J'aurais préféré un petit zeste en moins de superlatifs Mais le fond de l'article est vrai.
El Moudjahid. E.M.
L’Algérie apparaît, selon les institutions internationales, comme l’une des économies émergentes les plus en vue, même de premier plan au niveau africain. L’Afrique du Sud, l’Algérie, l’Egypte et le Nigeria se détachent largement des autres pays et font figure de “géants” en Afrique.
Pourtant, notre pays n’a renoué avec le développement qu’à partir de 2001, après avoir traversé la décennie la plus dramatique de son histoire contemporaine. Avant les années 92, l’Algérie a vécu une crise financière particulièrement douloureuse qui a été à l’origine de l’arrêt net de son développement. Durant la décennie 1990-2000, l’Algérie a vécu, en fait, deux “drames” : le PAS et le terrorisme. Le PAS a été douloureux et sur le plan économique et sur le plan social. C’est une phase de transition économique qui a été payée, inévitablement, sous forme de recul de la croissance, de l’aggravation du chômage et de l’exacerbation des tensions sociales. Le terrorisme a alourdi considérablement cette facture.
Cette toile de fond est importante pour comprendre que notre pays revient de loin. Durant cette décennie, peu de personnes ont parié sur son avenir économique qui semblait sans perspectives. Or à partir de 2001, l’Algérie renoue avec force avec le développement. Le PSRE, très modeste par l’enveloppe qui lui a été consacrée, environ une trentaine de milliards de dollars, a subitement propulsé l’Algérie dans la voie du développement durable.
La réussite totale de ce premier plan, qui a transformé l’Algérie en un immense chantier et permis de poser les bases d’une croissance durable, a invité les pouvoirs publics à lancer d’autres plans plus ambitieux : Programme quinquennal de soutien à la croissance économique et programmes complémentaires en faveur des wilayas du Sud et des Hauts Plateaux. Cette fois, l’enveloppe est considérable et à la mesure des ambitions arrêtées : plus de 150 milliards de dollars.
C’est donc à partir de 2001 que notre pays a effectivement renoué avec la croissance économique et le développement durable. En l’espace seulement de quelques années, il a réussi la prouesse de figurer parmi les premiers géants de l’économie africaine. Ce début est tout à fait prometteur et démontre surtout le potentiel immense de l’économie algérienne. Le programme mis en œuvre pour les cinq prochaines années, d’un montant de 150 milliards de dollars, placera l’Algérie juste après l’Afrique du Sud. Car, au cours des prochaines années, l’Algérie aura parachevé son programme en matière d’infrastructures et surtout s’attellera à construire une économie diversifiée et densifiée.
Les perspectives sont nettement plus prometteuses.
El Moudjahid. E.M.
L’Algérie apparaît, selon les institutions internationales, comme l’une des économies émergentes les plus en vue, même de premier plan au niveau africain. L’Afrique du Sud, l’Algérie, l’Egypte et le Nigeria se détachent largement des autres pays et font figure de “géants” en Afrique.
Pourtant, notre pays n’a renoué avec le développement qu’à partir de 2001, après avoir traversé la décennie la plus dramatique de son histoire contemporaine. Avant les années 92, l’Algérie a vécu une crise financière particulièrement douloureuse qui a été à l’origine de l’arrêt net de son développement. Durant la décennie 1990-2000, l’Algérie a vécu, en fait, deux “drames” : le PAS et le terrorisme. Le PAS a été douloureux et sur le plan économique et sur le plan social. C’est une phase de transition économique qui a été payée, inévitablement, sous forme de recul de la croissance, de l’aggravation du chômage et de l’exacerbation des tensions sociales. Le terrorisme a alourdi considérablement cette facture.
Cette toile de fond est importante pour comprendre que notre pays revient de loin. Durant cette décennie, peu de personnes ont parié sur son avenir économique qui semblait sans perspectives. Or à partir de 2001, l’Algérie renoue avec force avec le développement. Le PSRE, très modeste par l’enveloppe qui lui a été consacrée, environ une trentaine de milliards de dollars, a subitement propulsé l’Algérie dans la voie du développement durable.
La réussite totale de ce premier plan, qui a transformé l’Algérie en un immense chantier et permis de poser les bases d’une croissance durable, a invité les pouvoirs publics à lancer d’autres plans plus ambitieux : Programme quinquennal de soutien à la croissance économique et programmes complémentaires en faveur des wilayas du Sud et des Hauts Plateaux. Cette fois, l’enveloppe est considérable et à la mesure des ambitions arrêtées : plus de 150 milliards de dollars.
C’est donc à partir de 2001 que notre pays a effectivement renoué avec la croissance économique et le développement durable. En l’espace seulement de quelques années, il a réussi la prouesse de figurer parmi les premiers géants de l’économie africaine. Ce début est tout à fait prometteur et démontre surtout le potentiel immense de l’économie algérienne. Le programme mis en œuvre pour les cinq prochaines années, d’un montant de 150 milliards de dollars, placera l’Algérie juste après l’Afrique du Sud. Car, au cours des prochaines années, l’Algérie aura parachevé son programme en matière d’infrastructures et surtout s’attellera à construire une économie diversifiée et densifiée.
Les perspectives sont nettement plus prometteuses.
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