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M.A.K: Installation de La coordination d’Ath Vuerdan et de la cellule d’Ath Mendas

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  • #16
    contrairement au intégristes totalitaire, qui ont voulu imposer leur projet b ssif ... le MAK le fera par la conviction du peuple kabyle ... le MAK n'aura a marcher sur aucun cadavre gardez votre sacrifice pour la Palestine et le sahara occidental car la kabylie ne vous le demande pas ... tout se fera pacifiquement si vous ne vous en mêlez pas


    Pauvre Kabylie victime des manigances d'un aventurier à un autre.
    la kabylie est victimes de ... COQ comme vous !!! et de la vermine islamiste que votre État-gouvernement essaye d'y implanter.

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    • #17
      Je suis avec un intérêt évident l'évolution du MAK

      C'est passionnant l'action sur le terrain...sauf que...quand je lis, ça me fait exactement le même effet que visiter une exposition de peinture où il n'y aurait que les cadres exposés, les peintures étant absentes.

      C'est un peu ça le MAK finalement : beaucoup de fioritures mais rien de consistant.

      C'est pas sympa de nous allécher et de nous laisser sur notre faim. Et le ramadan n'est pas une excuse, je signale qu'on peut manger à partir du coucher du soleil. Avec le MAK c'est syam éternel...
      « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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      • #18
        C'est passionnant l'action sur le terrain...sauf que...quand je lis, ça me fait exactement le même effet que visiter une exposition de peinture où il n'y aurait que les cadres exposés, les peintures étant absentes.
        et si tu t'évertuais plus tôt a nous convaincre pour une fois au lieu faire des sarcasmes et d'ingénier a chaque fois des parallèle aussi biscornus les un que les autres ..; la dernière fois c'était pas une histoire de vitrine et une boutique si je me rappelle bien

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        • #19
          Giro, il te plait pas mon parallèle?

          Il te fait rire, c'est déjà ça

          C'est parce que tu ne veux pas être convaincu mais quand tu y regardes, c'est bien la vérité que je dis. A part ouvrir des bureaux dans tous les sens, l'action du MAK est tout de même bien théorique.
          « N’attribuez jamais à la malveillance ce qui s’explique très bien par l’incompétence. » - Napoléon Bonaparte

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          • #20
            Elle a procédé à l’installation de la Coordination d’Ath vugherdan dont la composition est la suivante :

            - M. Aomari Salem : Président
            - M. Benbelkacem Djemâa : Chargé de l’Organique
            - M. Cheballa Ahmed : Trésorier
            Bah moi je vous dis toute de suite, ce MAK est une coquille vide, encore pire que les arouches

            Donc, il suffit d'une rafle ou deux, pour que tout rentre dans l'ordre, celà viendra en temps voulu

            Mais pour l'instant on laisse les guignoles s'amuser dans leur théatre d'opérettes et de jeu de roles

            Allez, mettez moi comme coordinateur du mouvement, je vous mènerais tous à bon port, je veillerais à ce qu'ils vous manque rien

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            • #21
              Mendz
              ce MAK est une coquille vide, encore pire que les arouches
              Ils connaitront certainement le même sort que ce funeste mouvement des "arouchs" et Ferhat Mehenni s'eclipsera par la porte du déshoneur comme l'a été avant lui ce robinson de Belaid Abrika.

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              • #22
                Ils connaitront certainement le même sort que ce funeste mouvement des "arouchs" et Ferhat Mehenni s'eclipsera par la porte du déshoneur comme l'a été avant lui ce robinson de Belaid Abrika.
                tu peux toujours compter la dessus ...
                tout le monde s'accorde a dire que si le mouvement des aarch s'est essoufflé et même le MCB d'ailleurs c'est qu'ils n'ont pas su se concrétiser en mouvement politique pour perdurer ... ce qui n'est pas le cas du MAK.
                quant a Abrika je souhaiterai qu'il rejoigne le MAK ainsi que tout les militants des aarach d'ailleurs c'est déjà le cas pour pas mal d'entre eux ... la kabylie a besoin a besoin de ces enfants pour faire face a la racaille toute tendance confondue islamiste, nationaliste-conservatrice ...

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                • #23
                  interview très intéressante avec l'un des fondateurs du MAK Mr Ahmed AIT-BACHIR aussi membre fondateur du RCD.

                  Le responsable autonomiste kabyle Ahmed Ait-Bachir se confie à l’ASKAF

                  Afin d’informer les kabyles de la genèse de la pensée autonomiste, nous avons rencontré Mr Ahmed AIT-BACHIR, qui a bien voulu répondre à nos questions, sans concession. Dans un soucis de pédagogie et sans langue de bois.

                  Ahmed AIT-BACHIR est né dans le village d’Ath L’Vachir, dans l’arch des Ath-Itsouragh (ex-commune mixte du Djurdjura-Michelet).

                  Grâce à des rencontres avec des militants de la première heure, pour le combat identitaire, il a vite pris conscience à son tour de la lutte qu’il fallait mener pour la reconnaissance de l’identité amazighe de l’Algérie.

                  Depuis, il a été un militant infatigable de cette juste cause, ce qui l’a amené à participer à la création du RCD en 1989 et devenir le premier président du conseil régional RCD de Tizi-Ouzou. Parti qu’il quittera deux années plus tard (1991) avec d’autres militants : Mokrane Ait-Larbi, Akli Berkani, Hamou Boumedine, Mahiou Faredj, Mehdi Siam, Idir Ounoughene, Malek Amrani, Idir Ahcène, Hamid Lefgoun, Salah Chaballah, Arezki Ait-Larbi et beaucoup d’autres...

                  En 2001, on le retrouve membre fondateur du mouvement pour l’autonomie de la Kabylie (MAK), représentant du mouvement en Kabylie jusqu’en 2007, ou il fut contraint de quitter l’Algérie pour s’installer à l’étranger. Le connaissant, militant de conviction, désintéressé et discret, nous avons voulu le faire parler de son parcours de militant et de son passage d’un parti nationaliste à un mouvement autonomiste régional mais aussi pour nous expliquer comment l’idée d’autonomie à émergé.


                  Arezki Bakir : Qu’est-ce qui a précipité ton départ du RCD en 1991 ?

                  Ahmed Ait-Bachir : On s’est investi corps et âme dans ce parti, on en a fait plus qu’un parti, pour nous, c’était une seconde famille. Mais, au fur et à mesure que nous avancions, on s’est aperçu que l’espace du débat démocratique se réduisait davantage, le pouvoir décisionnel nous échappait complètement.

                  Cela nous a conduit à initier une pétition interne réclamant plus de clarté dans la gestion du parti. La direction, au lieu de provoquer un débat dans ce sens, a fait une toute autre lecture et mené une campagne de désinformation concernant notre initiative :

                  - "que nous n’étions qu’un petit groupe de Michelet, mené par Mokrane Ait-Larbi pour prendre la tête du RCD",

                  - "que notre place n’était naturellement qu’au FFS et non au RCD compte-tenu du fait que nous étions majoritairement originaires de Michelet"...

                  Je voudrais rajouter qu’avant nous, deux secrétaires nationaux ont quitté le parti pour les mêmes raisons. Ce sont le Docteur Malika Baraka et Youcef Ait-Chellouche.

                  Le RCD défend des thèses nationales. Comment en es-tu venu à défendre des thèses autonomistes en faveur de la Kabylie ?

                  Lorsqu’on a crée le RCD, nous avons sincèrement cru pouvoir changer le cours des choses en Algérie. D’autant plus que, dans les années 1989-1990, il y avait une petite "récréation", le pouvoir nous ayant fait croire qu’il avait changé. Une petite porte s’était ouverte à la télévision pour les partis d’opposition, une presse écrite en apparence trés libre, des meetings et des conférences organisées par l’opposition un peu partout dans le pays. Comme tous les partis, le RCD s’est donc mis à organiser des meetings et conférences à travers le territoire national.

                  En dehors de la Kabylie, notre discours ne passait pas, bien que notre projet était plutôt bien perçu, moderne et progressiste. Mais le fait qu’il soit porté par des kabyles posait problème...

                  Dans beaucoup d’endroits, on nous signifiait clairement que nous n’étions pas les bienvenus.

                  Ajoutez à cela le boycott scolaire, l’assassinat de Lounès Matoub et une analyse sur le mouvement national, construit et porté par les kabyles, qui ont vu la nation algérienne se bâtir sans eux et contre eux. Cela nous a amené à penser que seule une solution régionale pouvait convenir à la Kabylie.

                  Nafa Kireche : C’est à ce moment là que vous décidez de créer le mouvement autonomiste kabyle (MAK) ?

                  Ahmed Ait-Bachir : Avant la création du MAK, je dois dire que beaucoup de personnes ont pensé et théorisé sur l’autonomie, le fédéralisme ou la régionalisation. En 1978, le FFS, dans sa plate-forme politique a inscrit dans son programme l’autonomie des régions.

                  En 1992, Mr Hocine Ait-Ahmed est revenu à la charge en parlant de fédéralisme mais il a rapidement été pris à partie par les islamistes et les arabo-baathistes, qui criaient au séparatisme.

                  Abdenour Abdeslam, dans une longue réflexion dans les colonnes du journal "Liberté", a dessiné les contours du fédéralisme.

                  Après l’assassinat de Lounès Matoub en 1998, le professeur Salem Chaker, le Docteur Malika Baraka, Saïd Doumane et Rachid Behlil ont initié une pétition demandant l’autonomie linguistique de la Kabylie. Cette pétition a été signée par des personnalités comme Idir, Ait-Menguellet, Ferhat, Hassan Hirèche, Ali Sayad et beaucoup d’autres.

                  Mohamed Talmatine, Akli Kebaili, Kamel Nait-Zerrad, Hassan Hireche et Aziz Tari ont, chacun, par leurs différents écrits, contribué à alimenter l’idée de l’autonomie de la Kabylie.
                  ... suite

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                  • #24
                    ... suite

                    .... suite
                    Arezki Bakir : Revenons au MAK...

                    Ahmed Ait-Bachir : C’est en plein milieu des évènements dramatiques d’avril 2001 qu’a connu notre région, ou la peur et la terreur se sont installées, le terrain déserté par les politiques que, avec des amis militants, notamment Abdenour Abdeslam, Hamou Boumedine, Malek Amrani, nous nous sommes réunis le 24 avril 2001 pour discuter de la manière de répondre à l’urgence et combler le vide politique ou était plongé la Kabylie. Une période ou l’on assistait, impuissants, à l’assassinat de nos enfants.

                    C’est ainsi que nous avons décidé de créer le Mouvement pour la Kabylie Libre (MKL), dont le premier tract, "appel au peuple kabyle", est sorti le lendemain, le 25/04/2001, diffusé et distribué dans toute la Kabylie. Trés vite, d’autres militants nous ont rejoint. Parmi eux, Akli Berkani, Farid Hamladji, Mourad Bouzidi, Mohamed Dellah, Yacine Belabes, Achour Bensalem et beaucoup d’autres.

                    En 2001, Ferhat Mehenni, alors président du MCB-Rassemblement National, voulait lancer un mouvement autonomiste et a donc pris contact avec Abdenour Abdeslam, qui nous a fait part du projet de Ferhat et de son souhait de nous unir afin d’éviter qu’il y ait plusieurs mouvements autonomistes.

                    Après avoir rencontré Ferhat il a été convenu ce qui suit : de notre côté, nous nous engagions à dissoudre le MKL, et de son côté, Ferhat faisait de même avec le MCB-RN.

                    Le 5 juin 2001, Ferhat a donné une conférence de presse à la maison des droits de l’homme à Tizi-Ouzou, conférence au cours de laquelle il a rendu public le projet autonomiste pour la Kabylie, en ma présence et celle d’Abdenour Abdeslam. Le dernier tract du MKL a donc été tiré le 20 juin 2001. C’est ainsi que nous avons initié la première pétition "pour l’autonomie de la Kabylie", dans la perspective d’un état fédéral, pétition qui a recueilli des dizaine de milliers de signatures.

                    Quant au sigle "M.A.K.", c’est au cours d’un meeting à Makouda qu’un jeune dans la salle scandait "MAK, MAK, MAK !"... Ce jeune a été applaudi par l’assistance et les responsables du mouvement présents (Ferhat, Abdenour Abdeslam, Hamou Boumedine, Salah Hassan...) ont adopté et approuvé ce sigle sur le champ ! Le lendemain, cet épisode faisait la une de certains journaux.

                    Nafa Kireche : Donc on peut dire que le MKL est l’ancêtre du MAK ? Ferhat l’a trés bien résumé dans son livre en disant que : "Le MAK est né des cendres du MKL et du MCB-Rassemblement National".

                    Arezki Bakir : Ahmed, tu es acteur du mouvement autonomiste depuis sa gestation. Peux-tu nous dresser un tableau objectif de l’avancement du projet autonomiste, mené par le MAK ?

                    Ahmed Ait-Bachir : Tout d’abord, je dois dire que le MAK a le mérite d’avoir brisé un tabou. Parler et revendiquer l’autonomie l’autonomie de la Kabylie dans une Algérie "une et indivisible" est un sacré courage. Il faut rendre hommage à tous ces militants qui ont bravé cet interdit et qui l’ont payé trés cher pour certains d’entre eux. Nous avons réussis à instaurer un débat quasi quotidien autour de cette question et je peux dire que le MAK, sans prétention aucune, a fait un sacré bon bout de chemin en solo.

                    Maintenant, je pense que le MAK est arrivé à la croisée des chemins : pour aller de l’avant, il doit exclure toute confusion entre :

                    - l’islam et l’islamisme,
                    - l’arabe et l’arabisme,
                    - l’autonomie et l’indépendance.

                    En un mot, il ne doit jamais donner l’image d’un mouvement extrémiste et xénophobe.

                    Le MAK doit faire des rapprochements et prendre langue avec tous ceux qui partagent l’idée régionale de la Kabylie avec tous les autonomistes libres, y compris ceux qui défendent une Algérie Fédérale, une régionalisation modulable ou positive. Car en décortiquant tous ces projets, nous nous apercevons vite que nous voulons la même chose pour la Kabylie : son bien ! L’autonomie, la régionalisation, le fédéralisme, ne peuvent être l’oeuvre d’une personne ou d’un parti : cela ne peut être que le résultat d’un consensus et d’une majorité de kabyles. Et ce n’est que dans une action unie que le pouvoir algérien prendra peur et se pliera à nos revendications.

                    Arezki Bakir : j’ai l’impression que tu rêves un peu... non ?

                    Ahmed Ait-Bachir : Ca peut te sembler effectivement ainsi et certains de vos lecteurs le penseront certainement mais, pour ma part, je reste convaincu que c’est la solution, il suffit pour cela que chacun d’entre nous laisse son égo de côté pour que cela se réalise.

                    Nafa Kireche : le mot de la fin ?

                    Ahmed Ait-Bachir : Ce sera pas un mot mais des mots.

                    Tout d’abord je vous remercie de m’avoir fait parler. Je voudrais dire, que si j’ai accepté de parler de mon départ du RCD, je n’ai aucune rancune, ni animosité envers ce parti et toute sa composante, et surtout pas en ce moment ou il traverse une crise interne. Bien au contraire, le RCD a été pour moi une véritable école, j’y ai passé d’excellents moments et j’en garde un trés bon souvenir. Si j’ai tenu à répondre à votre question sur cette période, c’est pour que le MAK en tire les leçons et les enseignements et ne sombre pas dans ces pratiques, qui commencent à le ronger et doit évacuer trés rapidement l’esprit de complotite et de flicomanie qui commence à faire des "saignées" dans ses rangs.

                    Et puis nous sommes en pleine commémoration de l’assassinat de Lounès Matoub. Je voudrais rendre hommage à l’un de ses compagnons, présent à ses côtés lorsque les gendarmes de Michelet l’ont mitraillé et qui a passé des moments pénibles dans les géoles de la SM à Bouzareah. Ce grand militant s’appelle Mehdi SIAM, qu’un cancer du colon a terrassé et l’a ravi aux siens quelques mois après l’assassinat de Lounès. Il a laissé une femme et trois petites filles. Que tous ceux qui l’ont connu aient une pensée pour lui.

                    Entrevue réalisée par Arezki Bakir et Nafa Kireche de l’Association des kabyles de France - ASKAF

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                    • #25
                      Bah moi je vous dis toute de suite, ce MAK est une coquille vide, encore pire que les arouches

                      Donc, il suffit d'une rafle ou deux, pour que tout rentre dans l'ordre, celà viendra en temps voulu

                      Mais pour l'instant on laisse les guignoles s'amuser dans leur théatre d'opérettes et de jeu de roles
                      Le problème est que j'ai l'impression que ces bourourous sont entrain d'installer la table pour d'autres.
                      Bien que la coquille est vide, La préparation de cadre juridique et administratif va bon train. Et ce, pour des calculs futurs ...
                      Pour les adeptes de l'ingérence, mettre les pieds en Algérie devient d'ores et déjà facile pour raisons humanitaires, protection de kabyles, contrer le génocide ... enfin n'importe quoi.

                      Tout est élaborée et fait pour haïr cette région. Les agissements irresponsables de quelques trublions et le silence des autorités font craindre le pire. Personne n'aime les rafles et ces derniers ne doivent pas laisser pourrir la situation au point d'user de la force, qui fera de ces dislocateurs d'Algérie des martyres.
                      Et quoi dire des illuminés qui ont trouvé en ce forum un lieu inespéré pour booster leur propagande.
                      وإن هذه أمتكم أمة واحدة

                      Commentaire


                      • #26
                        Personne n'aime les rafles et ces derniers ne doivent pas laisser pourrir la situation au point d'user de la force, qui fera de ces dislocateurs d'Algérie des martyres.
                        Et quoi dire des illuminés qui ont trouvé en ce forum un lieu inespéré pour booster leur propagande.
                        Je ne vois pas ou tu vois le danger. Personnelement je ne le vois pas, les gens sont libres tant qu'ils n'usent pas de la force.
                        De la a parler de rafles.....
                        Eux au moins privilegient le debat....

                        Commentaire


                        • #27
                          e ne vois pas ou tu vois le danger. Personnelement je ne le vois pas, les gens sont libres tant qu'ils n'usent pas de la force.
                          De la a parler de rafles.....
                          Eux au moins privilegient le debat....
                          Quoi choisir entre la peste et le choléra !
                          Le résultat est le même ...
                          L'un use (ou lui font paraitre user ) de la force en tuant leur propres adeptes !!!!!
                          L'autre use de tayhoudite et même de sourire narquois.
                          Le résultat est le même : l'instabilité.
                          Wach djab TOZZ lell Hamdoullah.
                          Zitout, DHina, Aroua ... versus Ferhat, ... euh.... au fait y a pas grand monde, juste un éventail.
                          وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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