'avais deja discuté avec eux sur paltalk et qu'ils sont du 78.
              Enfin je n'habite ni laayoune ni j'en suis originaire, j'habite en france.
              Donc merci de ne plus me souler avant que je me plaigne a un moderateur, sa vire a la persecution la.

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              • #22
                La déferlante ne touche pas que l'Algérie
                Nouveau cadeau du Maghreb : le cannabis marocain déferle sur la France
                Wednesday 29 April 2009 |

                29/04/2009 – 10h00

                PARIS (NOVOpress) – Un nouveau trafic de cannabis entre le Maroc et la France a été découvert le 28 avril par la brigade des stupéfiants qui a mis la main sur une demi-tonne de résine de cannabis. La drogue marocaine a été saisie dans une fourgonnette en région parisienne.

                Au mois de février dernier, 1,3 tonne de résine de cannabis avait été saisie cette fois à Paris. Sur le marché parisien, le kilo de résine de cannabis est estimé à la revente entre 1 500 et 2 000 euros. De quoi largement dynamiser les trafics dans les nombreuses zones de non droit de l’Ile-de-France. Environ 80% du cannabis en vente sur le marché français vient du Maroc.

                Depuis ce pays du Maghreb, le « shit » est expédié par camions mais surtout grâce à de grosses berlines, chargées à bloc de drogues, remontant à très grande vitesse les autoroutes depuis le sud de l’Espagne vers les principales villes françaises. Les trafiquants de drogue sont aussi de chauds partisans de la mondialisation…

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                • #23
                  Béchar: Plus de onze tonnes de kif saisies en un trimestre

                  Plus de 11 396 kg de kif traité ont été saisis, au cours du premier trimestre de l’année en cours par les éléments des gardes frontières (GGF) relevant du 3e commandement régional de la gendarmerie nationale de Béchar.

                  Cette importante quantité de drogue (kif) représente le triple de la quantité saisie au cours de la même période de l’année 2008. L’origine de cette marchandise serait marocaine. En effet, toute la quantité de drogue saisie par les gendarmes a été effectuée près de la bande frontalière, entre l’Algérie et le Maroc.

                  Selon le premier responsable de la gendarmerie de cette région du sud-ouest du pays, cette importante saisie est due au renforcement du dispositif mis en place, à l’occupation du terrain par les éléments de ce corps de sécurité, au renforcement du dispositif de surveillance du tracé frontalier distant de 2 570 km et à l’engagement des gendarmes. Il a aussi déclaré que la surveillance électronique est en phase de préparation pour faire face aux nouvelles techniques utilisées par les réseaux internationaux de trafic.

                  Aussi, le commandant régional de la gendarmerie de Béchar a souligné que cette région du sud du pays est devenue une zone de transit vu la grande quantité de kif traité au cours de ces derniers mois (25 tonnes en 2008) par les éléments de la gendarmerie nationale qui maîtrisent mieux le relief. Notons que pour mettre fin aux réseaux organisés de trafic de drogue qui utilisent des moyens de communication sophistiqués (GPS, portable) la gendarmerie nationale a créé plusieurs unités GGF dynamiques, dont les éléments effectuent des barrages fixes et mobiles et des patrouilles. Par ailleurs, les gendarmes de cette région frontalière du pays font face, ces dernières années, aux drogues produites localement. En effet, plusieurs plantations d’opium et de résine de cannabis ont été découvertes par les gendarmes dans la région d’Adrar.

                  Dans ces lieux, les éléments des brigades de ce corps de sécurité ont saisi 1 246 plants d’opium, 349 plants de résine de cannabis ainsi que 200 grammes de graines d’opium dans quatre plantations à Ksar Taghent dans la commune de Timimoun. Pour mettre un terme à ce fléau qui met en danger notre jeunesse, une coopération entre l’Algérie, le Maroc et la Tunisie ainsi que le peuplement de la bande frontalière entre les deux pays sont nécessaires.

                  Liberté

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                  • #24
                    Guerre totale contre les trafiquants de drogue

                    Les convois des narcotrafiquants hantent le Sud-Ouest

                    Les GGF de Béchar et Tindouf déterminés à gagner la guerre

                    Plusieurs confrontations ont eu lieu ces derniers mois à Oued Kaïbet comme à Tabelbala entre les GGF et des groupes de narcotrafiquants munis d’armes sophistiqués. En effet, plus de dix tonnes de cannabis, des kalachnikovs, des grenades et des Toyota Station ont été saisis. Le sang des deux gendarmes tués récemment sur le champ de bataille n’a fait qu’augmenter la détermination des GGF à gagner la guerre contre ce nouveau terrorisme. La quantité de drogue saisie par les gendarmes au niveau national depuis janvier a dépassé les 37 tonnes.

                    Etre le voisin immédiat du pays producteur majeur de résine de cannabis destiné à l’exportation vers plusieurs pays, ne pourra que rendre la défense des frontières une mission incroyable sur plus de 1 000 km de désert. L’activité criminelle transfrontalière semble passer à une vitesse supérieure ces trois dernières années que ce soit en matière de quantité de marchandises, d’activité des réseaux internationaux ou en matière de moyens matériels et le mode opératoire des criminels. Ces derniers sont passés des kilogrammes dans des sac à dos et sur des bêtes de somme à des tonnes de kif transportés à bord des dernières générations de Toyota Station. Ils ne passent plus individuellement mais en convois de quatre à huit véhicules. Ils sont passés des fusils de chasse à des pistolets automatiques puis des kalachnikovs, des grenades, des téléphones satellitaires… Le kif marocain tente de passer coûte que coûte vers les pays européens et du Moyen-Orient via l’Algérie. Les GGF sont devenus, en effet, le premier mur de sécurité pour plusieurs pays menacés par la drogue et doivent assurer cette mission en dépit de la difficulté des zones frontalières et les moyens limités par rapport aux proportions du problème et ils ont réussi jusque-là à faire avorter les plus grandes tentatives des narcotrafiquants marocains et multinationaux.

                    Un accrochage et une saisie de 4,1 tonnes de kif vendredi dernier
                    Depuis la fin de l’année dernière, le nombre de confrontations entre les GGF et les groupes de narcotrafiquants armés s’est multiplié, notamment au niveau de Tindouf et Béchar. Pas plus tard que vendredi dernier, vers 3h du matin, Oued Kaïbet a été le théâtre d’un accrochage entre les éléments du 9e et 10e GGF en embuscade et un convoi de quatre Toyota Station. Dimanche dernier, nous nous sommes rendus aux frontières algéro-marocaines au niveau de la wilaya de Béchar afin de rapporter les réalités du terrain en compagnie des gardes frontières. Après des heures de trajet à travers des pistes et terrains accidentés, nous sommes arrivés dans l’après-midi sur les lieux des confrontations. Sous un soleil brûlant et une température de plus de 35 degrés, différents escadrons de GGF étaient mobilisés dans des embuscades.

                    «Nous étions en embuscade dans la soirée de jeudi à vendredi quand nous avons entendu les moteurs des véhicules venant avec une vitesse inimaginable de l’autre côté de la frontière dans un noir absolu et toute lumière éteinte. Nous n’avions que quelques secondes pour se mettre dans la position de l’attaque, à savoir, que les malfaiteurs sont tout le temps armés. Dès qu’ils nous ont aperçus, ils ont procédé à des tirs d’alarme et tenté de forcer le dispositif en tirant dans tous les sens, heureusement qu’aucun de nos éléments n’a été touché. L’accrochage a duré quelques minutes mais en dirait quelques secondes seulement, tellement que c’était chaud et rapide», nous raconte le capitaine, chef de l’escadron qui a intervenu avec une quarantaine de ses éléments. «Trois véhicules ont été immobilisés alors que le quatrième a riposté en utilisant des FM (kalachnikovs) jusqu’à pouvoir récupérer les personnes à bord des autres véhicules», a poursuivi le jeune officier en nous montrant sur les lieux des taches de sang des narcotrafiquants récupérés blessés ou morts par leurs complices. Selon le commandant Ali Hamadouche, chef du 9e GGF, les réseaux de trafiquants ripostent à chaque fois pour récupérer leurs éléments blessés ou morts pour ne pas laisser de traces pouvant les identifier.

                    Un vrai travail de mafia internationale en possession de tous les moyens de riposte en cas de problème avec les services de sécurité.

                    L’intervention des GGF a permis de récupérer un kalachnikov, des téléphones satellitaires Thuraya, des GPS, trois véhicules et un quantité de 4,1 tonnes de kif traité portant des marques telles que TS, S16, TF et F16 et bien arrangé dans des colis faciles à transporter. Dans l’affaire précédente enregistrée le 15 avril dans la même région et permettant de récupérer trois autres tonnes de kif marocain, la drogue était distinguée par d’autres symboles dont les noms de présidents Obama et Sarkozy. Des échantillons de la marchandise saisie, des armes et des traces de sang ont été envoyés à l’Institut de criminologie et criminalistique à Bouchaoui (Alger) pour analyse et identification. L’enquête est en cours.

                    Depuis le début de l’année, le 9e et le 10e GGF ont saisi plus de dix tonnes de résine de cannabis suite à des embuscades au niveau des lieux de passage des narcotrafiquants, notamment à Oued Kaïbet et Hassi Khebi. Les lieux de passage sont difficiles à repérer et à surveiller dans des zones arides et ouvertes prisées par les convois de criminels ne pouvant accéder par d’autres zones accidentées et ayant des obstacles naturels.

                    32 narcotrafiquants arrêtés dont 23 Marocains

                    Bien que la Toyota Station soit actuellement le moyen le plus utilisé par la mafia de la drogue, quelques narcotrafiquants tentent quand même de faire passer, pour la consommation locale, des sacs de drogue à bord de motocyclettes et sur des bêtes de somme. Tous les moyens sont bons pour commercialiser la production marocaine de kif dans les délais, soit avant sa péremption. Nos voisins semblent connaître une surproduction de hachich cette année et doivent l’exporter vers l’Algérie, la Libye, l’Egypte et le Moyen-Orient ainsi que vers l’Europe. Un travail individuel et en groupe s’est imposé afin d’éviter les pertes des millions d’euros que rapporte la récolte du Rif marocain investi par la culture de cannabis. Les dispositifs de lutte mis en place par les autorités algériennes a permis l’arrestation de janvier à avril, 32 narcotrafiquants dont 23 de nationalité marocaine, travaillant individuellement ou pour le compte de réseaux internationaux. Il s’agit, également, de quelques contrebandiers qui continuent à pomper le carburant algérien en destination du pays voisin contre la drogue. 1 450 litres de carburant ont été saisis en 2007, puis 4 725 litres en 2008 et actuellement les GGF sont à 500 litres depuis le début de l’année. Leur combat est au quotidien contre toutes les formes de criminalité transfrontalière.

                    Vers la création d’un escadron aérien pour les GGF

                    Devant l’ampleur que prend le trafic de drogue au niveau des frontières et les conditions difficiles de travail des GGF, la Gendarmerie nationale a initié ces dernières années un plan de développement général dont la création et la modernisation des postes-frontières avec un programme ambitieux contenant entre autres la construction de 154 nouveaux postes bien équipés au niveau des frontières ouest et sud-ouest. Des dizaines de ces infrastructures sont réceptionnées et d’autres sont en phase d’achèvement. Le personnel efficace est également en cours de renforcement en matière de nombre et de formation. La Gendarmerie nationale verra prochainement la création d’un escadron aérien pour accentuer l’intervention au niveau de Béchar.

                    La guerre contre la mafia de drogue se fera terre et ciel. Une décision ferme d’exterminer la menace créée par nos voisins qui ne semblent pas intéresser à contribuer dans la lutte internationale contre la drogue en dépit des sommes colossales reçues, dans ce sens, de la part de l’Union européenne.

                    L’affaire des 32 tonnes de cannabis saisies au port de Casablanca n’est, selon les experts du domaine, que la poudre aux yeux pour montrer une lutte fictive. La preuve, cette lutte ne s’est jamais manifestée au niveau des frontières avec l’Algérie même lors des confrontations armées avec les narcotrafiquants qui rejoignent tranquillement le territoire marocain sans riposte de la part des mkhaznia qui continuent à faire semblant de ne rien voir ni entendre alors que la guerre est déclarée à quelques dizaines de mètres de leurs postes frontaliers.

                    La Nouvelle République

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                    • #25
                      une coopération entre l’Algérie, le Maroc et la Tunisie
                      Une coopération contre nature :
                      -Maroc : producteur mondial de drogue ?
                      -Algerie : non producteur , les saisies de culture détruite , étaient destinée à la consommation locale non pour l exportation :
                      -Tunisie : non producteur …
                      **Alors donner une idée ! comment ça va marcher cette coopération !
                      ainsi que le peuplement de la bande frontalière entre les deux pays sont nécessaires
                      C est ça le HIC ! tout ça passe actuellement par les maisons qui se trouvent sur le tracé de la frontiere ..
                      Plutôt dire créer une zone le long de la frontiere large 1 km sans maisons , sera facile de maitriser les suspects qui rodent …
                      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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