En Algérie, l’été est déjà bien installé, le mercure le confirme bien d’ailleurs au grand dam des citoyens de Tizi-Ouzou, les préparatifs pour les vacances de l’été ont déjà commencé pour certains. Ils sont nombreux à avoir déjà programmé les vacances de l’été. La mer reste la destination de prédilection des Tiziousiens. La saison estivale ne débutant officiellement que dans quelques jours, les complexes touristiques et les propriétaires et gérants des plages font aussi le nécessaire pour avoir une bonne saison et rafler le maximum de clients.
Il faut dire que les estivants deviennent de plus en plus exigeants quant aux services au niveau des plages et des infrastructures d’hébergement. Il est difficile de trouver un espace à son goût. Il n’est également pas aisé pour tout le monde de faire avec ce qu’il y a même quand il s’agit de quelques jours. Pour ceux qui ont mis la main sur la perle rare et ont choisi le paradis qui les accueillera pour cet été, le travail vient à peine de commencer. La corvée des préparatifs ne réjouit personne.
Souvent, la besogne tombe sur la tête d’un seul membre de la famille. Les valises sont confectionnées, selon les besoins de la famille et le choix de l’infrastructure qui les abritera les quelques jours de vacances. Si le choix s’est porté sur un hôtel, il suffit de prévoir les effets vestimentaires des membres de la famille et l’indispensable trousse médicale. En cas de pépins, il est souvent difficile de trouver une pharmacie au niveau des complexes touristiques. Si le choix s’est porté sur un bungalow, un appartement ou une tente de camping, il est nécessaire de discuter avec le propriétaire pour prévoir la liste des effets à installer à la réception du logement.
Certains propriétaires de bungalow et appartements au bord de la mer offrent en plus du gite, toutes les commodités, literie et autres appareils électroménagers, d’autres préviennent les locataires qu’ils ne louent que le logis. Dans ce cas là, il est indispensable de prévoir toutes les affaires dont la famille a besoin.
Des ustensiles de cuisine et autres réchauds ou fourneaux, selon la disponibilité, à la literie et autres matelas, au ravitaillement, à la caisse à outil et trousse à pharmacie, à l’irremplaçable appareil à moustique et ses recharges, tout passe dans le coffre de la voiture. Certaines familles louent de petites camionettes pour le transport de ces effets. Sur la liste que nous venons de faire, les familles ont, chacune, leur priorité. Si certaines familles axent leur attention sur le confort à l’intérieur de leur location, d’autres ne s’intéressent qu’aux moments passés à l’extérieur pouvant dormir à même le sol une fois rentrés à la maison.
C’est le cas de Djamila, 42 ans, 3 enfants : Le confort, on le cherche chez-soi, selon elle. En vacance, elle préfère se consacrer à la découverte et à l’aventure. «Si je voulais le confort, je serais restée chez moi. J’ai loué dans une ville côtière un appartement, le même d’ailleurs que l’année dernière. Nous étions tellement satisfaits que nous avons réservé, dès la fin de nos dernières vacances. Je suis femme au foyer et mon mari est installé à son compte. Il nous est alors facile de prévoir la date de nos vacances. Nous partons en juillet, Août étant réservé en partie aux préparatifs du mois de Carême et l’autre partie au mois sacré lui-même. Nous n’avons pas pu sillonner tous les alentours d’Azeffoun, l’année dernière, nous avons l’intention de pousser l’aventure plus loin cette année. Nous louons à Azeffoun, mais avons l’intention de découvrir Bougie et Djidjel, même si nous devons louer à l’hôtel pour une seule nuit dans chacune de ces villes».
Djamila nous confie que dans ses bagages, déjà en partie préparés, elle va se contenter d’effets vestimentaires, de quelques paires de draps, les matelas étant offerts par le propriétaire de l’appartement et des indispensables cannes à pêche de son mari ! Pour la cuisine, Djamila a prévu un réchaud, une casserole, des tasses à café et une cafetière ! «En dehors du petit déjeuner, nous ne prenons aucun repas à la maison. Si je dois passer mon temps aux fourneaux, je ne vois pas ce que j’aurai changé de mon quotidien. Ce ne seront pas des vacances pour moi», conclut notre aventurière. Des aventurières comme Djamila il en existe encore. Elles sont nombreuses à se révolter contre les corvées ménagères et les heures infinies aux fourneaux qu’on leur confie même durant les vacances.
Pour Tassadit, 52 ans, enseignante : «Nous avons décidé de serrer la ceinture cette année pour pouvoir passer quelques jours à l’hôtel en pension complète. Je crois que je mérite bien de me reposer aussi. Il est vrai que je vois mes vacances réduites. Du mois de camping habituel à une dizaine de jours à l’hôtel, mais ce que je gagnerai en terme de détente et de temps à consacrer à mes deux enfants, mon mari et moi-même est très important à mes yeux. On a essayé cette année de raccourcir la durée et de rallonger le temps qu’on doit passer ensemble. Avant, je ne partageais que quelques heures avec ma petite famille étant obligée de rentrer pour m’occuper des repas et du ménage !». Côté bagages, pour Tassadit, la priorité est à la trousse à pharmacie, le reste chacun s’occupe de sa petite valise.
L’indispensable trousse à pharmacie
Tassadit qui ne finit les préparatifs des bagages de vacances, qu’une fois sa trousse à pharmacie bouclée, nous donne quelques conseils. Dans la trousse de Tassadit, on trouve les médicaments de son mari. Il est hypertendu. Elle y prévoit également ses pilules pour les aigreurs. Elle en souffre en permanence et ne veut pas que ces désagréments lui gâchent les vacances. Elle y prévoit également des antipyrétiques en cas de fièvre ou de douleur, des pansements, du coton et de l’alcool chirurgical, ainsi que de l’éosine pour les éventuels petits bobos.
Tassadit est super prévoyante. Certains estivants ne pensent même pas à se munir d’une trousse à pharmacie. Un «plus» pourtant obligatoire au départ des vacances. Quelle que soit la destination, il est impératif de se munir d’une trousse de secours. Elle doit comporter tout d’abord, comme a bien pensé Tassadit, les médicaments des personnes malades, pour ne pas risquer, une fois sur le lieu des vacances, de ne pas pouvoir s’en procurer.
Pour les petits maux, il faut penser au paracétamol. Il est aussi impératif de se munir d’une crème antiseptique, d’une crème solaire. La trousse doit aussi comporter des épingles et du sparadrap à nourrice pour maintenir les pansements et bandages, une pince à épiler pour se débarrasser d’éventuelles échardes ou des ciseaux pour couper les pansements et sparadraps, des compresses et des gants stériles pour manipuler les plaies profondes. Des équipements de base, auxquels on pense rarement, qui nous évite pourtant de faire face aux urgences et mêmes aux situations les plus banales que nous rencontrons souvent sur place. Les chutes, les piqures d’insectes et de méduses et les coups de soleils en sont les «incidents» les plus courants. Pour ce dernier, la Biafine est très conseillée en cas de brûlure en raison d’une exposition trop prolongée sous le soleil, selon Tassadit. «Ma sœur est médecin. Elle m’a aidé à confectionner ma première trousse de vacance. Je la consultais par téléphone au fur et à mesure des pépins. Aujourd’hui, j’ai appris à parer à tous les imprévus !», conclut Tassadit.
Comme il vaut mieux prévenir que guérir, il est nécessaire, notamment pour les personnes allergiques à certaines piqures d’insectes, de mettre dans les bagages une moustiquaire et de l’insecticide. Ce dernier se révélera inutile pour les gens qui choisissent les campings sous la tente. Une moustiquaire et une bouteille de vinaigre suffisent. En effet, le vinaigre semblerait se révéler le meilleur moyen d’éviter certains insectes, notamment les moustiques. Avant de dormir, il suffit passer du vinaigre sur la totalité du corps. Rien de plus simple pour repousser les moustiques. Les vieux remèdes de grands-mères sont aussi de mise durant les vacances sur la plage. Des tranches de tomates peuvent très bien remplacer la fameuse Biafine de Tassadit ! L’huile d’olive peut aussi constituer une huile bronzante très économique. Il suffit de se servir dans la cuisine !
Il faut dire que les estivants deviennent de plus en plus exigeants quant aux services au niveau des plages et des infrastructures d’hébergement. Il est difficile de trouver un espace à son goût. Il n’est également pas aisé pour tout le monde de faire avec ce qu’il y a même quand il s’agit de quelques jours. Pour ceux qui ont mis la main sur la perle rare et ont choisi le paradis qui les accueillera pour cet été, le travail vient à peine de commencer. La corvée des préparatifs ne réjouit personne.
Souvent, la besogne tombe sur la tête d’un seul membre de la famille. Les valises sont confectionnées, selon les besoins de la famille et le choix de l’infrastructure qui les abritera les quelques jours de vacances. Si le choix s’est porté sur un hôtel, il suffit de prévoir les effets vestimentaires des membres de la famille et l’indispensable trousse médicale. En cas de pépins, il est souvent difficile de trouver une pharmacie au niveau des complexes touristiques. Si le choix s’est porté sur un bungalow, un appartement ou une tente de camping, il est nécessaire de discuter avec le propriétaire pour prévoir la liste des effets à installer à la réception du logement.
Certains propriétaires de bungalow et appartements au bord de la mer offrent en plus du gite, toutes les commodités, literie et autres appareils électroménagers, d’autres préviennent les locataires qu’ils ne louent que le logis. Dans ce cas là, il est indispensable de prévoir toutes les affaires dont la famille a besoin.
Des ustensiles de cuisine et autres réchauds ou fourneaux, selon la disponibilité, à la literie et autres matelas, au ravitaillement, à la caisse à outil et trousse à pharmacie, à l’irremplaçable appareil à moustique et ses recharges, tout passe dans le coffre de la voiture. Certaines familles louent de petites camionettes pour le transport de ces effets. Sur la liste que nous venons de faire, les familles ont, chacune, leur priorité. Si certaines familles axent leur attention sur le confort à l’intérieur de leur location, d’autres ne s’intéressent qu’aux moments passés à l’extérieur pouvant dormir à même le sol une fois rentrés à la maison.
C’est le cas de Djamila, 42 ans, 3 enfants : Le confort, on le cherche chez-soi, selon elle. En vacance, elle préfère se consacrer à la découverte et à l’aventure. «Si je voulais le confort, je serais restée chez moi. J’ai loué dans une ville côtière un appartement, le même d’ailleurs que l’année dernière. Nous étions tellement satisfaits que nous avons réservé, dès la fin de nos dernières vacances. Je suis femme au foyer et mon mari est installé à son compte. Il nous est alors facile de prévoir la date de nos vacances. Nous partons en juillet, Août étant réservé en partie aux préparatifs du mois de Carême et l’autre partie au mois sacré lui-même. Nous n’avons pas pu sillonner tous les alentours d’Azeffoun, l’année dernière, nous avons l’intention de pousser l’aventure plus loin cette année. Nous louons à Azeffoun, mais avons l’intention de découvrir Bougie et Djidjel, même si nous devons louer à l’hôtel pour une seule nuit dans chacune de ces villes».
Djamila nous confie que dans ses bagages, déjà en partie préparés, elle va se contenter d’effets vestimentaires, de quelques paires de draps, les matelas étant offerts par le propriétaire de l’appartement et des indispensables cannes à pêche de son mari ! Pour la cuisine, Djamila a prévu un réchaud, une casserole, des tasses à café et une cafetière ! «En dehors du petit déjeuner, nous ne prenons aucun repas à la maison. Si je dois passer mon temps aux fourneaux, je ne vois pas ce que j’aurai changé de mon quotidien. Ce ne seront pas des vacances pour moi», conclut notre aventurière. Des aventurières comme Djamila il en existe encore. Elles sont nombreuses à se révolter contre les corvées ménagères et les heures infinies aux fourneaux qu’on leur confie même durant les vacances.
Pour Tassadit, 52 ans, enseignante : «Nous avons décidé de serrer la ceinture cette année pour pouvoir passer quelques jours à l’hôtel en pension complète. Je crois que je mérite bien de me reposer aussi. Il est vrai que je vois mes vacances réduites. Du mois de camping habituel à une dizaine de jours à l’hôtel, mais ce que je gagnerai en terme de détente et de temps à consacrer à mes deux enfants, mon mari et moi-même est très important à mes yeux. On a essayé cette année de raccourcir la durée et de rallonger le temps qu’on doit passer ensemble. Avant, je ne partageais que quelques heures avec ma petite famille étant obligée de rentrer pour m’occuper des repas et du ménage !». Côté bagages, pour Tassadit, la priorité est à la trousse à pharmacie, le reste chacun s’occupe de sa petite valise.
L’indispensable trousse à pharmacie
Tassadit qui ne finit les préparatifs des bagages de vacances, qu’une fois sa trousse à pharmacie bouclée, nous donne quelques conseils. Dans la trousse de Tassadit, on trouve les médicaments de son mari. Il est hypertendu. Elle y prévoit également ses pilules pour les aigreurs. Elle en souffre en permanence et ne veut pas que ces désagréments lui gâchent les vacances. Elle y prévoit également des antipyrétiques en cas de fièvre ou de douleur, des pansements, du coton et de l’alcool chirurgical, ainsi que de l’éosine pour les éventuels petits bobos.
Tassadit est super prévoyante. Certains estivants ne pensent même pas à se munir d’une trousse à pharmacie. Un «plus» pourtant obligatoire au départ des vacances. Quelle que soit la destination, il est impératif de se munir d’une trousse de secours. Elle doit comporter tout d’abord, comme a bien pensé Tassadit, les médicaments des personnes malades, pour ne pas risquer, une fois sur le lieu des vacances, de ne pas pouvoir s’en procurer.
Pour les petits maux, il faut penser au paracétamol. Il est aussi impératif de se munir d’une crème antiseptique, d’une crème solaire. La trousse doit aussi comporter des épingles et du sparadrap à nourrice pour maintenir les pansements et bandages, une pince à épiler pour se débarrasser d’éventuelles échardes ou des ciseaux pour couper les pansements et sparadraps, des compresses et des gants stériles pour manipuler les plaies profondes. Des équipements de base, auxquels on pense rarement, qui nous évite pourtant de faire face aux urgences et mêmes aux situations les plus banales que nous rencontrons souvent sur place. Les chutes, les piqures d’insectes et de méduses et les coups de soleils en sont les «incidents» les plus courants. Pour ce dernier, la Biafine est très conseillée en cas de brûlure en raison d’une exposition trop prolongée sous le soleil, selon Tassadit. «Ma sœur est médecin. Elle m’a aidé à confectionner ma première trousse de vacance. Je la consultais par téléphone au fur et à mesure des pépins. Aujourd’hui, j’ai appris à parer à tous les imprévus !», conclut Tassadit.
Comme il vaut mieux prévenir que guérir, il est nécessaire, notamment pour les personnes allergiques à certaines piqures d’insectes, de mettre dans les bagages une moustiquaire et de l’insecticide. Ce dernier se révélera inutile pour les gens qui choisissent les campings sous la tente. Une moustiquaire et une bouteille de vinaigre suffisent. En effet, le vinaigre semblerait se révéler le meilleur moyen d’éviter certains insectes, notamment les moustiques. Avant de dormir, il suffit passer du vinaigre sur la totalité du corps. Rien de plus simple pour repousser les moustiques. Les vieux remèdes de grands-mères sont aussi de mise durant les vacances sur la plage. Des tranches de tomates peuvent très bien remplacer la fameuse Biafine de Tassadit ! L’huile d’olive peut aussi constituer une huile bronzante très économique. Il suffit de se servir dans la cuisine !
Commentaire