Un livre qui insulte le président Bouteflika se vend sur autorisation du ministère de

[Iska]

Merci Robocop, je n'ai pas fait attention

[Ninfa]

La critique de la censure est une chose. La qualité littéraire d'un ouvrage et la proclamation collective en manifeste de dire que l'auteur de cet ouvrage est un "écrivain" en est une autre.

[RoboCop]

Merci Robocop, je n'ai pas fait attention

De rien l'ami, fais pas cette tête là, je veille sur toi.
Ils se jettent la balle les 2 ministres, ils nous prennent pour qui ?

[milka]

Probablement il n y à rien de surprenant à lire "Poutakhine", les choses que l'auteur a écrit nous les vivons bien dans la peau des personnages du roman. Excellent coup de pub pour un torchon pour prés de 1000 DA. Une montagne qui à accouché d'une souris.

[absent]

.........................dans un coin de ma tête, je me dis que ces incompétents n'ont même pas lu le livre.......

Ce serait tellement bien qu'ils aient donné l'autorisation pour un vente qu'ils n'ont pas lu, et que ce livre en question les écrase tous, au moins le peuple humilié pourra les humilier.

[Dandy]

dans un coin de ma tête, je me dis que ces incompétents n'ont même pas lu le livre.......

Ce serait tellement bien qu'ils aient donné l'autorisation pour un vente qu'ils n'ont pas lu, et que ce livre en question les écrase tous, au moins le peuple humilié pourra les humilier

Il n'est pas besoin de lire un livre pour critiquer une stratégie éditoriale....Que ce soit un livre de math ou un pamphlet politique; laisser planer le doute que l'opus fût interdit, quand ce n'est vraisemblablement pas le cas, est pour le moins discutable comme procédé markétaire (la qualité intrinsèque de l'ouvrage n'interférant en rien ici)

[absent]

Sauf qu'on ne parle pas de marketing, mais de contenu littéraire.

[Anebneu]

Le stand ou devait être exposé Poutakhine a été pris d'assaut par les services secret. Khalida a tenté d'ignorer la sortie du livre et n'a jamais donné son accord pour une éventuelle distribution en Algérie.

Le contenu de l'article est tout simplment loin de toute vérité.

[Dandy]

Le stand ou devait être exposé Poutakhine a été pris d'assaut par les services secret. Khalida a tenté d'ignorer la sortie du livre et n'a jamais donné son accord pour une éventuelle distribution en Algérie.

Le contenu de l'article est tout simplment loin de toute vérité.

Et l'interview de l'auteur durant laquelle, il admet lui-même que son ouvrage n'est pas censuré ?

[Ninfa]

Tout est sorti de son contexte dans cette histoire, tout. Et, dès lors, tout devient extrapolation par rumeur et non lecture du livre!

[choucha]

Aux dernières nouvelles :
POUTAKHINE PROVOQUE LE LIMOGEAGE DU DIRECTEUR DE LA BIBLIOTHEQUE NATIONALE

Décidément l'histoire se répète au salon du livre d'Alger .
La ministre de la culture Khalida Toumi a mis fin aux fonctions du directeur général adjoint de la bibliothèque nationale, Ahmed Saâdi, qui a été chargé de gérer la bibliothèque après le limogeage de son directeur Amine Zaoui après la crise qui a suivie la visite du poète syrien Adonis.

Saâdi a occupé le poste de Secrétaire général de la bibliothèque nationale pendant deux années sur décision de la ministre de la culture. Il est limogé à son tour après le la procédure du dépôt légal avec un numéro d’ISBN au roman « Poutakhine » qui a été autorisé à la vente au niveau de la salle du cinéma Mohamed Zinet, bien qu’il contienne des insultes contre le président de la république.

Selon les mêmes sources, la ministre de la culture aurait pris cette démarche afin d’éviter la colère du président, qui fait l’objet de graves atteintes pour la deuxième fois de la part d’un ministère sensé prôner la culture et le savoir au lieu du chant et de la danse. Après le roman de Benchicou qui porte atteinte aux symboles de la révolution et aux personnalités nationales et diminuant les souffrances du peuple algérien pendant l’occupation française, la ministre attribue un autre numéro d’ISBN à un autre roman qui insulte le président et le régime. Ce dernier est autorisé à une vente dédicace au niveau de la salle de cinéma Mohamed Zinet à Riad El Feth après la procédure du dépôt légal avec un numéro ISBN déposé à la bibliothèque nationale conformément à la loi.

Source Ennahar.